Sexe et politique font-ils réellement bon ménage ? En tout cas au Sénégal, nombreux sont les acteurs politiques à être cités à tort ou à raison dans des scandales sexuels. De sulfureuses et détonantes affaires qui sont soit vidées par la justice, soit étouffées. Seneweb regarde dans le rétroviseur.
« Même si je ne l’ai pas violée, je ne voulais pas que l’affaire éclate. Elle m’accuse de choses graves (…) Ce sont mes amis qui m’ont conseillé de régler l’affaire à l’amiable. Ils m’ont dit que sa maman veut de l’argent… Que je n’ai qu’à lui donner une somme et qu’on en parle plus. C’est alors que j’ai appelé la dame Nd. Dionne pour négocier avec elle. Je lui ai dit que je suis prêt à lui donner de l’argent pour qu’on en parle plus ». Ce récit glaçant de Sitor Ndour devant le juge d’instruction, repris dans la presse de ce vendredi, prouve à quel point les hommes politiques, et les personnalités publiques en général, tiennent à leur image, qu’une affaire de mœurs ou des allusions de bas de ceinture peuvent ternir. Pourtant, le « cas » de l’ancien directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), accusé de viol par sa ménagère de 16 ans, n’est que le plus récent d’une longue série de scandales sexuels impliquant des hommes politiques au Sénégal.
Diombasse, Me El Hadj Diouf, Sonko,…
On se souvient ainsi de l’épisode Diombasse Diaw, qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive vers les années 2011-2012. Pour rappel, ce responsable politique de Dagana a été piégé en mauvaise posture dans un hôtel de la place par sa maîtresse qui a mis la vidéo sur le net. Le 11 septembre 2012, le tribunal a condamné les coupables de ce « chantage sexuel » orchestré contre M. Diaw, à 6 mois avec sursis et 20 millions F Cfa en guise de dommages d’intérêts.
Quelques mois plus tard, soit le 14 novembre 2012, l’homme politique et avocat sénégalais, Me El Hadji Diouf, a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à six mois de prison avec sursis pour avoir agressé sexuellement une jeune femme majeure, en mars 2012, dans la capitale française. Selon l’AFP, repris par Le Figaro, le parquet avait requis une peine de 10 mois d’emprisonnement avec sursis. L’audience s'est tenue à huis clos devant la 10e chambre du tribunal correctionnel. « Dans la procédure, il reconnaît les faits même s'il conteste, contre l'évidence, l'absence de consentement » de la jeune femme, avait d’ailleurs déclaré l’avocat de cette dernière, Me Thibault de Montbrial, qui n’avait pas souhaité évoquer davantage les faits. Mais « devant des tiers et dans la presse, il invoque un prétendu complot » quant à l’exploitation de cette affaire, a ajouté l’avocat.
Dans les médias sénégalais, El Hadji Diouf avait dénoncé un complot de la part du pouvoir en place d’Abdoulaye Wade pour l’écarter, en pleine campagne électorale.
A la tête du Parti des travailleurs et du peuple, El Hadji Diouf avait été réélu député lors des législatives, et faisait partie de la coalition soutenant le président Macky Sall. Son placement en garde à vue avait été très rapidement évoqué dans la presse sénégalaise.
Mais l’affaire qui a le plus pris en haleine l’opinion publique sénégalaise, ces derniers temps, est inéluctablement celle opposant Ousmane Sonko à Adji Sarr, ancienne employée du salon de massage ‘’Sweet beauté’’, qui accuse l’homme politique de viols multiples. Cette affaire, qui a débuté en mars 2021, en plein confinement décrété suite à l’avènement de la pandémie de Covid-19, a occasionné pas moins de 14 morts (selon la version officielle) survenus au cours des émeutes suite à l’arrestation du leader du parti Pastef/Les patriotes. Même si ce dernier a été inculpé et placé sous contrôle judiciaire par le défunt doyen des juges Samba Sall, le dossier tarde à être dépoussiéré. Dans la presse, l’on annonce une reprise « incessamment » des auditions.
A cela, il faut ajouter les nombreux cas similaires impliquant de hautes personnalités politique,s soulevés, puis vite étouffés et « gérés à l’amiable », mais aussi celles d’autres responsables politiques de moindre calibre. On peut citer le cas d’I. N., accusé, en mars dernier, d’avoir abusé d’une fille mineure « qui s’est échappée du cadre familial et s’est retrouvée entre les mains de son (bourreau présumé) et d’un de ses amis». D’après la presse, lors des dernières Locales, I. N. était dans une commune de Fatick le candidat de Yewwi Askan Wi, la coalition à laquelle appartient Pastef. Arrêté «il y a quelques jours» par la brigade de gendarmerie de Hann, il a été déféré au parquet, d’après la même source.
«Certaines femmes utilisent le sexe comme arme contre le pouvoir »
Commentant le sujet relatif aux scandales sexuels au Sénégal, le journaliste et analyste politique, Assane Samb, écrit que « certains hommes utilisent donc le pouvoir comme arme et certaines femmes, le sexe comme arme contre le pouvoir ». Il rappelle que de tout temps, les hommes politiques ont eu des relations tumultueuses, extravagantes avec les femmes. Et cette situation peut s’expliquer par plusieurs facteurs dont le plus évident, est que le pouvoir ouvre toutes les portes.
Dans une tribune exploitée par Seneweb, le directeur de publication de Rewmi quotidien ajoute que « malheureusement, le sexe est ainsi, depuis la nuit des temps, une arme politique. Des femmes peuvent servir d’appât contre les adversaires pour les détruire. L’histoire de l’humanité est jonchée d’épisodes de ce genre ». Une situation qui, d’après lui, recommande, de la part des hommes politiques, une extrême vigilance et un self-control face au fruit défendu. Mieux, souligne M. Samb, « ils doivent prendre conscience du fait que la facilité est souvent source d’ennuis. Que l’insouciance est la mère de tous nos problèmes. Et qu’il est difficile de connaître les intentions de ceux qui prétendent nous vouloir du bien. Car, c’est ça le problème. Les hommes de pouvoir savent se méfier et se défendre contre leurs adversaires ou ennemis mais rarement contre ceux qui prétendent leur vouloir du bien.Car, on ne sait jamais ce qui se cache derrière un joli sourire, gratuit, trop facilement exhibé ».
En revanche, explique le journaliste, de nombreuses femmes sont aussi victimes de la mégalomanie et du narcissisme d’hommes de pouvoir qui, n’hésitent pas à user de leur position pour des faveurs sexuelles. « Mais, l’histoire a retenu que les leaders qui s’en sortent le mieux sont ceux qui savent faire preuve de mesure et de circonspection.
Confondre pouvoir et sexe ne peut que mener au scandale, à l’humiliation et aux fins tragiques pour ceux qui sont destinés à agir sur l’évolution du monde en gouvernant ou en cherchant à gouverner les autres », ajoute l’analyste politique qui rappelle qu’«en l’amour comme à la guerre, tous les coups sont permis ».
Les hommes politiques et le sexe, un phénomène mondial ?
Quoi qu’il en soit, ce cocktail explosif politique et sexe semble devenir un phénomène mondial. Et parmi les affaires les plus médiatisées, figure celle de Dominique Strauss-Kahn, en mai 2011. Alors patron du Fonds monétaire international (Fmi) et potentiel candidat plus que favori de la présidentielle en France, il venait de « tomber entre les cuisses » d’une femme de chambre, Nafissatou Diallo, dans l'hôtel Sofitel où il séjournait.
Aux Etats-Unis également, le président Bill Clinton avait battu les records avec ses escapades amoureuses. Ses relations avec la secrétaire à la Maison Blanche Monica Lewinsky ont tenu le monde entier en haleine.
Yahya Jammeh a été accusé, après sa chute, de viols sur des gambiennes dont certaines se sont prononcées publiquement.
Pour sa part, l’ancien chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a aussi été au cœur de plusieurs scandales à caractère sexuel. Il est notamment accusé d’avoir sollicité les prestations sexuelles d'une mineure, surnommée Ruby, de février à mai 2010. Quant au président israélien Moshé Katzav, il a dû démissionner en juin 2007 à la suite d'un scandale sexuel. Le 30 décembre 2010, il est reconnu coupable d'avoir commis deux viols sur une de ses subordonnées, au ministère du Tourisme, dans les années 1990.
Le roi Henri IV de France était qualifié de roi aux 54 ou aux 75 maîtresses.
En ce temps-là, les capacités politiques étaient confondues aux performances sexuelles. La liste est longue…
« Même si je ne l’ai pas violée, je ne voulais pas que l’affaire éclate. Elle m’accuse de choses graves (…) Ce sont mes amis qui m’ont conseillé de régler l’affaire à l’amiable. Ils m’ont dit que sa maman veut de l’argent… Que je n’ai qu’à lui donner une somme et qu’on en parle plus. C’est alors que j’ai appelé la dame Nd. Dionne pour négocier avec elle. Je lui ai dit que je suis prêt à lui donner de l’argent pour qu’on en parle plus ». Ce récit glaçant de Sitor Ndour devant le juge d’instruction, repris dans la presse de ce vendredi, prouve à quel point les hommes politiques, et les personnalités publiques en général, tiennent à leur image, qu’une affaire de mœurs ou des allusions de bas de ceinture peuvent ternir. Pourtant, le « cas » de l’ancien directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), accusé de viol par sa ménagère de 16 ans, n’est que le plus récent d’une longue série de scandales sexuels impliquant des hommes politiques au Sénégal.
Diombasse, Me El Hadj Diouf, Sonko,…
On se souvient ainsi de l’épisode Diombasse Diaw, qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive vers les années 2011-2012. Pour rappel, ce responsable politique de Dagana a été piégé en mauvaise posture dans un hôtel de la place par sa maîtresse qui a mis la vidéo sur le net. Le 11 septembre 2012, le tribunal a condamné les coupables de ce « chantage sexuel » orchestré contre M. Diaw, à 6 mois avec sursis et 20 millions F Cfa en guise de dommages d’intérêts.
Quelques mois plus tard, soit le 14 novembre 2012, l’homme politique et avocat sénégalais, Me El Hadji Diouf, a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à six mois de prison avec sursis pour avoir agressé sexuellement une jeune femme majeure, en mars 2012, dans la capitale française. Selon l’AFP, repris par Le Figaro, le parquet avait requis une peine de 10 mois d’emprisonnement avec sursis. L’audience s'est tenue à huis clos devant la 10e chambre du tribunal correctionnel. « Dans la procédure, il reconnaît les faits même s'il conteste, contre l'évidence, l'absence de consentement » de la jeune femme, avait d’ailleurs déclaré l’avocat de cette dernière, Me Thibault de Montbrial, qui n’avait pas souhaité évoquer davantage les faits. Mais « devant des tiers et dans la presse, il invoque un prétendu complot » quant à l’exploitation de cette affaire, a ajouté l’avocat.
Dans les médias sénégalais, El Hadji Diouf avait dénoncé un complot de la part du pouvoir en place d’Abdoulaye Wade pour l’écarter, en pleine campagne électorale.
A la tête du Parti des travailleurs et du peuple, El Hadji Diouf avait été réélu député lors des législatives, et faisait partie de la coalition soutenant le président Macky Sall. Son placement en garde à vue avait été très rapidement évoqué dans la presse sénégalaise.
Mais l’affaire qui a le plus pris en haleine l’opinion publique sénégalaise, ces derniers temps, est inéluctablement celle opposant Ousmane Sonko à Adji Sarr, ancienne employée du salon de massage ‘’Sweet beauté’’, qui accuse l’homme politique de viols multiples. Cette affaire, qui a débuté en mars 2021, en plein confinement décrété suite à l’avènement de la pandémie de Covid-19, a occasionné pas moins de 14 morts (selon la version officielle) survenus au cours des émeutes suite à l’arrestation du leader du parti Pastef/Les patriotes. Même si ce dernier a été inculpé et placé sous contrôle judiciaire par le défunt doyen des juges Samba Sall, le dossier tarde à être dépoussiéré. Dans la presse, l’on annonce une reprise « incessamment » des auditions.
A cela, il faut ajouter les nombreux cas similaires impliquant de hautes personnalités politique,s soulevés, puis vite étouffés et « gérés à l’amiable », mais aussi celles d’autres responsables politiques de moindre calibre. On peut citer le cas d’I. N., accusé, en mars dernier, d’avoir abusé d’une fille mineure « qui s’est échappée du cadre familial et s’est retrouvée entre les mains de son (bourreau présumé) et d’un de ses amis». D’après la presse, lors des dernières Locales, I. N. était dans une commune de Fatick le candidat de Yewwi Askan Wi, la coalition à laquelle appartient Pastef. Arrêté «il y a quelques jours» par la brigade de gendarmerie de Hann, il a été déféré au parquet, d’après la même source.
«Certaines femmes utilisent le sexe comme arme contre le pouvoir »
Commentant le sujet relatif aux scandales sexuels au Sénégal, le journaliste et analyste politique, Assane Samb, écrit que « certains hommes utilisent donc le pouvoir comme arme et certaines femmes, le sexe comme arme contre le pouvoir ». Il rappelle que de tout temps, les hommes politiques ont eu des relations tumultueuses, extravagantes avec les femmes. Et cette situation peut s’expliquer par plusieurs facteurs dont le plus évident, est que le pouvoir ouvre toutes les portes.
Dans une tribune exploitée par Seneweb, le directeur de publication de Rewmi quotidien ajoute que « malheureusement, le sexe est ainsi, depuis la nuit des temps, une arme politique. Des femmes peuvent servir d’appât contre les adversaires pour les détruire. L’histoire de l’humanité est jonchée d’épisodes de ce genre ». Une situation qui, d’après lui, recommande, de la part des hommes politiques, une extrême vigilance et un self-control face au fruit défendu. Mieux, souligne M. Samb, « ils doivent prendre conscience du fait que la facilité est souvent source d’ennuis. Que l’insouciance est la mère de tous nos problèmes. Et qu’il est difficile de connaître les intentions de ceux qui prétendent nous vouloir du bien. Car, c’est ça le problème. Les hommes de pouvoir savent se méfier et se défendre contre leurs adversaires ou ennemis mais rarement contre ceux qui prétendent leur vouloir du bien.Car, on ne sait jamais ce qui se cache derrière un joli sourire, gratuit, trop facilement exhibé ».
En revanche, explique le journaliste, de nombreuses femmes sont aussi victimes de la mégalomanie et du narcissisme d’hommes de pouvoir qui, n’hésitent pas à user de leur position pour des faveurs sexuelles. « Mais, l’histoire a retenu que les leaders qui s’en sortent le mieux sont ceux qui savent faire preuve de mesure et de circonspection.
Confondre pouvoir et sexe ne peut que mener au scandale, à l’humiliation et aux fins tragiques pour ceux qui sont destinés à agir sur l’évolution du monde en gouvernant ou en cherchant à gouverner les autres », ajoute l’analyste politique qui rappelle qu’«en l’amour comme à la guerre, tous les coups sont permis ».
Les hommes politiques et le sexe, un phénomène mondial ?
Quoi qu’il en soit, ce cocktail explosif politique et sexe semble devenir un phénomène mondial. Et parmi les affaires les plus médiatisées, figure celle de Dominique Strauss-Kahn, en mai 2011. Alors patron du Fonds monétaire international (Fmi) et potentiel candidat plus que favori de la présidentielle en France, il venait de « tomber entre les cuisses » d’une femme de chambre, Nafissatou Diallo, dans l'hôtel Sofitel où il séjournait.
Aux Etats-Unis également, le président Bill Clinton avait battu les records avec ses escapades amoureuses. Ses relations avec la secrétaire à la Maison Blanche Monica Lewinsky ont tenu le monde entier en haleine.
Yahya Jammeh a été accusé, après sa chute, de viols sur des gambiennes dont certaines se sont prononcées publiquement.
Pour sa part, l’ancien chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a aussi été au cœur de plusieurs scandales à caractère sexuel. Il est notamment accusé d’avoir sollicité les prestations sexuelles d'une mineure, surnommée Ruby, de février à mai 2010. Quant au président israélien Moshé Katzav, il a dû démissionner en juin 2007 à la suite d'un scandale sexuel. Le 30 décembre 2010, il est reconnu coupable d'avoir commis deux viols sur une de ses subordonnées, au ministère du Tourisme, dans les années 1990.
Le roi Henri IV de France était qualifié de roi aux 54 ou aux 75 maîtresses.
En ce temps-là, les capacités politiques étaient confondues aux performances sexuelles. La liste est longue…
22 Commentaires
Diaspora
En Septembre, 2022 (10:20 AM)Si vous deviez acheter un terrain au Sénégal pour construire une maison, quelle endroit choisiriez-vous en dehors des zones saturées comme Dakar, ou Mbour? Où sont les zones d'avenir auxquelles personne ne pense?
J'ai entendu dire que la vie est meilleure à Louga ou Diourbel par exemple comparé à toutes les villes prisées connues. Qu'en dites-vous ?
Par ailleurs, que pensez-vous du fait d'investir dans un hectare agricole?
Ce sont des questions sérieuses. Merci pzr avance pour vos réponses.
Reply_author
En Septembre, 2022 (10:25 AM)Reply_author
En Septembre, 2022 (11:05 AM)Djaakkhleh
En Septembre, 2022 (11:10 AM)l'Afrique de l'Ouest est entrain de se défaire dans la violence,l'insécurité , les détournements de finances publiques par des gouvernances mafieuse engendrant un plus grand gap entre une micronommenclatura de quelques milliers de délinquants à col et kaalah blanc:
du Cameroun au Sénégal voire plus loin de la Corne de l'Afrique Érythrée au Sénégal tous les pays au milieu connaissent la violence en ce moment.Si tu vis dans un pays qui offre plus de perspectives de stabilité, sécurité disons bonne gouvernance et si tu y dispose d'un statut légitime ( résidant permanent, réfugié au citoyens ) alors essaye de gérer une sécurité là-bas ( épargne retraite , immobilier ou compte d'épargne:
les commerçants sont attaqués en pleine nuit avec des kalachnoves malgres une présence de sécurité privée 24 h sur 24.
des points de collecte d'argent ( Wari - western sont braqués - les agresseurs font de plus en plus la pluie et le beau temps ...
tu ferais mieux faire comme les Grecques: la ou tu mets le mieux sur la planète terre et si tu y trouve y'a sécurité et ton bien être : alors appelle l'endroit " chez moi ".
En plus de tout ce qui précède y'a aussi les magouilles avec les services publiques au niveau du patrimoine foncier: À Tivaouane avant hier des émigrés se sont faits arnaqués par un maire ou je sais quel délinquant officiel - comme ils le sont à presque 99,9%.
C'est dure pour de nombreux compatriotes à travers ke monde. l'ere post coloniale prometteuse s'est arrêtée vers la fin des années 90s.
l'annee 2000 le nouveau millenium a démarré avec la decadence de notre sous région - du fait de gouvernances engagées par une nouvelle race d'élites dénuées de tout sens de l'histoire et aillant choisi l'égo du pouvoir et de la richesse personnelle à la vraie renaissance de l'Afrique - a son réveil ( après des siècles d'eclavage, de colonialisme et d'espiègleries.
On ne sait plus quoi faire ? Car à conditions de vie égales nulle place n'est meilleur que son pays de culture.
Salam
En Septembre, 2022 (12:54 PM)Reply_author
En Septembre, 2022 (13:39 PM)Reply_author
En Septembre, 2022 (14:16 PM)Reply_author
En Septembre, 2022 (13:05 PM)de sources sûres votre Patron fait partie de ceux qui reçoivent l'argent de mammouth saleh
vous effacez les commentaires comme celui-ci va disparaître dans deux minutes
vous likez ou dislikez des commentaires en fonction de ce qu'on dit du régime.
le peuple vous a à l'œil et comprend votre posture
Amsa
En Septembre, 2022 (10:22 AM)Reply_author
En Septembre, 2022 (11:50 AM)De plus, tous les cités ont fait face à la justice sans échafauder dans les laboratoires de leur parti des scénarii digne du Parti Communiste Soviétique sauf ton GOUROU VIOLEUR qui a refusé de répondre aux enqueteurs, ameuté toute l'opposition radicale pour lui servir de bouclier lors de la levée de son immunité parlementaire, appelé à l'insurrection pour ne pas faire face au juge . Voilà les faits le reste c'est du blabla car les hommes sont avant tout des hommes et sous tous les cieux ils sont impliqués dans des crimes et délits . L'important c'est qu'ils soient jugés pour ce que l'on leur reprocche , blanchi en quoi d'innocence et condamné s'ils sont coupables .
Sonko-neries
En Septembre, 2022 (10:49 AM)Reply_author
En Septembre, 2022 (11:51 AM)Nianthio
En Septembre, 2022 (11:36 AM)Amsa
En Septembre, 2022 (13:04 PM)Pour la jeune fille je vais pas citer son nom par respect parce que j'ai des filles de son age. En realite c'est un complot que la presse partisane du regime avec Mamour Diallo et son clan ont fabriques pour eliminer un adversaire politique. Si les faits etaient reelles pourquoi pas utiliser la meme demarche que les accusateurs de Sitor Ndour, au moins avoir des traces, soit collectes de l'sperme ou quelque chose qui peut montrer un viol.
Je suis un Senegalais Independant, activiste et contre le pouvoir en place pour different raison, je ne suis pas un ennemi du president, je le considere comme un frere... mais il a montre ses limites.... tant qu'il gouvernera comme auparavent le reste de son mandat sera plus catastrophique.... l'impunite, les corruptions ont atteint un seuil jamais egale... la mal gouvernance. Nous sommes tous des Senegalais qui souhaitent a ce pays tous les voeux de succes. Mais certes il faut avoir le courage de le dire.... Macky a beaucoup bascule dans le negatif... non application des Assises Nationale, protection des detourneurs de deniers publics ... etc,
Reply_author
En Septembre, 2022 (15:46 PM)Amsa , trève de commentaire , les affaires de viol se règlent devant le juge et non dans les medias .
Si ton Gourou est victime d'un complot , qu'attend il pour porter plainte contre Adji et ses "commanditaires" qu'il doit bien connaitre , lui qui connait la banque où Mamour a planqué plus de 40 milliards et celles où Aliou Sall a planqué 6.000 milliards .
Quand on accuse à tort de viol, le pardon n'a plus de place . Alors on attend que SONKO porte plainte contre Adji comme il l'a fait pour Mamour Diallo.
Terraon
En Septembre, 2022 (13:19 PM)S'agissant de l'entrepreneur j'ai mon plan et tout par moi même. Mais trouver que un maçon qualifié de qualité est de fficile au Sénégal. Du coup on me conseille un entrepreneur. Mais celui que j'avais déjà vu ma fait un devis a 26millions juste fondation et élévation. Alors que je veux construire un r+1. Ce qui risque de me coucher cher a la fin.
Le sujet m'intéresse et je me pose les questions suivantes:
- construite soit même ou par entrepreneur
- acheter les briques et tout ou faire soit même par maçon
- comment trouver un bon maçon vers sindia
- un montant estimatif par étape (fondation, élévation, coulage premier niveau, finition) pour un r+1.
Je suis à Paris et ne veux pas me faire avoir comme beaucoup avant moi.
Merci pour vos conseils si le sujets vous intéresse aussi.
Reply_author
En Septembre, 2022 (14:05 PM)Avec 26 millions de FCFA, on peut construire un R+1 sur 150 m2, équiper (portes, fenêtres et sanitaires) et carreler.
Terrain
En Septembre, 2022 (14:21 PM)Merci aussi aux frères pour les premiers réponses votre avis m'aide beaucoup dans mon choix et me donne bonne orientation. Merci.
Reply_author
En Septembre, 2022 (11:04 AM)Diaspora Ndiaye
En Septembre, 2022 (13:28 PM)En general il est preferable d'avoir de bons macons/masons a la place d'entrepreneur, parce que ces derniers vont negocies avec les premiers..... je demande pardon aux entrepreneurs.
Avec les differents devis vous pourrez faire votre choix include materials etpayments.
Terrain
En Septembre, 2022 (14:24 PM)Un autre maçon m'avait fait un devis fondation drôlement pour 7millions disant qu'il travaille par étape. Et ne peut pas estimer la suite de suite. Du coup cela ne m'a pas permis d'avoir bonne idée encore merci pour vos avis ce sujet est fort intéressant.
Pape
En Septembre, 2022 (13:38 PM)Oussama
En Septembre, 2022 (09:28 AM)Mouloud
En Septembre, 2022 (09:35 AM)Bay
En Septembre, 2022 (09:36 AM)Zooty
En Septembre, 2022 (09:39 AM)Par exemple Mr. Sonko nous avait donne plusieurs signaux de ses tendances aggressives avant les faits. Mais ona prefere les ignorer.
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