Exceptionnellement, la traditionnelle réunion du Conseil des ministres se tient ce jeudi 2 mai au palais. Elle n’a pas eu lieu hier mercredi, à cause de la cérémonie de remise des cahiers de doléances des centrales syndicales, à l’occasion de la fête du Travail.
Cette rencontre avec le gouvernement intervient 24 heures après la visite du chef de l’Etat à Mbour 4, à Thiès, où il dit avoir constaté l’ampleur des dégâts par rapport au partage des terres entre hommes politiques.
D’ailleurs, des mesures importantes sont attendues au terme dudit conseil.
17 Commentaires
Diallo
En Mai, 2024 (13:28 PM)-
Si on avait eu un président comme Diomaye depuis 1960, le Sénégal serait aujourd'hui un el dorado doublé d'un havre de justice et de paix.
Répondre
+742
-442
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
En Mai, 2024 (14:27 PM)La déliquance foncière est un fléau pour notre pays
-
Le peuple est dessus des ministres et que, c'est l'état qui est au service du peuple. Tant que ministres et état refusent cela, rien ne marchera.
Répondre
+17
-0
Signalier
Permalink
{comment_ads}Dites Leurs Que..
En Mai, 2024 (18:29 PM)En Marche
En Mai, 2024 (19:26 PM)La pauvrete vous attend partout mais il semble que les gars ne mesure pas son ampleur.
Deeejay
En Mai, 2024 (13:29 PM)-
En Arabe aussi. Y'a plein d'arabisans dans ce pays
Répondre
+10
-1
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
En Mai, 2024 (20:39 PM)No Name
En Mai, 2024 (14:05 PM)Le Senegal
En Mai, 2024 (14:08 PM)Ce qui ce passe dépasse l'entendement.
et les gardiens d'écoles et femmes de charges 😂😂😂😂😂😂
et après vous allez etre content
quel méchanceté
Ndandane
En Mai, 2024 (14:26 PM)Demande nationale.
Fermez les frontières
Le régime de Macky Sall, récemment déchu lors des élections de mars 2024, a été caractérisé par une répression draconienne à l'encontre de toute voix discordante, en particulier les membres du Pastef, aujourd'hui vainqueurs des élections. Des accusations telles que l'offense au chef de l'État et les actes portant atteinte aux institutions étaient monnaie courante, entraînant l'incarcération de près de 2000 membres du parti, souvent pour de simples publications sur les réseaux sociaux ou des interrogations innocentes, plutôt que des affirmations.
Cette atmosphère de peur a contraint les citoyens à mesurer leurs mots dans l'espace public, sous peine de poursuites. Le Pastef a courageusement lutté contre cette oppression, mais au prix de lourdes pertes, dont l'emprisonnement de son charismatique leader, Ousmane Sonko, et du président actuel, Bassirou Diomaye Faye justement pour de simples critiques sur Facebook concernant les dysfonctionnements judiciaires dans un dossier concernant la première cité.
L'arrivée du Pastef au pouvoir a soulagé le pays, mais certains individus mal intentionnés perçoivent une brèche dans cette euphorie, anticipant une ère d'impunité. À peine un mois après leur accession au pouvoir, des critiques excessives fuse à l'encontre des nouveaux dirigeants, dépassant de loin celles formulées à l'égard de Macky Sall.
Un exemple frappant est celui d'un animateur de Snw qui, lors d'une émission publique, a osé accuser le Premier ministre actuel d’homosexualité avec des mots à peine voilés, en sachant qu'il jouira d'une totale impunité. Un autre politicien de l'APR a accusé Ousmane Sonko d'avoir reçu des milliards de la part de Macky Sall pour financer sa campagne.
Dans ce contexte, il est impératif de trouver un juste équilibre, évitant les excès du régime précédent tout en préservant la responsabilité et la légalité. Les nouvelles autorités doivent comprendre qu'elles ne sont plus dans une position d'opposition, et que les abus doivent être sanctionnés pour éviter l'ingouvernabilité. Comme l'a souligné l'écrivain et politologue Alexis de Tocqueville, "L'excès de liberté conduit à l'anarchie, et l'excès de pouvoir conduit à la tyrannie".
En observant des exemples de transition politique dans d'autres pays, comme la Tunisie après la révolution de Jasmin, où une commission de la vérité et de la dignité a été établie pour faire face aux abus du régime précédent, le Sénégal peut tirer des leçons précieuses sur la manière de restaurer la confiance du peuple tout en maintenant l'ordre et la justice.Haut du formulaire
EHD Zone Dakar le 02/05/24
Email : [email protected]
Pas De Nom
En Mai, 2024 (15:58 PM)Faye Penda
En Mai, 2024 (16:03 PM)Banbaning
En Mai, 2024 (16:39 PM)-
Avec les réseaux sociaux c'est facile maintenant. Il faut s'adapter. Un peu de pitié pour les Arame Ndao et consort qui lisent ce communiqué te fera grandir de qq cm. Parfois, ils sont en rupture de salive et s'efforcent malgré eux.
Répondre
+0
-0
Signalier
Permalink
{comment_ads}Reply_author
En Mai, 2024 (21:52 PM)Gueumeul Daur
En Mai, 2024 (16:52 PM)Nanditee
En Mai, 2024 (16:58 PM)Changement
En Mai, 2024 (18:11 PM)Le peuple inspiré est derriere vous.
La racaille s'agite et souhaite votre echec.
Ils ont pas compris ce que vous etes venus faire pour le Senegal. C'est au delà de leur comprehension et de leur imagination.
Laissons les parler et souffrir de la reussite.
Participer à la Discussion