
A Keur Massar, des militants de l’Alliance pour la République (Apr, parti au pouvoir) disent niet à l’opération de vente de cartes de membres dans les six communes du département que sont Keur Massar Nord et Sud, Yeumbeul Nord et Sud, Malika et Jaxaay.
Réunis au sein du collectif ‘’Balla gané name néfa’’ (pour agir, il faut être présent), ils se disent « laissés à eux-mêmes ». Dans des propos repris par Le Soleil, leur porte-parole Ismaïla Ndoye dénonce une « injustice », insistant sur « l’exploitation » dont lui et ses camarades « font l’objet ».
Dans tous ses états, il annonce que leur « plateforme » est composée « de jeunes et de femmes respectables, braves et de jeunes filles républicaines, qui sont totalement ignorés, abandonnés, (et) souffrent d’une frustration traumatique et sont sans assistance. »
C’est ainsi qu’ils « ont choisi de se battre pour l’intérêt de leur département », martèle l’apériste. Avant d’enfoncer le clou : « L’Apr est prise en otage par des pratiques qui n’honorent personne. Notre parti est sous perfusion intraveineuse. »
Le membre de la Convention des jeunes de l’APR (Cojer), fustigeant « le fait que les droits des militants soient violés par l’élite du parti », appelle à la fronde et à la révolte, en « empêchant toute action visant la vente des cartes du parti. »
« Après les dernières élections, tous les ministres de Keur Massar ont perdu leur poste. Pourtant, ils ne sont pas les seuls à avoir été battus », peste Bonko Kane, qui se dit militante de la première heure de l’APR. A la place des sanctions, elle réclame « l’accompagnement » du Président Macky Sall, « pour aider Keur Massar, qui vient de naître, à grandir ».
Le collectif souhaite également rencontrer leur chef de parti.
Réunis au sein du collectif ‘’Balla gané name néfa’’ (pour agir, il faut être présent), ils se disent « laissés à eux-mêmes ». Dans des propos repris par Le Soleil, leur porte-parole Ismaïla Ndoye dénonce une « injustice », insistant sur « l’exploitation » dont lui et ses camarades « font l’objet ».
Dans tous ses états, il annonce que leur « plateforme » est composée « de jeunes et de femmes respectables, braves et de jeunes filles républicaines, qui sont totalement ignorés, abandonnés, (et) souffrent d’une frustration traumatique et sont sans assistance. »
C’est ainsi qu’ils « ont choisi de se battre pour l’intérêt de leur département », martèle l’apériste. Avant d’enfoncer le clou : « L’Apr est prise en otage par des pratiques qui n’honorent personne. Notre parti est sous perfusion intraveineuse. »
Le membre de la Convention des jeunes de l’APR (Cojer), fustigeant « le fait que les droits des militants soient violés par l’élite du parti », appelle à la fronde et à la révolte, en « empêchant toute action visant la vente des cartes du parti. »
« Après les dernières élections, tous les ministres de Keur Massar ont perdu leur poste. Pourtant, ils ne sont pas les seuls à avoir été battus », peste Bonko Kane, qui se dit militante de la première heure de l’APR. A la place des sanctions, elle réclame « l’accompagnement » du Président Macky Sall, « pour aider Keur Massar, qui vient de naître, à grandir ».
Le collectif souhaite également rencontrer leur chef de parti.
6 Commentaires
Tchey les aperistes !
Politolok
En Décembre, 2022 (17:24 PM)Justice Pour Sonko
En Décembre, 2022 (20:52 PM)Participer à la Discussion