Dans le cadre de sa tradition annuelle de désigner L’Homme de l’année, Seneweb a fait son choix sur le Président de la République, Macky Sall, qui aura marqué d’une empreinte indélébile l’année 2023. Par son renoncement à briguer un mandat de trop, son rayonnement à l’international, il a marqué les douze derniers mois. En revanche, ses fausses notes, ses sorties de piste, ses décisions jugées ‘’antidémocratiques’’ et ses coups de boutoir contre ses opposants notamment Ousmane Sonko, ont également été retentissants durant ces 365 derniers jours.
Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, le président de la République du Sénégal, Macky Sall a singulièrement marqué l’année 2023. En bien comme en mal ! Il a été omniprésent dans toute l’actualité socio-politique de ces 365 derniers jours. Le leader de la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar (BBY), est en train de boucler ses douze années à la tête de la magistrature suprême du pays sur une note très mitigée.
Si à l’international l’ex-président de l’Union Africaine (5 février 2022- 18 février 2023) et porteur de la voix du continent s’est montré sous des atours reluisants d’un démocrate épris de justice, ses agissements en interne notamment sa propension à gérer la chose politique d’une main de fer à peine couverte d’un gant de velours, jure le contraire.
Autant ses actions et réalisations dans certains secteurs sont loués (TER, BRT, Stade Abdoulaye Wade, Dakar Arena, ponts, autoponts, autoroutes, universités, allocation spéciale pour les militaires invalides à la retraite, entre autres). Autant son bilan ‘’immatériel’’ marqué par des scandales à foison (Petrotim, Force Covid-19, rapports accablants des corps de contrôle) et un abus pernicieux à mater ses opposants (Karim Wade, Khalifa Sall, Ousmane Sonko) par le biais de la justice, ont fait jaser durant toute l’année.
Renoncement au 3e mandat, une décision historique
A pile, s’il y a une seule chose sur laquelle Macky Sall a réussi à faire unanimité - ou presque- cette année, c’est sur sa décision de renoncer à briguer un troisième mandat. Et ceci, précise-t-il à tue-tête, « même si la constitution » lui en donne le droit. En effet, après des années de flou et de clair-obscur, il s’est finalement gardé de goûter au fruit interdit (le 3e mandat) même si l’envie semblait le faire saliver. Une décision historique prise, un mois après les émeutes sanglantes, plus de 20 morts au total, qui ont suivi la condamnation de Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme dans l’affaire Adji Sarr, pour décrisper une situation politico-sociale extrêmement tendue.
Le lundi 3 juillet 2023, Macky regagne, le temps d’un message à la nation très attendu, la sympathie de la majorité des Sénégalais. « Mes cher(e)s compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024. Et cela, même si la constitution m’en donne le droit. En effet, depuis la révision constitutionnelle de 2016, le débat juridique a été définitivement tranché par la décision du Conseil Constitutionnel n°1-C-2016 du 12 février 2016 », confie-t-il, tirant les sénégalais d’une profonde torpeur.
Au-delà de ces derniers qui craignaient que l’ancien premier ministre de Wade (avril 2004- juin 2007) marche sur les pas de son ex-mentor, ses partisans aussi -qui l’ont investi candidat le 7 janvier 2023 au Grand Théâtre- ont reçu une douche froide. « Je sais que cette décision surprendra tous ceux et celles nombreux dont je connais l’admiration, la confiance et la fidélité sincères. Elle surprendra aussi ceux et celles qui souhaitent me voir encore guider la construction du pays qui trouve de plus en plus ses marques. Mais le Sénégal dépasse ma personne et il est rempli de leaders également capables de pousser le pays vers l’émergence », leur lance-t-il. Ses rivaux les plus radicaux lui tirent leur chapeau.
Rayonnement à l’international
Du Caire au Cap et bien au-delà, le monde entier a applaudi. Les chancelleries occidentales qui s’étaient ouvertement exprimées contre les velléités de briguer un troisième mandat dans une sous-région déjà éprouvée par les crises politiques, saluent la décision. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres est le premier à ouvrir le bal en exprimant, dans une note, « sa profonde estime » pour Macky Sall.
« La déclaration claire du président Sall est un exemple pour la région, contrairement à ceux qui cherchent à éroder le respect des principes démocratiques, y compris la limitation des mandats », a commenté le secrétaire d’État américain, Antony Blinken.
Même son de cloche à l’Élysée où Emmanuel Macron qui s’était échiné, lors d’un tête-à-tête quelques mois auparavant, à le dissuader de briguer un mandat de trop, évoquait la possibilité d’une reconversion au G20 ou à l’ONU si Macky Sall renonce. « Le Sénégal démontre à nouveau la solidité de sa longue tradition démocratique », jubile le président Français.
La côte de popularité de Macky Sall qui avait fortement dégringolé depuis l’éclatement en mars 2021 de l’affaire Ousmane Sonko, reprend sensiblement la courbe ascendante après cette décision de haute portée. L’élève du Pape du Sopi est cité en exemple dans le monde entier pour avoir décidé d’organiser des élections auxquelles il ne participera pas en 2024. S’ensuivent à l’international des distinctions : prix de la ligue islamique mondiale, prix d’excellence du Président de la Caf 2023, bâtisseur africain de la décennie, futur envoyé spécial de la France au 4P, entre autres.
Démocrate à l’étranger, intransigeant au Sénégal
A face, d’aucuns estiment que le ‘’jeune’’ président sortant -il a soufflé sa 62e bougie le 11 décembre dernier-, qui venait de polir son image le 3 juillet 2023, s’emploie inlassablement à noircir ce tableau. Surtout par sa manière du reste ‘’anti-démocratique’’, selon certains, avec laquelle il gère ce qu’il est convenu d’appeler le dossier Ousmane Sonko (opposant en chef). Comme il l’avait dit, il a pesé de tout son poids sur cette affaire politico-judiciaire.
Ainsi, derrière l’assignation à résidence pendant 55 jours de l’opposant jugé ‘’illégale’’, sa condamnation par contumace au délit ‘’obsolète’’ (selon des praticiens du droit) de corruption de la jeunesse, sa radiation des listes électorales, la dissolution de son parti Pastef, l’emprisonnement de centaines de ses militants, le refus de la direction générale des élections (DGE) de lui donner ses fiches de parrainages en dépit de décisions de justice qui lui sont favorables…, beaucoup y voit la main « ferme » de Macky Sall. La dissolution totale de la Cena (contraire aux textes), par le président de la République, pour avoir enjoint la DGE de délivrer à l’opposant ses fiches, semble leur donner raison.
Autre point noir qui a suscité un très grand tollé au Sénégal et au pays de Marianne en 2023, c’est la visite polémique au Sénégal et le tête-à-tête (le 18 janvier 2023) entre le président Macky Sall et la présidente du Rassemblement National (RN), Marine Le Pen. Un « don » présumé de 7,9 milliards de francs CFA a pollué cette entrevue au soubassement politique. « Avez-vous récemment donné de l’argent à une personnalité politique française ? Dans l’affirmative, est-ce un montant de 12 millions d’euros (environ 7,9 milliards de francs CFA) ? », avait d’ailleurs demandé, dans une lettre ouverte adressée au Chef de l’État, l’ancien premier ministre (2007-2009) et ancien président de la Commission de l’UEMOA, Hadjibou Soumaré. Ce qui lui avait valu des jours de garde-à-vue et un contrôle judiciaire.
Frustrations, regrets, claques à ses alliés
A quelques mois de la fin de son bail au Palais de la République, le président Sall montre une certaine frilosité, dans ses dernières sorties médiatiques, qui cache mal ses appréhensions de l’après-pouvoir. Ses sautes d’humeur, des piques de colère (contre Pierre Goudiaby Atepa et les cadres casamançais), ainsi que les sévères critiques contre ses propres alliés lors de la clôture de sa tournée économique à Fatick à la mi-novembre 2023, trahissent, selon plusieurs observateurs, un profond mal-être.
Bien qu’il ait choisi, contre vents et marées, son Premier ministre Amadou Ba comme candidat de Benno Bokk Yakaar (en septembre 2023), Macky Sall continue encore de s’imposer comme le seul maître à bord.
Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, le président de la République du Sénégal, Macky Sall a singulièrement marqué l’année 2023. En bien comme en mal ! Il a été omniprésent dans toute l’actualité socio-politique de ces 365 derniers jours. Le leader de la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar (BBY), est en train de boucler ses douze années à la tête de la magistrature suprême du pays sur une note très mitigée.
Si à l’international l’ex-président de l’Union Africaine (5 février 2022- 18 février 2023) et porteur de la voix du continent s’est montré sous des atours reluisants d’un démocrate épris de justice, ses agissements en interne notamment sa propension à gérer la chose politique d’une main de fer à peine couverte d’un gant de velours, jure le contraire.
Autant ses actions et réalisations dans certains secteurs sont loués (TER, BRT, Stade Abdoulaye Wade, Dakar Arena, ponts, autoponts, autoroutes, universités, allocation spéciale pour les militaires invalides à la retraite, entre autres). Autant son bilan ‘’immatériel’’ marqué par des scandales à foison (Petrotim, Force Covid-19, rapports accablants des corps de contrôle) et un abus pernicieux à mater ses opposants (Karim Wade, Khalifa Sall, Ousmane Sonko) par le biais de la justice, ont fait jaser durant toute l’année.
Renoncement au 3e mandat, une décision historique
A pile, s’il y a une seule chose sur laquelle Macky Sall a réussi à faire unanimité - ou presque- cette année, c’est sur sa décision de renoncer à briguer un troisième mandat. Et ceci, précise-t-il à tue-tête, « même si la constitution » lui en donne le droit. En effet, après des années de flou et de clair-obscur, il s’est finalement gardé de goûter au fruit interdit (le 3e mandat) même si l’envie semblait le faire saliver. Une décision historique prise, un mois après les émeutes sanglantes, plus de 20 morts au total, qui ont suivi la condamnation de Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme dans l’affaire Adji Sarr, pour décrisper une situation politico-sociale extrêmement tendue.
Le lundi 3 juillet 2023, Macky regagne, le temps d’un message à la nation très attendu, la sympathie de la majorité des Sénégalais. « Mes cher(e)s compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024. Et cela, même si la constitution m’en donne le droit. En effet, depuis la révision constitutionnelle de 2016, le débat juridique a été définitivement tranché par la décision du Conseil Constitutionnel n°1-C-2016 du 12 février 2016 », confie-t-il, tirant les sénégalais d’une profonde torpeur.
Au-delà de ces derniers qui craignaient que l’ancien premier ministre de Wade (avril 2004- juin 2007) marche sur les pas de son ex-mentor, ses partisans aussi -qui l’ont investi candidat le 7 janvier 2023 au Grand Théâtre- ont reçu une douche froide. « Je sais que cette décision surprendra tous ceux et celles nombreux dont je connais l’admiration, la confiance et la fidélité sincères. Elle surprendra aussi ceux et celles qui souhaitent me voir encore guider la construction du pays qui trouve de plus en plus ses marques. Mais le Sénégal dépasse ma personne et il est rempli de leaders également capables de pousser le pays vers l’émergence », leur lance-t-il. Ses rivaux les plus radicaux lui tirent leur chapeau.
Rayonnement à l’international
Du Caire au Cap et bien au-delà, le monde entier a applaudi. Les chancelleries occidentales qui s’étaient ouvertement exprimées contre les velléités de briguer un troisième mandat dans une sous-région déjà éprouvée par les crises politiques, saluent la décision. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres est le premier à ouvrir le bal en exprimant, dans une note, « sa profonde estime » pour Macky Sall.
« La déclaration claire du président Sall est un exemple pour la région, contrairement à ceux qui cherchent à éroder le respect des principes démocratiques, y compris la limitation des mandats », a commenté le secrétaire d’État américain, Antony Blinken.
Même son de cloche à l’Élysée où Emmanuel Macron qui s’était échiné, lors d’un tête-à-tête quelques mois auparavant, à le dissuader de briguer un mandat de trop, évoquait la possibilité d’une reconversion au G20 ou à l’ONU si Macky Sall renonce. « Le Sénégal démontre à nouveau la solidité de sa longue tradition démocratique », jubile le président Français.
La côte de popularité de Macky Sall qui avait fortement dégringolé depuis l’éclatement en mars 2021 de l’affaire Ousmane Sonko, reprend sensiblement la courbe ascendante après cette décision de haute portée. L’élève du Pape du Sopi est cité en exemple dans le monde entier pour avoir décidé d’organiser des élections auxquelles il ne participera pas en 2024. S’ensuivent à l’international des distinctions : prix de la ligue islamique mondiale, prix d’excellence du Président de la Caf 2023, bâtisseur africain de la décennie, futur envoyé spécial de la France au 4P, entre autres.
Démocrate à l’étranger, intransigeant au Sénégal
A face, d’aucuns estiment que le ‘’jeune’’ président sortant -il a soufflé sa 62e bougie le 11 décembre dernier-, qui venait de polir son image le 3 juillet 2023, s’emploie inlassablement à noircir ce tableau. Surtout par sa manière du reste ‘’anti-démocratique’’, selon certains, avec laquelle il gère ce qu’il est convenu d’appeler le dossier Ousmane Sonko (opposant en chef). Comme il l’avait dit, il a pesé de tout son poids sur cette affaire politico-judiciaire.
Ainsi, derrière l’assignation à résidence pendant 55 jours de l’opposant jugé ‘’illégale’’, sa condamnation par contumace au délit ‘’obsolète’’ (selon des praticiens du droit) de corruption de la jeunesse, sa radiation des listes électorales, la dissolution de son parti Pastef, l’emprisonnement de centaines de ses militants, le refus de la direction générale des élections (DGE) de lui donner ses fiches de parrainages en dépit de décisions de justice qui lui sont favorables…, beaucoup y voit la main « ferme » de Macky Sall. La dissolution totale de la Cena (contraire aux textes), par le président de la République, pour avoir enjoint la DGE de délivrer à l’opposant ses fiches, semble leur donner raison.
Autre point noir qui a suscité un très grand tollé au Sénégal et au pays de Marianne en 2023, c’est la visite polémique au Sénégal et le tête-à-tête (le 18 janvier 2023) entre le président Macky Sall et la présidente du Rassemblement National (RN), Marine Le Pen. Un « don » présumé de 7,9 milliards de francs CFA a pollué cette entrevue au soubassement politique. « Avez-vous récemment donné de l’argent à une personnalité politique française ? Dans l’affirmative, est-ce un montant de 12 millions d’euros (environ 7,9 milliards de francs CFA) ? », avait d’ailleurs demandé, dans une lettre ouverte adressée au Chef de l’État, l’ancien premier ministre (2007-2009) et ancien président de la Commission de l’UEMOA, Hadjibou Soumaré. Ce qui lui avait valu des jours de garde-à-vue et un contrôle judiciaire.
Frustrations, regrets, claques à ses alliés
A quelques mois de la fin de son bail au Palais de la République, le président Sall montre une certaine frilosité, dans ses dernières sorties médiatiques, qui cache mal ses appréhensions de l’après-pouvoir. Ses sautes d’humeur, des piques de colère (contre Pierre Goudiaby Atepa et les cadres casamançais), ainsi que les sévères critiques contre ses propres alliés lors de la clôture de sa tournée économique à Fatick à la mi-novembre 2023, trahissent, selon plusieurs observateurs, un profond mal-être.
Bien qu’il ait choisi, contre vents et marées, son Premier ministre Amadou Ba comme candidat de Benno Bokk Yakaar (en septembre 2023), Macky Sall continue encore de s’imposer comme le seul maître à bord.
60 Commentaires
Facture
En Décembre, 2023 (08:33 AM)Yatt
En Décembre, 2023 (08:48 AM)Par contre la "facture" est juste des miettes !!
Le niakdiomisme est mal payé.
Ndiago
En Décembre, 2023 (09:26 AM)Reply_author
En Décembre, 2023 (09:56 AM)Eye
En Décembre, 2023 (10:41 AM)Bouba
En Décembre, 2023 (14:02 PM)Reply_author
En Décembre, 2023 (14:41 PM)Ousmane Sonko
En Décembre, 2023 (08:36 AM)Birima Ingenieur
En Décembre, 2023 (08:41 AM)Ngom
En Décembre, 2023 (08:48 AM)Jambaar
En Décembre, 2023 (08:48 AM)Anus Horribilis!!!
En Décembre, 2023 (09:08 AM)Chaloupe De Gorée!!!
En Décembre, 2023 (09:27 AM)Déception
En Décembre, 2023 (09:29 AM)Patriote
En Décembre, 2023 (09:31 AM)Non
En Décembre, 2023 (09:39 AM)Coco Bougane
En Décembre, 2023 (09:49 AM)A l’orée de la Présidentielle de 2024, la coalition Gueum Sa Bopp a procédé, samedi, à l’investiture de son candidat. Bougane Guèye a profité de l’occasion pour présenter son livre qui exprime sa vision pour le Sénégal. « J’ai écrit un ouvrage qui représente mon programme de gouvernance pour le pays. C’est sans aucun doute le travail le plus précieux que j’ai réalisé. Je tiens à souligner qu’il ne s’agit pas d’une question de diplômes ou d’études longues, mais plutôt d’une question d’amour et de croyance en notre pays pour aspirer à le gouverner. Nous devons remédier aux hauts prix des denrées alimentaires, mettre fin à une justice bâillonnée, et lutter contre des coûts de santé exorbitants, parmi tant d’autres problèmes de mauvaise gouvernance dans notre pays », a-t-il indiqué.
Selon le patron de D-Média, le problème des Sénégalais est à imputer au gouvernement actuel. « Mon ouvrage nous guidera vers la lumière au bout du tunnel. Ensemble, nous transformerons notre pays. Je lance un appel à la jeunesse pour ne pas se laisser utiliser. Le pays est difficile, les difficultés sont bien présentes, mais vos souffrances seront atténuées en 2024. Je suis ici avec mes enfants et je vous promets que si je ne parviens pas à transformer le Sénégal, je n’ai pas mérité de remporter les élections », a-t-il déclaré avant d’ajouter : « Une fois élu président, je ne serai pas le père de la nation, ni le gardien de la Constitution, mais plutôt le serviteur de la République. Je veux que vous compreniez que le véritable changement pour notre pays provient de nous-mêmes. J’ai écrit mon ouvrage en prenant en compte les avis de tous les acteurs du pays, indépendamment de leur obédience. »
Il s’est également exprimé sur la problématique du foncier dans notre pays. « Le problème foncier reste l’un des défis les plus sérieux auxquels nous sommes confrontés au Sénégal. Je veux que vous soyez convaincus que si je suis élu président de la République, aucun de nos terres ne sera dilapidé et aucun étranger n’aura accès à notre foncier. Comme je l’ai déjà énoncé dans mon ouvrage « Tekki », aucun terrain ne sera accordé à un étranger au Sénégal. Nous assumerons nos responsabilités. Cette jeunesse est déterminée à transformer le Sénégal de manière imminente. Ensemble, nous évincerons ces politiciens professionnels, nous ferons sortir ces voleurs qui dilapident nos deniers publics, et nous ne permettrons pas à ceux qui désirent ruiner le Sénégal de continuer leurs méfaits », a-t-il assuré.
Bougane Guèye se dit conscient que les temps sont durs, que les familles souffrent, que les gens sont perdus, mais il assure que les difficultés des Sénégalais seront atténuées en 2024, lorsqu’il aura remporté les élections. Il a également tenu à souligner l’importance des femmes qui sont au cœur de sa politique, car, estime-t-il, elles détiennent l’avenir des enfants. Aussi, les encourage-t-elles à être fortes face au choix du prochain Président.
Par ailleurs, Bougane Guèye Dani a présenté ses condoléances aux familles des Diambars tombés au front en Casamance. « C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris que quatre de nos valeureux Diambars sont tombés au combat en Casamance lors de l’explosion d’une mine anti-char. A toute la Nation et aux familles de nos soldats, je présente mes plus sincères condoléances. Cette tragédie doit nous rappeler combien les champs de mines menacent quotidiennement la vie de nos compatriotes casamançais et combien cette crise hypothèque le développement du formidable potentiel économique de notre chère et belle Casamance », a-t-il dit ajoutant que des équipements anti-mines modernes et performants pour nos soldats, l’accélération de la cartographie des champs de mines et le renforcement des opérations de déminage, la paix définitive en Casamance doivent être des chantiers prioritaires au soir du 25 février 2024.
Diamants De L'année ???
En Décembre, 2023 (09:50 AM)Sonko Rek
En Décembre, 2023 (09:58 AM)Focus rek
Reply_author
En Décembre, 2023 (19:39 PM)Omar
En Décembre, 2023 (10:08 AM)Cheikh
En Décembre, 2023 (10:20 AM)Jld
En Décembre, 2023 (10:34 AM)Dans la liste des réalisations, il n y a malheureusement pas une réalisation sur la santé qui à mon avis devrait être la priorité numéro 1. Mais comme eux ils se soignent en France ou au Maroc il le relègue au dernier plan et nous laisse mourir.
Macky Korr Marieme Faye
En Décembre, 2023 (11:39 AM)Jack
En Décembre, 2023 (11:40 AM)Yereum
En Décembre, 2023 (11:49 AM)Baudruche
En Décembre, 2023 (12:06 PM)Khadim
En Décembre, 2023 (12:30 PM)Etre à la tete dun son pays poru plaire aux autres mais pas poru son peuple ca sert a quoi. Sekou TOURE avait dit une fois je cite " les presidents adoubés et aimés de l'occident et des autres est un malheur et une calamité pour son pays et son peuple" Et ici ses paroles sont bien materialisées par macky sall.
Coolboy
En Décembre, 2023 (12:44 PM)Adji Sarr Homme De L'annee
En Décembre, 2023 (13:08 PM)Taq
En Décembre, 2023 (13:28 PM)Khadim Ny
En Décembre, 2023 (13:35 PM)Non C'est Triste
En Décembre, 2023 (13:38 PM)Ceci detruit la balance entre le bien et le mal (ange ou demon).
la seule chose que l'on peut dire c'est de se donner rendez-vous dans deux mois.
Tombon
En Décembre, 2023 (13:44 PM)Senegal Rek
En Décembre, 2023 (16:31 PM)Reply_author
En Janvier, 2024 (10:36 AM)Oumar Sy
En Décembre, 2023 (16:59 PM)M N
En Décembre, 2023 (17:04 PM)Le Soir Be
En Décembre, 2023 (18:15 PM)Depuis deux ans, le couple présidentiel congolais loue pour 20.000 euros par mois une villa uccloise de prestige. Le propriétaire n’est autre que Robert Levy, fondateur et président d’une des plus grandes banques de RDC.
Des responsables d’Amsterdam ont défini lundi l’emplacement d’un projet de « centre érotique » controversé – destiné à remplacer cent fenêtres du célèbre Quartier rouge – sur un boulevard bordant un quartier d’affaires de la capitale néerlandaise et proche de zones résidentielles. L’Europaboulevard, dans le sud de la ville, « est l’emplacement le plus approprié pour le nouveau centre érotique », a décidé l’exécutif municipal. « Ce choix sera soumis au conseil municipal » début 2024, a-t-il précisé dans un communiqué.
Kane
En Décembre, 2023 (20:02 PM)Anonyme
En Décembre, 2023 (21:17 PM)France Dégage
En Décembre, 2023 (23:43 PM)Jambaar
En Décembre, 2023 (07:38 AM)Bate Deug
En Décembre, 2023 (12:37 PM)Maquis chasse le Président du CENA Doudou NDIR pour voler la non élection de 2024
Des partis avatars du maquis, khoussmaniappe genre Mouhamad boune abdallah dione, Aly ngouille, Mame boye diaw, Alioune SARR, Pape djibril Fall, Boune dione, aly ngouille, birima mangara, khalifa sall, alioune sarr , karim wade et d’autres crées par le Maquis pour légitimer le hold up électoral de 2024 avec élimination par le conseil constitutionnel sur ordre du maquis d’éliminer la vraie opposition qui représente le sénégal
Maquis et tous les partis nés de ses flancs seront écrasés au premier tour
Dans une élection normale , maquis et ses ouailles seront laminés au premier tour
Pas de deuxième tour en 2024
Maquis prêt à sacrifier la nation pour se perpétuer au pouvoir en manipulant amadou BA son successeur ethnique
Sénégalais , réveillez vous, arrêtons le monstre
Plus de 60 morts depuis mars 2021
Des milliers de blessés
Un passeport pour exiler à Londres Adji Sarr la pute du complot aux frais du contribuable
Un autre passeport à Penda qui a insulté les wolofs à londres aux frais du contribuable
Un passeport pour exiler karim wade au Qatar pour le faire revenir bientôt pour contrer sonko et tenter de conserver le pouvoir
Des milliers de prisonniers politiques, dont le maire des Partcelles assainies, Jamil Sané et Bilal Diatta de Keur Massar, le sénégal devient une prison à ciel ouvert
Internet coupé, Walf fermé, des journalistes emprisonnés
Maquis qui insulte tous azimuts par la gueule de ses insulteurs genre Ndogou wack seck, moustapha diakhassé,
Maquis qui interdit aux poulars de fréquenter les médias et qui charge wolofs et diolas d’insulter sonko
Des boutiques, commerces, entreprises rasées , des centaines de milliards perdus
Finalement pas de viol, la pute du complot est entretenue comme ses avocats avec nos impots
Trop c est trop
Le maquis en éternel comploteur qui manipule les institutions judiciaires, couchées, aplaties, gendarmerie, police, armée, assemblée, pour liquider des adversaires qu il n a pas le courage d affronter démocratiquement
Maquis et la prostitution politique sans la carte sanitaire du maquis de mercenaires comme Madiambal, cheikh yérim, TFM RFM RTS 2STV 7TV Maimouna ndour, etc
Maqquis mamour diallo voleur de 94 milliards
Restez chez vous pour détourner Mille milliards du COVID
Maquis et le député Bougazelli trafiquant de faux billets et financier de l APR
Maquis et les député BIaye et Sall « vendeurs « ede passeports diplomatiques et financiers de l APR
Maquis et MBaam Mbaye NIANG voleur de 50 milliards du PRODAC
Maquis n organise pas des élections mais des séléctions avec des candidats khoussmaniappes de son choix , issus de l APR et de l’opposition fabriquée par maquis,
Maquis fabrique des candidats fantoches , de vrais faux opposants pour faire valoir
Maquis empeche le vote des jeunes
Maquis sabote le vote à touba , en casamance et en zone wolof
Maquis par fraude industrielle fait voter des mauritaniens à matam et à podor qui deviennent bizarrement les plus grands bassins électoraux du sénégal devant Thiès et Kaolack Toub avec plus d un million d’habitants, par sabotage de maky, ne peut meme pas avoir 200 mille electeturs
Maky se fait battre dans toutes les grandes villes lors des législatives par sonko
Maky se fait battre par la liste des remplaçants de sonko lors des législatives
Posez la grille ethnique pour lire le maquis ethnicisme émergent
15 ministres poulars sur 39 dont le PM, le SG de la présidence, le PR
APR alliance des poulars de la république
Amadou BA en poular pour le troisième mandat Maquis qui ne fera jamais sa déclaration de patrimoine en entrée comme en sortie
Des nominations et recrutements politiques engendrant toucoulorisation de le république, néddo bandoum partout
Maquis a cassé la nation
Sonko ou rien
Sonko ou le chaos
Karim emprisonné par maky pour vol de 3000 milliards, Khalifa vole 3 milliards pour vol, Maky l emprisonne
Maky les réhabilite pour tenter de liquider SONKO qui n a jamais volé
Le peuple défendra l’ange SONKO face au monstre maquis
Maky pire que le nazisme qui assassine la démocratie par des arrestations, dissolutions de partis,
Maky n a jamais organisé d election , mais des selections
Maky manipule pour se faire remplacer par néddo banddoum à un halpoular qui va gagner la présidentielle de 2024 avec 70% au premier tour avec des candidats de diversion comme d’habitude
Maky défait avec les manifestations de mars 2021
Maky défait encore lors des elections locales
Maky défait encore avec législatives, battu par les remplaçants de SONKO
Maky humilié avec les manifestations de juin 2023
Maky capitule sans gloire ni honneur mais le combat continue
Maquis ne peut pas dissoudre le PASTEF qui est dans les coeurs
Maquis ne peut pas détruire les sénégalais
Maquis ne peut pas dissoudre la colère volcanique dans le cœur du peuple
Maquis champion du monde des coups d’état politique, électoraux, constitutionnels
De toutes les façons, le peuple fera du tous sauf maquis et ses excroissances cancérigènes de partis fabriqués par maquis et issus de Benno bokk bakkar qui travaillent pour un troisième mandat sans maqis en chair et os mais un vrai maquis virtuel
Maquis ont commandité des milliers de sondages qui donnent sonko vainqueur au premier tour
Wékki Maky, kaala SONKO Président en 2024
SONKO s’est sacrifié pour le Sénégal, sacrifions-nous pour SONKO
Mohamed Lo
En Janvier, 2024 (13:03 PM)Participer à la Discussion