Entre l’opposant Ousmane Sonko et la presse sénégalaise, c’est une histoire de « Je t’aime, moi non plus ». Le leader de Pastef, qui semble allergique aux informations en sa défaveur, n’hésite pas, dans ses sorties, à critiquer sévèrement « une certaine presse » qu’il taxe de « corrompue ». Une posture qu’il confirme au fur du temps à travers ses actes vis-à-vis des journalistes sur le terrain.
La presse sénégalaise est prise entre deux feux : D’une part, les atteintes commises par des gens du pouvoir, dont le chef, Macky Sall, qui préfère toujours donner la primeur aux médias étrangers (Rfi, France 24, Le Monde, Jeune Afrique…) à chaque fois qu’il s’agit d’aborder des questions d’intérêt national, et d’autre part, la pression venue du côté de l’opposition, particulièrement d’Ousmane Sonko, qui a maintes fois affiché un certain mépris vis-à-vis de la presse l’accusant à tort ou à raison. En effet, lors de la déclaration officielle de sa candidature à la présidentielle de 2024, le 18 août dernier, le leader de Pastef/Les Patriotes n’a pas daigné accorder une seule seconde aux nombreux journalistes qui s’attendaient à des questions-réponses sur l’actualité nationale. Mieux, comme il l’a souvent déclaré, il a fait savoir que son message passe avec « la magie » des réseaux sociaux.
Quoi qu’il en soit, il a plusieurs fois traduit ses convictions en actes. Ainsi, après avoir retiré le micro de nos confrères de la Rts en pleine campagne électorale, mettant en danger la vie de certains journalistes, il est revenu, quelques jours plus tard, pour apporter des « précisions », estimant qu’à travers son acte, il visait plutôt la direction de la chaîne nationale.
Ce n’est pas tout : Le 18 juin, le leader du Pastef s’est fendu d'une série de tweets pour sévèrement critiquer le traitement médiatique de certains dossiers par la presse nationale. Ousmane Sonko dénonçait ainsi le fait qu’elle ne s’intéressait pas assez, à ses yeux, à des sujets d’intérêt public. Il va même jusqu’à reprocher à certains organes de presse de se comporter comme la sinistre Radio des Mille Collines. « Est-ce trop que de demander à la presse sénégalaise de relever le niveau du débat au lieu de diffuser haine et attaque contre la vie privée, etc ? » Une question qui n’a pas d’ailleurs laissé de marbre le directeur général du groupe Emedia Invest. En guise de réponse, Mamoudou Ibra Kane a invité le maire de Ziguinchor à se joindre à lui dans sa traditionnelle messe dominicale, le Jury du dimanche.
« Un manque de respect notoire vis-à-vis des journalistes », selon Bamba Kassé
C’était également le cas au lendemain d’une séance plénière, en juin 2018, consacrée à l’accord gazier entre le Sénégal et la Mauritanie. Dans un long texte, Sonko a encore tiré sur la « presse (qui) s’est employée à un traitement minimal, sinon nul, de cet important tournant de notre pays et ses impacts sur nos intérêts stratégiques actuels et futurs ».
Pourtant, beaucoup de journalistes, interpellés par Seneweb, regrettent le fait qu’à chaque fois, ce sont eux-mêmes, qui traitent et diffusent les sorties de l’ancien député. Même si, ce dernier répète, à chaque fois, n’avoir « aucun problème avec la presse ».
Mais, qu’est-ce qui pourrait donc expliquer ces relations tendues ? C’est la question que beaucoup de professionnels et de responsables de la presse se posent. Le secrétaire général du Syndicat national des professionnels de l’information et de la communication (Synpics), Bamba Kassé, assimile cette attitude à un manque de respect de la part du responsable politique. « C’est un manque de respect notoire vis-à-vis des journalistes, mais ceux-ci le méritent. Puisque Ousmane Sonko considère que son message peut passer grâce aux réseaux sociaux, qu'est ce que les journalistes font à ses sorties ? », s’est-il notamment demandé dans un entretien avec Seneweb. Selon lui, c’est aux journalistes d’imposer le respect. « C’est dommage d’accepter ses assauts », a-t-il regretté.
Il a appelé ses confrères à plus de courage et à poser leurs questions dans n’importe quelle rencontre publique ouverte à la presse. « Un journaliste, même si sa question dérange, il doit la poser. Et il n’est pas obligé d’aller couvrir toutes les déclarations de presse où il ne sera qu’un simple porte-voix », a insisté le syndicaliste, qui a donné, dans la foulée, l’exemple de l’affaire Ngoné Diop, reporter de Dakar buzz, récemment intimidée par des militants de Benno bokk yaakaar (Bby) lors d’un point de presse d’Aminata Touré en prélude aux élections législatives.
« Les journalistes, disciples de Sonko »
Pour Dr Jean Sibadioumeg Diatta, spécialiste en communication, la politique et la presse entretiennent des relations d’interdépendance car, les médias se nourrissent de faits politiques alors que la politique et les hommes politiques s’appuient sur la presse pour exister. Sur le cas Sonko, en particulier, l’enseignant-chercheur à la faculté de lettres et sciences humaines à l’Ucad souligne que la première remarque, c’est que depuis le début de sa carrière, il s’est entouré de journalistes qui s’occupent de sa communication. « Il a très tôt compris que pour réussir sa vie politique, la presse constitue le principal levier sur lequel il doit s’appuyer. D’ailleurs, combien de fois a-t-on entendu des citoyens dire que le leader de Pastef a été créé par la presse, ou encore qu’il est le ‘’chouchou‘’ des journalistes qualifiés quelquefois de ‘’disciples’’ de Sonko », a-t-il appuyé.
Résultat des courses, « il est actuellement l’homme politique du Sénégal le plus médiatisé », dit-il, indiquant que le maire de Ziguinchor entretient « d’excellentes relations » avec les acteurs des médias.
Le communicant admet, par contre, que dans ses nombreuses sorties, le responsable politique fait le procès d’une « certaine presse » qu’il juge « partisane » et « manipulée » par le pouvoir du Président Macky Sall.
« Je pense qu’avec la précarité du secteur des médias au Sénégal, le pouvoir, compte tenu de ses moyens financiers, développe ses stratégies de relations presse. Avec leurs moyens matériels et financiers, les leaders de Bby multiplient leurs sorties contre Pastef et Sonko à travers des contributions en ligne, les Unes des journaux, l’achat de temps d’antennes, la posture ‘’non démocratique’’ des organes étatiques considérés comme outils de propagande du pouvoir », observe Dr. Jean Sibadioumeg Diatta. Ce dernier précise, par ailleurs, que Sonko « pointe un doigt accusateur sur les patrons de presse qu’il qualifie de ‘’corrompus’’ ».
La presse sénégalaise est prise entre deux feux : D’une part, les atteintes commises par des gens du pouvoir, dont le chef, Macky Sall, qui préfère toujours donner la primeur aux médias étrangers (Rfi, France 24, Le Monde, Jeune Afrique…) à chaque fois qu’il s’agit d’aborder des questions d’intérêt national, et d’autre part, la pression venue du côté de l’opposition, particulièrement d’Ousmane Sonko, qui a maintes fois affiché un certain mépris vis-à-vis de la presse l’accusant à tort ou à raison. En effet, lors de la déclaration officielle de sa candidature à la présidentielle de 2024, le 18 août dernier, le leader de Pastef/Les Patriotes n’a pas daigné accorder une seule seconde aux nombreux journalistes qui s’attendaient à des questions-réponses sur l’actualité nationale. Mieux, comme il l’a souvent déclaré, il a fait savoir que son message passe avec « la magie » des réseaux sociaux.
Sonko convoque la presse,rappelle aux journalistes qu'ils ne valent rien comparés aux RS.
— macoumba mbodji (@kabbertomac) August 18, 2022
Et les journalistes sont heureux de retourner dans leurs rédactions pour titrer sur un homme qui les méprise et les nargue au point de ne répondre á aucune question.
Quoi qu’il en soit, il a plusieurs fois traduit ses convictions en actes. Ainsi, après avoir retiré le micro de nos confrères de la Rts en pleine campagne électorale, mettant en danger la vie de certains journalistes, il est revenu, quelques jours plus tard, pour apporter des « précisions », estimant qu’à travers son acte, il visait plutôt la direction de la chaîne nationale.
Ce n’est pas tout : Le 18 juin, le leader du Pastef s’est fendu d'une série de tweets pour sévèrement critiquer le traitement médiatique de certains dossiers par la presse nationale. Ousmane Sonko dénonçait ainsi le fait qu’elle ne s’intéressait pas assez, à ses yeux, à des sujets d’intérêt public. Il va même jusqu’à reprocher à certains organes de presse de se comporter comme la sinistre Radio des Mille Collines. « Est-ce trop que de demander à la presse sénégalaise de relever le niveau du débat au lieu de diffuser haine et attaque contre la vie privée, etc ? » Une question qui n’a pas d’ailleurs laissé de marbre le directeur général du groupe Emedia Invest. En guise de réponse, Mamoudou Ibra Kane a invité le maire de Ziguinchor à se joindre à lui dans sa traditionnelle messe dominicale, le Jury du dimanche.
Bonjour Monsieur Sonko, totalement d'accord avec vous que la presse doit "relever le niveau du débat" et éviter "de diffuser haine et attaque contre la vie privée..." Je vous invite à l'émission Jury du Dimanche ou un entretien spécial sur les sujets de développement mentionnés..
— Mamoudou Ibra Kane (@ibra_mamoudou) June 18, 2022
« Un manque de respect notoire vis-à-vis des journalistes », selon Bamba Kassé
C’était également le cas au lendemain d’une séance plénière, en juin 2018, consacrée à l’accord gazier entre le Sénégal et la Mauritanie. Dans un long texte, Sonko a encore tiré sur la « presse (qui) s’est employée à un traitement minimal, sinon nul, de cet important tournant de notre pays et ses impacts sur nos intérêts stratégiques actuels et futurs ».
Pourtant, beaucoup de journalistes, interpellés par Seneweb, regrettent le fait qu’à chaque fois, ce sont eux-mêmes, qui traitent et diffusent les sorties de l’ancien député. Même si, ce dernier répète, à chaque fois, n’avoir « aucun problème avec la presse ».
Mais, qu’est-ce qui pourrait donc expliquer ces relations tendues ? C’est la question que beaucoup de professionnels et de responsables de la presse se posent. Le secrétaire général du Syndicat national des professionnels de l’information et de la communication (Synpics), Bamba Kassé, assimile cette attitude à un manque de respect de la part du responsable politique. « C’est un manque de respect notoire vis-à-vis des journalistes, mais ceux-ci le méritent. Puisque Ousmane Sonko considère que son message peut passer grâce aux réseaux sociaux, qu'est ce que les journalistes font à ses sorties ? », s’est-il notamment demandé dans un entretien avec Seneweb. Selon lui, c’est aux journalistes d’imposer le respect. « C’est dommage d’accepter ses assauts », a-t-il regretté.
Il a appelé ses confrères à plus de courage et à poser leurs questions dans n’importe quelle rencontre publique ouverte à la presse. « Un journaliste, même si sa question dérange, il doit la poser. Et il n’est pas obligé d’aller couvrir toutes les déclarations de presse où il ne sera qu’un simple porte-voix », a insisté le syndicaliste, qui a donné, dans la foulée, l’exemple de l’affaire Ngoné Diop, reporter de Dakar buzz, récemment intimidée par des militants de Benno bokk yaakaar (Bby) lors d’un point de presse d’Aminata Touré en prélude aux élections législatives.
« Les journalistes, disciples de Sonko »
Pour Dr Jean Sibadioumeg Diatta, spécialiste en communication, la politique et la presse entretiennent des relations d’interdépendance car, les médias se nourrissent de faits politiques alors que la politique et les hommes politiques s’appuient sur la presse pour exister. Sur le cas Sonko, en particulier, l’enseignant-chercheur à la faculté de lettres et sciences humaines à l’Ucad souligne que la première remarque, c’est que depuis le début de sa carrière, il s’est entouré de journalistes qui s’occupent de sa communication. « Il a très tôt compris que pour réussir sa vie politique, la presse constitue le principal levier sur lequel il doit s’appuyer. D’ailleurs, combien de fois a-t-on entendu des citoyens dire que le leader de Pastef a été créé par la presse, ou encore qu’il est le ‘’chouchou‘’ des journalistes qualifiés quelquefois de ‘’disciples’’ de Sonko », a-t-il appuyé.
Résultat des courses, « il est actuellement l’homme politique du Sénégal le plus médiatisé », dit-il, indiquant que le maire de Ziguinchor entretient « d’excellentes relations » avec les acteurs des médias.
Le communicant admet, par contre, que dans ses nombreuses sorties, le responsable politique fait le procès d’une « certaine presse » qu’il juge « partisane » et « manipulée » par le pouvoir du Président Macky Sall.
« Je pense qu’avec la précarité du secteur des médias au Sénégal, le pouvoir, compte tenu de ses moyens financiers, développe ses stratégies de relations presse. Avec leurs moyens matériels et financiers, les leaders de Bby multiplient leurs sorties contre Pastef et Sonko à travers des contributions en ligne, les Unes des journaux, l’achat de temps d’antennes, la posture ‘’non démocratique’’ des organes étatiques considérés comme outils de propagande du pouvoir », observe Dr. Jean Sibadioumeg Diatta. Ce dernier précise, par ailleurs, que Sonko « pointe un doigt accusateur sur les patrons de presse qu’il qualifie de ‘’corrompus’’ ».
36 Commentaires
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Loi sur les OGM voté en procédure d'urgence; réforme presque clandestine du code des marchés; torture et assassinat de Mankabu; privation de liberté de membres de pastef sans aucun élément de preuve...le journalisme senegalais se résume à faire la morale à Sonko. Heureusement qu'il s'en Fout royalement
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En Août, 2022 (13:00 PM)-
Et son supposé viol avec Adji Sarr? Douci wakh dé
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{comment_ads}Doul Karim
En Août, 2022 (13:21 PM)-
Lann lassi wara wakh? Les journalistes veulent-ils remplacer les juges sur le dossier Adji Sarr? Les journalistes sénégalais ne connaissent que des questions de bas vol: Adji Sarr... ! Ou des questions pour diviser l'opposition ! Leurs questions viennent souvent des membres de BBY ou du Gouvernement ! Sonko n'a pas votre temps ! Quand il a proposé une monnaie locale à Ziguinchor, toute la presse a tiré dessus ! Mais les spécialistes de la monnaie ont répiqué positivement à cette proposition !
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En Septembre, 2022 (18:44 PM)Les politiciens veulent juste diviser ce pays avec chacun des journalistes
Le Patriote
En Août, 2022 (11:48 AM)-
Ahaaha.c'est ridicule.sonko le stratège a reu ca qu'il voulait terroriser les journalistes et les museler.tout le média ont peur des sonko boypour menace et insultes len tant que media si tune caresse pas sonko dans le sens des poils tu a problème..il est même interdit à l'émission jakaarlo de prononce le nom de Ousmane sonko
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En Août, 2022 (12:55 PM)Bandedehaineux
En Août, 2022 (12:34 PM)Avec ou sans vous Sonko fait son chemin jusqu'au palais ...
Africain Authentique
En Août, 2022 (12:48 PM)En réalité,elles reflètent toute l image de la société dont elles sont l émanation:la force de l intellect est supplée par celle des muscles,les têtes bien faites par des cervelles vides,l éthique par des calomnies et affabulations.
La démocratie étant la loi du nombre,il faut absolument retourner aux fondamentaux et admettre comme opinion nationale,celle qui aura le plus grand nombre de partisans.
Nous et nos générations futures aurons tous a y gagner et rien de primordial a perdre.
Gh
En Août, 2022 (12:57 PM)Maramine
En Août, 2022 (13:04 PM)Question : depuis 2012 tout à augmenter sauf le prix des journaux, pourquoi ?
Khalasse
En Août, 2022 (13:06 PM)Et qu'il explique aux sénégalais qu'est qu'il était parti faire dans ce salon de débauche pendant le couvre-feu tout en se cachant de ses 2 femmes.
Les sénégalais veulent savoir avant de voter pour lui .
Etudiant
En Août, 2022 (13:21 PM)Senegal Rek
En Août, 2022 (13:23 PM)Temps Long
En Août, 2022 (13:26 PM)Talla Seck
En Août, 2022 (13:36 PM)Qui peut affirmer que ce que font Madiambal, Amadou Ba (L'AS Quotidien) et le ptit con de Bamba Kassé, c' est du journalisme ?
Qui ose croire que ce que dit le soit disant doyen Ibou fall de iRadio sur Sonko est du journalisme ?
Qui sont les propriétaires de 20 des 26 quotidiens qui chantent Macky et ses alliés tous les matins ?
Arreter votre comédie . Il faut prononcer l'oraison funébres du journalisme au Sénégal car il a disparu depuis belle lurette.
Je Quitte
En Août, 2022 (13:43 PM)Ligue Balde
En Août, 2022 (13:46 PM)Khalil
En Août, 2022 (13:57 PM)Ne serait pas plus utile pour vos lecteurs de donner la parole alternativement à des spécialistes en économie, en santé , en éducation , en construction d'infrastructures, en relations internationales , en questions sociales , en climatologie et environnement, en ...politique , plutot que de nous " abreuver avec les falbles de SONKO " .
SONKO est candidat à la présidentielle où est l'exploit ? tout Sénégalais jouissant de ses droits civiques a , au meme titre que SONKO, d'etre candidat .
Ce que la majorité silencieuse ( je rappelle que près de 54 % des Sénégalais n'ont pas daigné participer au référendum de SONKO sur le troisième mandat et la criminilisation de l'homosexualité ) demande à SONKO c'est de se mettre entièrement à la disposition de la justcice pour que le droit soit dit dans l'accusation de viol portée contre lui par la masseuse Adji SARR .Une fois blanchi , SONKO pourrait solliciter le suffrage de ses concitoyens pour le Palais dont il reve. Sans cela , il est fort à parier que les reves de SONKO risquent de se briser en 2024 car les sénagalais sont dans leur écrasante majorité intelligents et matures pour gobber des balivernes au sujet de l'Affaire l'opposant à la jeune masseuse orphéline de Sweet Beauté
Lat Dior
En Août, 2022 (14:15 PM)Un Passe-leufeur dangereux est en liberté !
L'homme est polygame, il est armé.
Si vous le croisez, appeler la police.
Il a le doigt sur la glandchette près à faire mettre le feu dans le pays.
19 morts déjà sur son tableau de chasse.
le procés c'est pour bientôt vous aurez beaucoup de temps
limouy def yeup dina wouyou dji par force à la justice
on va pas élire un homme accusé de viol et qui a des problèmes sexuels à la tête de ce pays si c'est pas vrai na dem sétal der bi mo gueun de tourner autour du po et d'appeler au complot
prouve nous que c'est un complot si c'est le cas jusquà présent 0 preuves
Qui peut affirmer que ce que font Madiambal, Amadou Ba (L'AS Quotidien) et le ptit con de Bamba Kassé, c' est du journalisme ?Qui ose croire que ce que dit le soit disant doyen Ibou fall de iRadio sur Sonko est du journalisme ?Qui sont les propriétaires de 20 des 26 quotidiens qui chantent Macky et ses alliés tous les matins ?Arreter votre comédie . Il faut prononcer l'oraison funébres du journalisme au Sénégal car il a disparu depuis belle lurette.
Et Pourtant
En Août, 2022 (14:11 PM)Art
En Août, 2022 (14:38 PM)La vérité est que vous êtes en train d'être enterrés par les médias sociaux par votre manque d'objectivité et vos accointances avec l'ancienne classe politique.
Senegal
En Août, 2022 (16:17 PM)Yo
En Août, 2022 (21:54 PM)Pourquoi on s'attarde sur lui ?
Pourquoi les journalistes veulent-ils qu'il les pomponne ? qu'il leur fasse la bise ? qu'attendez-vous au juste d'une personne que vous jugez insignifiante ? Quelle est la logique de votre démarche ?
Les médias sont soit d'état, c.a.d de Macky, soit privés. S'ils sont privés ils sont pour Macky ou destinés à le devenir après redressement des comptes et autres usages classiques d'une démocratie africaine.
Alors vous voulez par dessus tout cela que Sonko vous réserve... quoi au juste ?
OK, déposez-nous votre doloéance nous l'examinerons dès que possible et vous recevrons comme tout sénégalais en a le droit.
Le secrétariat de PROS
Alboury Diop
En Septembre, 2022 (12:14 PM)Participer à la Discussion