S’exprimant, hier mardi, lors de la cérémonie d’ouverture du 9e Congrès de l’Association des Cours constitutionnelles francophones qui se tient à Dakar depuis le 30 mai 2022 autour du thème : "le juge constitutionnel et les droits de l’homme", le chef de l’État a jugé «déterminante l’influence du juge constitutionnel dans le jeu politique».
Macky Sall déclare, dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, que cette influence «est la conséquence du renouveau de l’idée de Constitution devenue à l’occasion la seule forme et l’unique langage de l’activité politique légitime».
D’autant plus qu’il participe «à la pacification de la vie politique dans les États où l’accentuation des conflits peut conduire à la déstabilisation des institutions et la négation des droits humains».
Mieux, ajoute le président de la République, «le juge constitutionnel invoque, aujourd’hui, des valeurs sociétales susceptibles d’éclairer son opinion et de fonder son intime conviction pour répondre aux attentes été exigences des citoyens».
À ce titre, le Président Sall a indiqué que «l’existence des juridictions constitutionnelles est aujourd’hui non seulement un impératif, mais une nécessité structurelle, notamment dans les sociétés politiques africaines francophones».
Cette évolution, dit-il, s’inscrit «dans une logique juridique et démocratique consacrant la possibilité d’une action ouverte au citoyen pour lui permettre de pouvoir contester la loi attentatoire aux droits de l’homme ou aux libertés publiques».
Macky Sall déclare, dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, que cette influence «est la conséquence du renouveau de l’idée de Constitution devenue à l’occasion la seule forme et l’unique langage de l’activité politique légitime».
D’autant plus qu’il participe «à la pacification de la vie politique dans les États où l’accentuation des conflits peut conduire à la déstabilisation des institutions et la négation des droits humains».
Mieux, ajoute le président de la République, «le juge constitutionnel invoque, aujourd’hui, des valeurs sociétales susceptibles d’éclairer son opinion et de fonder son intime conviction pour répondre aux attentes été exigences des citoyens».
À ce titre, le Président Sall a indiqué que «l’existence des juridictions constitutionnelles est aujourd’hui non seulement un impératif, mais une nécessité structurelle, notamment dans les sociétés politiques africaines francophones».
Cette évolution, dit-il, s’inscrit «dans une logique juridique et démocratique consacrant la possibilité d’une action ouverte au citoyen pour lui permettre de pouvoir contester la loi attentatoire aux droits de l’homme ou aux libertés publiques».
10 Commentaires
Diop Diop
En Juin, 2022 (09:15 AM)un tailleur constitutionnel n'existe que dans les pays francophones . Et ils se glorifient de l'être . La honte .
Wakhe_deugueu
En Juin, 2022 (09:19 AM)Tempo
En Juin, 2022 (09:54 AM)Il n'est ni magistrat, ni avocat, bref, il n'est pas un juriste. Pourtant, il est le président de la plus haute instance judiciaire de France. Le Sénégal et les pays africains doivent s'inspirer du modèle français.
Un ancien premier ministre ou un ancien président de l'Assemblée Nationale peut très bien être membre du Conseil Constitutionnel et le présider.
Tanguekholl
En Juin, 2022 (10:36 AM)Ils lui balisées le terrain pour 2024
Le peuple fera face
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