Le Président Bassirou Diomaye Faye a convoqué, le 5 avril dernier, l’ancien ministre des Pèches, Pape Sagna Mbaye, et le Directeur général de la Société des infrastructures de réparation navale (SIRN), Serigne Saliou Samb. L’Observateur, qui donne l’information, révèle qu’il était question de l’affaire de la concession des chantiers de réparations navales de Dakar dont les derniers développement éveillent des soupçons.
Déjà, les intérêts tournent autour de 80 milliards de francs CFA, estime le quotidien d’information. La source évoque aussi l’intervention du président sortant, Macky Sall, indiquant que « quelques jours avant son départ, (celui-ci) avait porté son choix sur le groupement sénégalo-turc ‘’DakarNaval-Ozata Shipyard’’ pour bénéficier de la nouvelle concession » après l’expiration des 25 ans de la convention alors attribuée à Dakarnave.
Selon le journal du Groupe futurs médias (GFM), « DakarNaval-Ozata Shipyard » a remporté la mise suite à un appel d’offres à l’issue duquel cinq candidatures ont été retenues. Son offre jugée « plus alléchante », « DakarNaval-Ozata Shipyard » a obtenu 79 points contre 69 pour son principal concurrent, le consortium « Damen-Atmar-Maritalia ».
L’Obs précise par ailleurs que dans le procès verbal du dépouillement, le groupe sénégalo-turc a proposé un ticket d’entrée de 3 milliards contre 550 millions pour Damien.
Il est aussi mentionné, souligne le quotidien d’information, que « l’entreprise Ozata a proposé des conditions plus avantageuses en ce qui concerne la prise en charge des impératifs du service public, de sécurité et défense nationale, en lien avec le caractère sensible et stratégique de l’exploitation des chantiers navals. »
En plus de l’actionnariat « 70% détenus par l’État et les opérateurs privés sénégalais contre 30% pour le partenaire turc », les retombées financières sont estimées à 107 milliards », chiffre la source.
Celle-ci rapporte toutefois que le consortium « Damen-Atmar-Maritalia » a saisi l'Autorité de Régulation de la Commande publique. (ARCOP) pour « contester la procédure ». Le gendarme des marchés publics a prononcé « la suspension provisoire » et demandé « des éléments d’intimations à la SIRN ».
Le nouveau ministre des Pèches, Fatou Diouf, a été instruit par le chef de l’État sénégalais, « de suivre l’affaire ».
Déjà, les intérêts tournent autour de 80 milliards de francs CFA, estime le quotidien d’information. La source évoque aussi l’intervention du président sortant, Macky Sall, indiquant que « quelques jours avant son départ, (celui-ci) avait porté son choix sur le groupement sénégalo-turc ‘’DakarNaval-Ozata Shipyard’’ pour bénéficier de la nouvelle concession » après l’expiration des 25 ans de la convention alors attribuée à Dakarnave.
Selon le journal du Groupe futurs médias (GFM), « DakarNaval-Ozata Shipyard » a remporté la mise suite à un appel d’offres à l’issue duquel cinq candidatures ont été retenues. Son offre jugée « plus alléchante », « DakarNaval-Ozata Shipyard » a obtenu 79 points contre 69 pour son principal concurrent, le consortium « Damen-Atmar-Maritalia ».
L’Obs précise par ailleurs que dans le procès verbal du dépouillement, le groupe sénégalo-turc a proposé un ticket d’entrée de 3 milliards contre 550 millions pour Damien.
Il est aussi mentionné, souligne le quotidien d’information, que « l’entreprise Ozata a proposé des conditions plus avantageuses en ce qui concerne la prise en charge des impératifs du service public, de sécurité et défense nationale, en lien avec le caractère sensible et stratégique de l’exploitation des chantiers navals. »
En plus de l’actionnariat « 70% détenus par l’État et les opérateurs privés sénégalais contre 30% pour le partenaire turc », les retombées financières sont estimées à 107 milliards », chiffre la source.
Celle-ci rapporte toutefois que le consortium « Damen-Atmar-Maritalia » a saisi l'Autorité de Régulation de la Commande publique. (ARCOP) pour « contester la procédure ». Le gendarme des marchés publics a prononcé « la suspension provisoire » et demandé « des éléments d’intimations à la SIRN ».
Le nouveau ministre des Pèches, Fatou Diouf, a été instruit par le chef de l’État sénégalais, « de suivre l’affaire ».
15 Commentaires
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En Avril, 2024 (08:03 AM)Reply_author
En Avril, 2024 (08:10 AM)Reply_author
En Avril, 2024 (09:23 AM)Reply_author
En Avril, 2024 (08:12 AM)Reply_author
En Avril, 2024 (10:01 AM)Replyciro_author
En Avril, 2024 (15:21 PM)Arretez svp.
"L’Obs précise par ailleurs que dans le procès verbal du dépouillement, le groupe sénégalo-turc a proposé un ticket d’entrée de 3 milliards contre 550 millions pour Damien.
Il est aussi mentionné, souligne le quotidien d’information, que « l’entreprise Ozata a proposé des conditions plus avantageuses en ce qui concerne la prise en charge des impératifs du service public, de sécurité et défense nationale, en lien avec le caractère sensible et stratégique de l’exploitation des chantiers navals. »En plus de l’actionnariat « 70% détenus par l’État et les opérateurs privés sénégalais contre 30% pour le partenaire turc », les retombées financières sont estimées à 107 milliards », chiffre la source.
Il est urgent de s'attaquer aux prêtes noms qui pillent notre pêche au profit de l'étranger. Les prêtes noms doivent prouver l'origine des fonds, les montants engagés, la valeur de leur flotte et l'historique des immatriculations des bateaux. Je n'ai pas besoin de réinventer la roue en m'adressant à un spécialiste des impots qui a pris l'initiative.
La surveillance cotière doit être renforcée avec la participation des pécheurs artisanaux qui doivent signaler les bateaux en infraction. Frontex est ici pour bloquer les tentatives de migration. Les imminutés des agents de Frontex doit être remises en question de même que leurs interventions à partir de notre pays. Notre marine doit s'occuper en priorité de la protection de nos ressources
Je constate que les pilleurs de notre économie/ressources ont adopté le bouclier= habit de l'opposant vocal pour échapper à d'éventuelles poursuites. Le but recherché c'est quand ils seront confondu suite à la rédition des comptes de dire c'est parce quîl s'opposait qu'on lepoursuit. Leurs journalistes payés et leurs influenceux tournent à plein égime. A l'image du cow boy sénégalais très vocal et qui fait feu de tout bois ces temps ci. Il ne dort à cause du pillage des fonds de l'assemblée nationale que certains lui reproche lors de son passage.
Leurs gesticulations n'arrêteront pas la rédition des comptes, quand à ceux qui cherchent des niaiseries dans les nominations, ils peuvent aller boire leur thé et chercher d'autres éléments de Niakhtou.
Ils semblent ne pas avoir les pieds sur terre, des promesses électorales peuvent elles être appliquées toutes après 20 jours. Il ne faut pas réver en couleurs. Certaines prendront des mois voir des années pour se réaliser. Alors un peu de bonne foi et d'honnèteté dans les propos quand on est responsable.
Une opposition c'est bien mais quand elle est alimentaire et/ou en défense d' intérêts crypto personnels c'est mauvais pour la démocratie. On ne peut pas tromper le peuple tout le temps.
C
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En Avril, 2024 (09:35 AM)Reply_author
En Avril, 2024 (12:24 PM)Je tiens à préciser que je ne suis pas l'auteur du commentaire que tu critiques. Je ne suis qu'un simple lecteur
meme 4 mandats ne permettront pas de tout decouvriir sur le depeçage en regle du senegal commis par le monstre poltron qui se taire au Maroc
Jak
En Avril, 2024 (09:26 AM)Kane
En Avril, 2024 (11:02 AM)Participer à la Discussion