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Ça bouge dans le dossier de West african energy (Wae). Les Échos souffle que l'ancien directeur général de Wae, Samuel Sarr sera entendu le 12 février prochain. La date de son audition a été fixée dans la foulée du rejet de sa demande de liberté provisoire.
La sentence est tombée le 5 février dernier, rembobine le journal. Qui rappelle que dans son ordonnance, le magistrat instructeur, Makha Barry, insistant sur «la gravité des faits, a ordonné «le maintien en détention» de l'accusé. Motivant sa décision, le maîtres des poursuites a soutenu, repris par la source, que «la mise en liberté provisoire de Samuel Sarr, [surtout] à ce stade de la procédure, risque de compromettre la manifestation de la vérité».
«[Une liberté provisoire] peut faciliter une éventuelle concertation [entre Samuel Sarr] avec des tiers impliqués dans la procédure, ce qui pourrait conduire à l'altération ou la destruction de preuves. [...]», craint-il.
Le quotidien d'information annonce «qu'une confrontations est [également] prévue entre [les] experts d'autant que, argue le juge d'instruction, «les conclusions de la [contre-expertise] présentent certaines incohérences».
Les avocats de la défense organisent la riposte. Ils vont interjeter appel de l'ordonnance du juge, complète Les Échos.
La sentence est tombée le 5 février dernier, rembobine le journal. Qui rappelle que dans son ordonnance, le magistrat instructeur, Makha Barry, insistant sur «la gravité des faits, a ordonné «le maintien en détention» de l'accusé. Motivant sa décision, le maîtres des poursuites a soutenu, repris par la source, que «la mise en liberté provisoire de Samuel Sarr, [surtout] à ce stade de la procédure, risque de compromettre la manifestation de la vérité».
«[Une liberté provisoire] peut faciliter une éventuelle concertation [entre Samuel Sarr] avec des tiers impliqués dans la procédure, ce qui pourrait conduire à l'altération ou la destruction de preuves. [...]», craint-il.
Le quotidien d'information annonce «qu'une confrontations est [également] prévue entre [les] experts d'autant que, argue le juge d'instruction, «les conclusions de la [contre-expertise] présentent certaines incohérences».
Les avocats de la défense organisent la riposte. Ils vont interjeter appel de l'ordonnance du juge, complète Les Échos.
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