Il y a deux ans environ, tirant les leçons d’une mévente de la production arachidière, le Sénégal s’était lancé dans la commercialisation, à grande échelle, de l’huile d’arachide, par le biais de la Sonacos. Mais après quelques mois de transformation industrielle, la société s’était retrouvée dans une situation difficile, faute de clients.
Aujourd’hui, ce cauchemar relève de l’histoire ancienne. Du moins, si l’on en croit le président du Conseil d’administration de la société. «Ce système marche. Sonacos n’a plus de stock d’huile invendu. Les stocks d’huile que nous avions, qui faisaient 12 milliards, ont été largement écoulés», se réjouit Youssou Diallo.
Aujourd’hui, Sonacos a même un autre défit : accélérer la cadence de production. «Mais la contrainte que nous avons, c’est le niveau de vétusté de nos équipements. Nous sommes dans un processus de renouvellement de ces équipements», assure-t-il.
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