
Après Banjul, Büla en Guinée-Bissau, c'est au tour de Ziguinchor d'accueillir la fraternité des religieux et religieuses mancagnes de trois pays amis et frères que sont la Gambie, la Guinée Bissau et le Sénégal. Et pour cette année encore, la rencontre a été ouverte par une messe sous l'égide de l'administrateur du Diocèse de Ziguinchor qui a envoyé une forte délégation.
Cette rencontre a eu pour thème : "Une réflexion sur la culture, particulièrement sur le rite mortuaire chez les mancagnes, à savoir les funérailles", en convivialité avec la communauté Mancagne de Ziguinchor.
" La mort est là présente et hante tout le monde", propos de l'Abbé Samson Kantoussan du diocèse de Ziguinchor en mission à Oussouye comme curé de la Paroisse Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus, pour justifier le thème choisi à l'occasion de la 3ème édition de cette fraternité. En choisissant de parler de cette aspect de la culture, ces religieux et religieuses essaient de comprendre comment les mancagnes célèbrent la mort pour mieux pouvoir parler avec leurs frères et sœurs dans le cadre de l'évangélisation. Un choix aussi en parfaite communion avec le diocèse de Ziguinchor qui préconise la connaissance de la culture des fidèles pour évangéliser. En effet, en 2014, l'ancien Évêque de Ziguinchor Mgr Paul Abel Manba, en initiant le synode pour savoir quelle orientation donner à l'église qu'il dirige dans le Sud du pays, a préconisé la connaissance de la parole de Dieu, rappelle l'Abbé Jean Baptiste Walter Manga, secrétaire général de la pastorale d'ensemble du diocèse de Ziguinchor.
Représentant l'administrateur du diocèse, Mgr Fulgence Coly a aussi rappelé que le diocèse travaille sur les cultures avec comme thème : "Connaître nos cultures pour mieux enraciner l'Évangile", pour montrer l'intérêt accordé par les prêtres de Ziguinchor en premier l'administrateur à cette rencontre des religieux et religieuses mancagnes de la Gambie, de la Guinée-Bissau et du Sénégal.
Le président de cette fraternité Father ou père Bruno Toupane du diocèse de Banjul de rappeler l'importance de cette fraternité, une tribune offerte à ces hommes et femmes d'église de pouvoir mieux se connaître et s'entre-aider, mais au delà, aider leurs frères mancagnes chrétiens catholiques à mieux connaître le Christ tout en puisant les bonnes choses de la culture pour les valoriser. "Ce n'est pas refuser ou nier sa tradition", dit Father Bruno, mais de pouvoir se démettre ou de se débarrasser des choses non recommandées par l'Église... Des fidèles laïcs ancrés dans la culture mancagne ou bien imprégnés de cette culture ont été choisis comme conférenciers durant tout le conclave, pendant trois jours.
Cette rencontre a eu pour thème : "Une réflexion sur la culture, particulièrement sur le rite mortuaire chez les mancagnes, à savoir les funérailles", en convivialité avec la communauté Mancagne de Ziguinchor.
" La mort est là présente et hante tout le monde", propos de l'Abbé Samson Kantoussan du diocèse de Ziguinchor en mission à Oussouye comme curé de la Paroisse Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus, pour justifier le thème choisi à l'occasion de la 3ème édition de cette fraternité. En choisissant de parler de cette aspect de la culture, ces religieux et religieuses essaient de comprendre comment les mancagnes célèbrent la mort pour mieux pouvoir parler avec leurs frères et sœurs dans le cadre de l'évangélisation. Un choix aussi en parfaite communion avec le diocèse de Ziguinchor qui préconise la connaissance de la culture des fidèles pour évangéliser. En effet, en 2014, l'ancien Évêque de Ziguinchor Mgr Paul Abel Manba, en initiant le synode pour savoir quelle orientation donner à l'église qu'il dirige dans le Sud du pays, a préconisé la connaissance de la parole de Dieu, rappelle l'Abbé Jean Baptiste Walter Manga, secrétaire général de la pastorale d'ensemble du diocèse de Ziguinchor.
Représentant l'administrateur du diocèse, Mgr Fulgence Coly a aussi rappelé que le diocèse travaille sur les cultures avec comme thème : "Connaître nos cultures pour mieux enraciner l'Évangile", pour montrer l'intérêt accordé par les prêtres de Ziguinchor en premier l'administrateur à cette rencontre des religieux et religieuses mancagnes de la Gambie, de la Guinée-Bissau et du Sénégal.
Le président de cette fraternité Father ou père Bruno Toupane du diocèse de Banjul de rappeler l'importance de cette fraternité, une tribune offerte à ces hommes et femmes d'église de pouvoir mieux se connaître et s'entre-aider, mais au delà, aider leurs frères mancagnes chrétiens catholiques à mieux connaître le Christ tout en puisant les bonnes choses de la culture pour les valoriser. "Ce n'est pas refuser ou nier sa tradition", dit Father Bruno, mais de pouvoir se démettre ou de se débarrasser des choses non recommandées par l'Église... Des fidèles laïcs ancrés dans la culture mancagne ou bien imprégnés de cette culture ont été choisis comme conférenciers durant tout le conclave, pendant trois jours.
9 Commentaires
Reply_author
En Septembre, 2022 (22:40 PM)Decod
En Septembre, 2022 (06:22 AM)Des que c'est les autres, vous l'ouvrez pour dire neddo ko dandum etc...gnagna gni gnagna gna. Arrêtez vitre enfumage et cette fumisterie généralisée. Chacun adore sa Culture
Xman
En Septembre, 2022 (08:18 AM)Mdr
En Septembre, 2022 (08:22 AM)c'est le mancagne ko bandum
peuls yi ngen yapp
Gabriel M.m
En Septembre, 2022 (09:08 AM)Participer à la Discussion