"Amadou Ba n’ignore pas ce travail du Réseau parlementaire pour la bonne gouvernance (RGM) en tant que ministre des Finances. Alors, lors de sa première et dernière apparition au Forum des mines, il aurait dû rendre hommage au RGM. C’est un minimum", selon Mamadou Lamine Diallo du mouvement Tekki dans sa question hebdomadaire.
Mais pour le parlementaire, « l’honnêteté intellectuelle ne fait pas partie de l’ADN de l’APR ». D'après lui, il urge d’encadrer les pouvoirs du président de la République en matière de gouvernance minérale. « C’est ce que je me propose de faire, une fois élu en 2024", dit-il.
Et de rappeler : « Le Réseau parlementaire pour la bonne gouvernance des ressources minérales a été lancé en 2015 sous ma présidence. Pendant des années, les députés ont compris, avec la société civile, les enjeux de la gestion des mines, du pétrole et du gaz. Ils ont effectué des visites de terrain, participé à des séminaires et même visité des pays miniers comme le Ghana. Les députés ont visité le département de Saraya, les sociétés qui produisent l’or et des sites d’orpaillage irréguliers. Ils ont transmis à l’exécutif leurs constats et recommandations, en particulier sur la pauvreté absolue des zones minières comme Saraya. J’ai fait un mandat de cinq ans et cédé la place à l’honorable Demba Babayel Sow de l’APR. C’est le député Ayib Daffé qui va présider le RGM. »
5 Commentaires
Decidement
En Octobre, 2023 (20:30 PM)-
Et pourtant le Sénégal a fait autant de progrès avec ce Président. C'est ce qu'on demande non. Le débat est ailleurs. Que tous les présidents qui vont suivre fassent comme lui.
Répondre
+27
-1
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
En Octobre, 2023 (20:47 PM)On voulait vous entendre sur les questions sécuritaires. Voilà le défi qu'il faut relever. Les ennemis du Sénégal sont à traquer à l'intérieur pour ne pas anéantir les progrès qui se réalise de jour jour. Certains politiciens sont complètement dépassé de ce temps.
Il est crucial d'éviter une cacophonie ou des bavardages inutiles au sommet de l'État, car cela peut entraîner des confusions, des malentendus et ultimement des crises. Une communication claire, une vision partagée et une direction forte sont des éléments clés pour naviguer à travers les défis complexes que ces nations peuvent rencontrer.
Les événements de 1962, bien que lointains, restent dans la mémoire collective et soulignent la nécessité d'avoir un leadership éclairé. La présence d'un chef capable de guider la nation, de prendre des décisions judicieuses et de maintenir l'unité est indispensable pour le progrès et la prospérité du Sénégal. Cette notion de leadership fort doit toutefois s'accompagner d'une gouvernance responsable, transparente et inclusive, garantissant ainsi que les intérêts et les droits de tous les citoyens sont respectés et protégés.
Boss
En Octobre, 2023 (11:25 AM)Participer à la Discussion