Le PLD/And Suqali d'Oumar Sarr attire l’attention des militants et de toute la population sur les véritables enjeux des événements actuels, qui n’ont rien à voir avec les luttes politiques que notre pays a connues jusqu’ici.
«Quand un courant populiste, adepte de la violence verbale et physique, défie tout un pays et s’engage dans une logique de 'mortal kombat', en faisant croire que l’État aurait peur à cause de leur courage, il ne peut que trouver en face de lui une détermination aussi farouche que la sienne, sinon plus. A défaut, la République serait à la rue et l’ordre public deviendrait un slogan creux», lit-on dans la déclaration du parti.
Selon le document, «partout dans le monde, ces exclus sociaux constituent un terreau fertile de l’expansion du trafic de drogue et de l’extrémisme politique ou religieux. C’est aussi le cas de nombreux pays africains, bien que sous des formes différentes. Au Sénégal, ce phénomène se manifeste aujourd’hui avec des bandes d’enfants-manifestants, en attendant des enfants-soldats peut-être demain».
Sur les événements de Mbacké, Oumar Sarr parle de «provocation contre l’autorité mouride jusque dans l’enceinte de la grande mosquée. Les actes de vandalisme commis à Touba, le 10 février dernier, doivent permettre une compréhension encore plus fine de la situation. L’opposition dite radicale s’est attaquée à Touba sans aucun motif avouable. Et ils envisagent de récidiver».
De ce point de vue, les événements de Touba-Mbacké représentent, selon les rédacteurs du document, «un véritable tournant dans le déploiement d’un projet politico-religieux mortifère. Il apparaît clairement aujourd’hui que l’opposition dite radicale n’est que le faux nez ou le masque trompeur d’un courant extrémiste que des observateurs avisés assimilent à la ‘’mouvance frériste-qutbiste’’ bien connue pour les nombreuses tragédies que sa démarche a provoquées».
Et de préciser : «Ces derniers jours, on a entendu, pour la première fois, des figures internationales de la mouvance ‘’frériste-qutbiste‘’ parler du Sénégal et de leur solidarité avec leur ‘’frère Sonko’’.»
Devant cette situation, le PLD/And Suqali invite l’ensemble des forces démocratiques, du pouvoir comme de l’opposition, ainsi que tous ceux qui sont attachés à la survie d’un Sénégal démocratique et pacifique, à prendre conscience de la particularité de la conjoncture pour s’élever à la hauteur des enjeux nouveaux.
Le dialogue national doit être poursuivi et amplifié autour des véritables enjeux qui dépassent le nom du président de la République ou la couleur du parti au pouvoir. Plus qu’un enjeu électoral, nous sommes interpellés par un enjeu de société, un enjeu de survie de notre modèle de démocratie stable, apaisée et tolérante.
«Est-ce que le Sénégal va rester, dans les années qui viennent, une République laïque, démocratique et sociale, poursuivant, au milieu des difficultés, des succès et des échecs, son émergence économique et sociale grâce aux retombées de son pétrole et de son gaz naturel ? Ou bien sera-t-il, comme la Libye et certains pays ouest-africains, un État totalement effondré, abandonnant de grandes parties de son territoire à la merci de groupes divers exploitant les ressources naturelles à leur profit exclusif ? Est-ce que le Sénégal sera ou non emporté par la ceinture de feu qui embrase l’Afrique de l’Ouest ? Le verrou sénégalais va-t-il sauter ou va-t-il tenir ?», s'interrogent Oumar Sarr et ses camarades.
Pour ces derniers, il est temps, pour les véritables patriotes, de se pénétrer de l’acuité de ces enjeux et de se disposer à faire face pour défendre nos acquis démocratiques et sociaux, quel qu’en soit le prix.
«Quand un courant populiste, adepte de la violence verbale et physique, défie tout un pays et s’engage dans une logique de 'mortal kombat', en faisant croire que l’État aurait peur à cause de leur courage, il ne peut que trouver en face de lui une détermination aussi farouche que la sienne, sinon plus. A défaut, la République serait à la rue et l’ordre public deviendrait un slogan creux», lit-on dans la déclaration du parti.
Selon le document, «partout dans le monde, ces exclus sociaux constituent un terreau fertile de l’expansion du trafic de drogue et de l’extrémisme politique ou religieux. C’est aussi le cas de nombreux pays africains, bien que sous des formes différentes. Au Sénégal, ce phénomène se manifeste aujourd’hui avec des bandes d’enfants-manifestants, en attendant des enfants-soldats peut-être demain».
Sur les événements de Mbacké, Oumar Sarr parle de «provocation contre l’autorité mouride jusque dans l’enceinte de la grande mosquée. Les actes de vandalisme commis à Touba, le 10 février dernier, doivent permettre une compréhension encore plus fine de la situation. L’opposition dite radicale s’est attaquée à Touba sans aucun motif avouable. Et ils envisagent de récidiver».
De ce point de vue, les événements de Touba-Mbacké représentent, selon les rédacteurs du document, «un véritable tournant dans le déploiement d’un projet politico-religieux mortifère. Il apparaît clairement aujourd’hui que l’opposition dite radicale n’est que le faux nez ou le masque trompeur d’un courant extrémiste que des observateurs avisés assimilent à la ‘’mouvance frériste-qutbiste’’ bien connue pour les nombreuses tragédies que sa démarche a provoquées».
Et de préciser : «Ces derniers jours, on a entendu, pour la première fois, des figures internationales de la mouvance ‘’frériste-qutbiste‘’ parler du Sénégal et de leur solidarité avec leur ‘’frère Sonko’’.»
Devant cette situation, le PLD/And Suqali invite l’ensemble des forces démocratiques, du pouvoir comme de l’opposition, ainsi que tous ceux qui sont attachés à la survie d’un Sénégal démocratique et pacifique, à prendre conscience de la particularité de la conjoncture pour s’élever à la hauteur des enjeux nouveaux.
Le dialogue national doit être poursuivi et amplifié autour des véritables enjeux qui dépassent le nom du président de la République ou la couleur du parti au pouvoir. Plus qu’un enjeu électoral, nous sommes interpellés par un enjeu de société, un enjeu de survie de notre modèle de démocratie stable, apaisée et tolérante.
«Est-ce que le Sénégal va rester, dans les années qui viennent, une République laïque, démocratique et sociale, poursuivant, au milieu des difficultés, des succès et des échecs, son émergence économique et sociale grâce aux retombées de son pétrole et de son gaz naturel ? Ou bien sera-t-il, comme la Libye et certains pays ouest-africains, un État totalement effondré, abandonnant de grandes parties de son territoire à la merci de groupes divers exploitant les ressources naturelles à leur profit exclusif ? Est-ce que le Sénégal sera ou non emporté par la ceinture de feu qui embrase l’Afrique de l’Ouest ? Le verrou sénégalais va-t-il sauter ou va-t-il tenir ?», s'interrogent Oumar Sarr et ses camarades.
Pour ces derniers, il est temps, pour les véritables patriotes, de se pénétrer de l’acuité de ces enjeux et de se disposer à faire face pour défendre nos acquis démocratiques et sociaux, quel qu’en soit le prix.
18 Commentaires
Equité
En Février, 2023 (19:45 PM)Sn
En Février, 2023 (19:48 PM)Oumar sougn la wakhai wakhal looy wakh?
Amoo choix grand!Sinon cest la prison.
Sn
En Février, 2023 (19:59 PM)Nous devons tenir plus que jamais sinon le Sénégal dira à Dieu la paix comme partout où les salafiste ont pu pénétré. Ne les laissons pas profiter de notre bonté car si c'était eux les plus nombreux ici personne j'ai dis bien personne n'osera ouvrir sa bouche pour parler de sa confrérie.
Quoi que cela coûte aujourd'hui d'arrêter ce mouvement c'est moins aujourd'hui que demain.
Ndar
En Février, 2023 (20:02 PM)Un Passant Qui Passe
En Février, 2023 (20:07 PM)Ado
En Février, 2023 (20:23 PM)Merci omar sarr
Boynder
En Février, 2023 (20:47 PM)L'etat doit être fort et rester debout.
Ces bandits doivent arrêter !
Autoroute
En Février, 2023 (20:49 PM)Akisocio
En Février, 2023 (20:54 PM)Après avoir tout copié sur les français nous voilà à copier leur langage sans en connaître la véritable substance.
Ce que ce monsieur veut préserver c'est la copie actuelle de notre constitution qui est le fruit de nombreuses révisions, à patir de la référence initiale française, chaque révision ayant été dictée par une volonté d'agrandir le pouvoir du chef de l'état et de reculer autant que possible cette prétendue démocratie.
C'est étrange d'entendre ce mot "democratie" de la bouche de ses destructeurs les plus tenaces !
Boul
En Février, 2023 (20:57 PM)Max
En Février, 2023 (23:02 PM)Senegalais
En Février, 2023 (00:08 AM)