Une âme bien née qui a décidé de porter haut le combat de la valorisation de la culture africaine. C’est la vie que mène Sally Alassane Thiam. Âgé de 30 ans, ce jeune sénégalais est surnommé « Monsieur Patrimoine » pour son engagement auprès des hautes sphères mondiales pour la reconnaissance et le rayonnement du potentiel culturel africain. Ce « boy Sicap », comme il se plaît à le rappeler, a pu gravir les échelons à grandes enjambées et souhaite, aujourd’hui, montrer la voie à ses jeunes semblables.
« Tu ne me parles pas d’âge », cette phrase de Kylian Mbappé lancée lors d’une interview est désormais la devise des jeunes dont le savoir-faire n’a rien à envier à l’expérience. Et Sally Alassane Thiam en est le parfait exemple. Pur produit du système éducatif sénégalais, c’est en France qu’il décide de poursuivre ses études après l’obtention de son baccalauréat à l’âge de 18 ans. Le jeune homme suit son cursus dans une école d’ingénieure et obtient un master à HEC Paris sur comment créer sa propre startup technologique. Diplôme en poche, Sally Alassane Thiam se jette dans l’univers professionnel et fait ses premières armes dans le cabinet du député maire Alain Claeys. « J’y ai travaillé en tant que responsable de projets où je dirigeais une mission de GRU (Gestion Relation usagers) afin que les usagers puissent avoir accès à la bonne information et que s’ils font des demandes à l’Etat que ça puisse être tracé et qu’ils aient des retours », raconte-t-il.
Un entrepreneur dans l’âme
A la suite de cette aventure, il intègre le leader de l’énergie en France, EDF, toujours en qualité de responsable de projets. Il avait entre autres comme tâches d’accompagner toutes les mises en production et les mises en place des compteurs intelligents dans le pays. Sans doute impressionnée par le travail abattu, la société d’assurance Allianz décide de le débaucher. Quelque temps après, il est à nouveau débauché cette fois-ci par la société Hewlett-Packard (HP) et occupe le poste de Senior Advisor. Malgré une carrière professionnelle en plein essor, S. Thiam demeure insatiable et a faim de nouvelles aventures. Il décide alors de sauter le pas et se lance dans l’entrepreneuriat. « J’étais convaincu que je devais, en fonction de mes compétences et de mon savoir-faire, essayer de lancer ma propre entreprise et c’est ce que j’ai fait », glisse-t-il. Et il l’a fait.
Axant sa réflexion autour de ce qu’il pourrait apporter à son cher pays le Sénégal, le trentenaire décide de lancer l’application Wov immobilier. Cet outil permet à la diaspora sénégalaise de suivre leurs chantiers à Dakar tout en restant en Europe. Il justifie la création d’une telle application: « Il y a beaucoup de problèmes de logistique et de litiges fonciers. Il fallait y apporter du numérique et de la transparence ».
M. Patrimoine ou le porte-étendard du rayonnement de la culture africaine
Il ajoute : « Voici l’objectif de cet engagement par rapport à cette boîte, qui me permet de vivre, parce que la culture ne nourrit pas son homme ». Une précision de taille qui permet d’aborder son grand amour : la culture. Une passion pour laquelle on pourrait réajuster une maxime et déclarer : « Qui aime bien, défend éperdument ». En effet, Sally Alassane Thiam, est surtout reconnu pour être le défenseur du potentiel culturel africain en général et sénégalais en particulier. A côté de sa carrière professionnelle, il a toujours été engagé dans l’ONG Afrique patrimoine. « Notre objectif est d’ériger la culture africaine comme une vitrine dans le monde entier. On parle même de nouvel ordre culturel mondial parce que les projets qu’on est en train de porter viennent régler des problèmes en Afrique », souligne-t-il. Pour mener à bien cette lutte, l’ONG cible deux problématiques centrales. La première concerne la sous représentation des monuments africains dans la liste de l’UNESCO. Selon des chiffres qu’il révèle, sur les 1154 patrimoines classés par l’organisation onusienne, l’Afrique ne compterait que 106. Un fait qui s’apparente à un paradoxe pour Sally Alassane Thiam au vu de la richesse culturelle du continent. La deuxième problématique est en rapport avec la restitution des objets culturels africains. D’après lui, la résolution de ces deux problématiques contribuera grandement au développement économique de l’Afrique grâce au tourisme.
Un forum international du patrimoine africain pour un changement de paradigme
Cet engagement pour la reconnaissance du patrimoine africain va, en partie, porter ses fruits. Il remporte le « New Leader Crans Montana » et le « Best Africa Young Leader ». S’inspirant des textes fondamentaux africains à l’exemple de la charte de la renaissance africaine qui dit dans son article 3 « d’encourager la coopération culturelle internationale pour une meilleure compréhension des peuples à l’intérieur comme à l’international », l’ONG dirigée par le jeune sénégalais a une illumination. Elle décide de mettre en place un forum international sur le patrimoine africain qui aura pour finalité la création d’un label du patrimoine africain. « « On ne va plus attendre les pays européens ou l’UNESCO pour classer nos patrimoines. On va créer nos labels. On va dire que notre patrimoine a de la valeur, on va faire nos propres systèmes de cotation et on va l’organiser. Donc, il ne faudrait pas que l’on attende les injonctions internationales pour faire avancer ce sujet », argue-t-il. Ce forum international, qui se veut itinérant, sera une plateforme d’échanges entre les Etats Africains et le reste du monde. Le choix de ce format est bien loin d’être anodin puisqu’il s’inscrirait, selon le Sénégalais, dans une logique de changement de paradigme. Sally Alassane Thiam s’explique : « On a l'habitude de voir des sommets France-Afrique, Belgique-Afrique Turquie-Afrique… Un pays contre tout un continent. Maintenant ce qu’on aura, c’est un forum africain endogène qui va se faire dans chaque pays africain et on invitera les pays européens ».
Sur la question de la restitution des objets africains, les initiateurs de ce forum souhaitent que les discussions se fassent de la manière la plus apaisée. « On s’est dit, il faudrait qu’on y aille d’une manière apaisée. Il ne faudrait pas toujours tomber dans l’excès, dans l'affect cela ne va pas faire avancer les choses. Ce qui nous fera avancer c’est d’être conscient et de se dire « travaillons, mettons en place des stratégies » qui permettent aux Européens aujourd’hui de comprendre qu’on est prêt pour accueillir ces objets », observe-t-il.
Une connexion « naturelle » avec Macky Sall
Il est clair qu’un tel parcours doublé d’un engagement pour un intérêt commun attire l’attention. Sally Alassane Thiam a tapé dans l’œil du Président de la République du Sénégal, Macky Sall. Le chef d’Etat l’a invité à la journée du patrimoine mondial africain au palais de la République. « La connexion s’est faite très naturellement parce que j’ai montré que j’étais prêt à accompagner mon pays », précise-t-il. Auteur du livre « Mon combat pour le patrimoine », Sally Alassane Thiam mettra bien en évidence cette bonne connexion avec le Président Sall. Ce dernier est le préfacier de cet ouvrage. « La jeunesse africaine actuelle dans sa globalité, est en train de mener une pensée stratégique de réappropriation de sa dignité, à travers notamment la reprise en main du destin de son patrimoine. Cet effort collectif passe par un travail transversal primordial pour notre indépendance. Elle ne sera possible que par l'éveil des consciences », a mentionné le Président de la République.
La dernière marque d’estime du Président en exercice de l’Union Africaine à l’endroit du jeune sénégalais est sa présence dans la délégation sénégalaise lors de sa tournée dernière tournée en Afrique. Pour Sally Alassane Thiam, ces gestes de Macky Sall sont des invites à la persévérance pour d’autres jeunes sénégalais : « C’est un message qu’il lance à la jeunesse et de dire que malgré votre âge –moi, j’ai 30 ans et je suis le plus jeune président d’une organisation non gouvernementale à l’ONU- ce « qui m’intéresse c’est que battez-vous, ayez le mental qu’il faut et on vous donnera votre place. »
Un « Senghorien » depuis le berceau
Dans son ouvrage, l’auteur, qui retrace son parcours, entonne, par ailleurs, l’hymne à l’opiniâtreté pour ses jeunes compatriotes en leur disant qu’il « faut forcer la main aux gens pour pouvoir arriver à ce que l’on veut. Tant que la motivation est saine pour moi, on ne doit pas se retenir ». Sally Alassane Thiam cite aussi dans ce récit ses 3 références : Léopold Sédar Senghor, Mamadou Dia et Cheikh Anta Diop. Dans ce trio de personnages emblématiques sénégalais, le poète occupe une place de choix. « Je me rapproche de Senghor parce qu’il est un homme de culture multidimensionnelle. Je ne parle pas du Senghor président, je parle de Senghor l’homme de culture, du Senghor sensible au patrimoine et à la littérature », souligne-t-il. Une admiration pour le premier Président sénégalais transmise par un paternel « Senghorien convaincu » qui fût aussi inspecteur général des monuments historiques en Afrique. « J’ai grandi dans cet environnement qui permet également de lire les œuvres de Senghor et de comprendre sa dimension », conclut-il.
« Tu ne me parles pas d’âge », cette phrase de Kylian Mbappé lancée lors d’une interview est désormais la devise des jeunes dont le savoir-faire n’a rien à envier à l’expérience. Et Sally Alassane Thiam en est le parfait exemple. Pur produit du système éducatif sénégalais, c’est en France qu’il décide de poursuivre ses études après l’obtention de son baccalauréat à l’âge de 18 ans. Le jeune homme suit son cursus dans une école d’ingénieure et obtient un master à HEC Paris sur comment créer sa propre startup technologique. Diplôme en poche, Sally Alassane Thiam se jette dans l’univers professionnel et fait ses premières armes dans le cabinet du député maire Alain Claeys. « J’y ai travaillé en tant que responsable de projets où je dirigeais une mission de GRU (Gestion Relation usagers) afin que les usagers puissent avoir accès à la bonne information et que s’ils font des demandes à l’Etat que ça puisse être tracé et qu’ils aient des retours », raconte-t-il.
Un entrepreneur dans l’âme
A la suite de cette aventure, il intègre le leader de l’énergie en France, EDF, toujours en qualité de responsable de projets. Il avait entre autres comme tâches d’accompagner toutes les mises en production et les mises en place des compteurs intelligents dans le pays. Sans doute impressionnée par le travail abattu, la société d’assurance Allianz décide de le débaucher. Quelque temps après, il est à nouveau débauché cette fois-ci par la société Hewlett-Packard (HP) et occupe le poste de Senior Advisor. Malgré une carrière professionnelle en plein essor, S. Thiam demeure insatiable et a faim de nouvelles aventures. Il décide alors de sauter le pas et se lance dans l’entrepreneuriat. « J’étais convaincu que je devais, en fonction de mes compétences et de mon savoir-faire, essayer de lancer ma propre entreprise et c’est ce que j’ai fait », glisse-t-il. Et il l’a fait.
Axant sa réflexion autour de ce qu’il pourrait apporter à son cher pays le Sénégal, le trentenaire décide de lancer l’application Wov immobilier. Cet outil permet à la diaspora sénégalaise de suivre leurs chantiers à Dakar tout en restant en Europe. Il justifie la création d’une telle application: « Il y a beaucoup de problèmes de logistique et de litiges fonciers. Il fallait y apporter du numérique et de la transparence ».
M. Patrimoine ou le porte-étendard du rayonnement de la culture africaine
Il ajoute : « Voici l’objectif de cet engagement par rapport à cette boîte, qui me permet de vivre, parce que la culture ne nourrit pas son homme ». Une précision de taille qui permet d’aborder son grand amour : la culture. Une passion pour laquelle on pourrait réajuster une maxime et déclarer : « Qui aime bien, défend éperdument ». En effet, Sally Alassane Thiam, est surtout reconnu pour être le défenseur du potentiel culturel africain en général et sénégalais en particulier. A côté de sa carrière professionnelle, il a toujours été engagé dans l’ONG Afrique patrimoine. « Notre objectif est d’ériger la culture africaine comme une vitrine dans le monde entier. On parle même de nouvel ordre culturel mondial parce que les projets qu’on est en train de porter viennent régler des problèmes en Afrique », souligne-t-il. Pour mener à bien cette lutte, l’ONG cible deux problématiques centrales. La première concerne la sous représentation des monuments africains dans la liste de l’UNESCO. Selon des chiffres qu’il révèle, sur les 1154 patrimoines classés par l’organisation onusienne, l’Afrique ne compterait que 106. Un fait qui s’apparente à un paradoxe pour Sally Alassane Thiam au vu de la richesse culturelle du continent. La deuxième problématique est en rapport avec la restitution des objets culturels africains. D’après lui, la résolution de ces deux problématiques contribuera grandement au développement économique de l’Afrique grâce au tourisme.
Un forum international du patrimoine africain pour un changement de paradigme
Cet engagement pour la reconnaissance du patrimoine africain va, en partie, porter ses fruits. Il remporte le « New Leader Crans Montana » et le « Best Africa Young Leader ». S’inspirant des textes fondamentaux africains à l’exemple de la charte de la renaissance africaine qui dit dans son article 3 « d’encourager la coopération culturelle internationale pour une meilleure compréhension des peuples à l’intérieur comme à l’international », l’ONG dirigée par le jeune sénégalais a une illumination. Elle décide de mettre en place un forum international sur le patrimoine africain qui aura pour finalité la création d’un label du patrimoine africain. « « On ne va plus attendre les pays européens ou l’UNESCO pour classer nos patrimoines. On va créer nos labels. On va dire que notre patrimoine a de la valeur, on va faire nos propres systèmes de cotation et on va l’organiser. Donc, il ne faudrait pas que l’on attende les injonctions internationales pour faire avancer ce sujet », argue-t-il. Ce forum international, qui se veut itinérant, sera une plateforme d’échanges entre les Etats Africains et le reste du monde. Le choix de ce format est bien loin d’être anodin puisqu’il s’inscrirait, selon le Sénégalais, dans une logique de changement de paradigme. Sally Alassane Thiam s’explique : « On a l'habitude de voir des sommets France-Afrique, Belgique-Afrique Turquie-Afrique… Un pays contre tout un continent. Maintenant ce qu’on aura, c’est un forum africain endogène qui va se faire dans chaque pays africain et on invitera les pays européens ».
Sur la question de la restitution des objets africains, les initiateurs de ce forum souhaitent que les discussions se fassent de la manière la plus apaisée. « On s’est dit, il faudrait qu’on y aille d’une manière apaisée. Il ne faudrait pas toujours tomber dans l’excès, dans l'affect cela ne va pas faire avancer les choses. Ce qui nous fera avancer c’est d’être conscient et de se dire « travaillons, mettons en place des stratégies » qui permettent aux Européens aujourd’hui de comprendre qu’on est prêt pour accueillir ces objets », observe-t-il.
Une connexion « naturelle » avec Macky Sall
Il est clair qu’un tel parcours doublé d’un engagement pour un intérêt commun attire l’attention. Sally Alassane Thiam a tapé dans l’œil du Président de la République du Sénégal, Macky Sall. Le chef d’Etat l’a invité à la journée du patrimoine mondial africain au palais de la République. « La connexion s’est faite très naturellement parce que j’ai montré que j’étais prêt à accompagner mon pays », précise-t-il. Auteur du livre « Mon combat pour le patrimoine », Sally Alassane Thiam mettra bien en évidence cette bonne connexion avec le Président Sall. Ce dernier est le préfacier de cet ouvrage. « La jeunesse africaine actuelle dans sa globalité, est en train de mener une pensée stratégique de réappropriation de sa dignité, à travers notamment la reprise en main du destin de son patrimoine. Cet effort collectif passe par un travail transversal primordial pour notre indépendance. Elle ne sera possible que par l'éveil des consciences », a mentionné le Président de la République.
La dernière marque d’estime du Président en exercice de l’Union Africaine à l’endroit du jeune sénégalais est sa présence dans la délégation sénégalaise lors de sa tournée dernière tournée en Afrique. Pour Sally Alassane Thiam, ces gestes de Macky Sall sont des invites à la persévérance pour d’autres jeunes sénégalais : « C’est un message qu’il lance à la jeunesse et de dire que malgré votre âge –moi, j’ai 30 ans et je suis le plus jeune président d’une organisation non gouvernementale à l’ONU- ce « qui m’intéresse c’est que battez-vous, ayez le mental qu’il faut et on vous donnera votre place. »
Un « Senghorien » depuis le berceau
Dans son ouvrage, l’auteur, qui retrace son parcours, entonne, par ailleurs, l’hymne à l’opiniâtreté pour ses jeunes compatriotes en leur disant qu’il « faut forcer la main aux gens pour pouvoir arriver à ce que l’on veut. Tant que la motivation est saine pour moi, on ne doit pas se retenir ». Sally Alassane Thiam cite aussi dans ce récit ses 3 références : Léopold Sédar Senghor, Mamadou Dia et Cheikh Anta Diop. Dans ce trio de personnages emblématiques sénégalais, le poète occupe une place de choix. « Je me rapproche de Senghor parce qu’il est un homme de culture multidimensionnelle. Je ne parle pas du Senghor président, je parle de Senghor l’homme de culture, du Senghor sensible au patrimoine et à la littérature », souligne-t-il. Une admiration pour le premier Président sénégalais transmise par un paternel « Senghorien convaincu » qui fût aussi inspecteur général des monuments historiques en Afrique. « J’ai grandi dans cet environnement qui permet également de lire les œuvres de Senghor et de comprendre sa dimension », conclut-il.
25 Commentaires
Xalassati
En Août, 2022 (10:57 AM)Tialki
En Août, 2022 (12:10 PM)Si à 30 ans l'énergumène à transhumer autant de fois , il oublie dans son CV d'en dire le pourquoi.
Une pastèque pour remplacer sa tête qui enfle par "modestie"
Reply_author
En Août, 2022 (11:19 AM)Reply_author
En Août, 2022 (12:16 PM)Foulbes!!!
En Août, 2022 (11:21 AM)FOULBES.
Prof
En Août, 2022 (11:34 AM)il se détache des erreurs politiques de notre président poète
Reply_author
En Août, 2022 (12:18 PM)Reply_author
En Août, 2022 (12:19 PM)Gk
En Août, 2022 (11:44 AM)Qu'il soit brillant , je ne le conteste nullemnent, le terme énergumène peut être attribué à une personne hors du commun , donc calme ton agacement à mon égard, je ne suis pas jaloux mais j'analyse logiquement son parcours. Si on lis attentivement son CV, il est nommé chef de projets, un projet quelque qu'il soit demande des années de prospection ,d'études diverses, donc je signe et confirme qu'il n'a fait que survoler ses nombreux jobs.
Je retiens également qu'il se targue d'être président de l'ONU :
rectificatif :
Qui est le président de l'ONU actuel ?
António Guterres, le neuvième Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies, a pris ses fonctions le 1er janvier 2017
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En Août, 2022 (11:58 AM)Il faut bien lire Président d'une ONG dotée du statut consultatif avec l'ONU.
Nous savons. C'est pourquoi, nous comprenons ce qui n'est pas bien compris au Sénégal.
Enfin, get a life !
le Forum de Crans-Montana n'est pas celui de Davos ....il tient absolument à nous prendre pour des demeurés.
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En Août, 2022 (12:18 PM)Reply_author
En Août, 2022 (12:56 PM)Ton petit sosie "Shengor" a lunettes et médaille au veston est imbu de sa personne , pas comme son idole.
Mbarodi
En Août, 2022 (12:16 PM)Bill Ageluim
En Août, 2022 (12:44 PM)@faux Bill
En Août, 2022 (13:03 PM)essaie honnêtement de lire et relire l'article commandité pour t'apercevoir que ça fanfaronne à chaque ligne.
exemple ;
dans tout pays normal être chef de projet est une fonction comme une autre, rémunérée, donc c'est un salarié
au Sénégal on est chargé de mission , comme la fameuse au Canada , belliqueuse à souhait
chargé de mission pour nous signifie , déléguer le job, percevoir salaire et privièges et s'approprier les louanges
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En Août, 2022 (13:10 PM)Ibou
En Août, 2022 (12:54 PM)Reply_author
En Août, 2022 (13:12 PM)Reply_author
En Août, 2022 (13:49 PM)Habib
En Août, 2022 (13:27 PM)Reply_author
En Août, 2022 (13:35 PM)Reply_author
En Août, 2022 (13:48 PM)Reply_author
En Août, 2022 (13:58 PM)Super
En Août, 2022 (15:26 PM)Reply_author
En Août, 2022 (16:04 PM)Trafiquant De Personnalité
En Juin, 2023 (18:05 PM)Participer à la Discussion