Le chef de l'État effectuera la Prière du vendredi au Daaka de Médina Gounass. L'AS, qui donne l'information, précise que Macky Sall a quitté Dakar hier, jeudi 15 mars, peu après avoir reçu le rapport sur les concertations sur le processus électoral.
Le journal ajoute qu'il a passé la nuit à Kaolack avant de prolonger jusqu'à Tamba d'où il partira pour Médina Gounass.
L'AS signale que le Président Sall prendra congés de ses hôtes après avoir prié aux côtés de son marabout, Thierno Ahmed Tidiane Bâ. Il laissera la place au ministre de l'Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, qui va présider la cérémonie officielle.
13 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2018 (12:44 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (13:12 PM)c'est lui meme qui a fait un sacrifice humain de ces pauvres gens partis en retraite spirituel
les savants de kolda savent ce qui c'est passé cest un holocauste satanique!
Si maki sale croit que ses sacrifices humains lui permettrons davoir un second mandat il se fourre son gros doigt obese dans le cul!
Idi amin dada a sacrifier 300000 vies humaines resultat il a ete dechu et est mort comme une merde sans parler de mobutu ces gens la finissent toujopurs mal!
un diaam comme maki sera toujours un diamm c'est genetique maintenant il veux se venger contre nous ses maitres on l'attend de pied ferme sale maccudo de merde!
Anonyme
En Mars, 2018 (13:41 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:43 PM)Il est soupçonné d’avoir touché des pots-de-vin pour un contrat d’armement de 4,2 milliards d’euros signé en 1999 par l’Afrique du Sud avec plusieurs entreprises étrangères, dont la française Thalès.
Anonyme
En Mars, 2018 (14:56 PM)L’appétit vient en mangeant. À force d’errer dans les couloirs feutrés du palais, le républicain président acquiert des goûts royaux, avec ses ors, ses fastes, ses fantasques réceptions politiques, ses cours laudatrices. Il s’est taillé une stature de monarque, inamovible, appelé à régner …cinquante ans. Comme le rêvait le père qu’il a détrôné.
Et les rois, on le sait, règnent à partir de palais. Qu’ils héritent ou qu’ils se font construire. Le président en voie accélérée de « monarchisation » se découvre des sentiments anticolonialistes : il va, à défaut de casser l’actuel palais pour cause d’origine coloniale, comme les djihadistes au Mali (il ne veut pas se retrouver à la CPI), il va en construire un autre, qui sera sans doute « national, démocratique et patriotique ».
Parce que, on le sait, les monarques qui rêvent d’éternité, ne voient jamais leur règne finir. Leur présent est leur postérité, qu’ils veulent absolument paver de souvenirs grandioses : palais, tours et, modernité oblige, d’autoroutes, de grandes salles de conférences pour les dissertations de sa seigneurie et de ses semblables.
C’est au cours d’une de ses envolées devant des sujets en transes, que le président fit la plus grande annonce d’un septennat usurpé : il va construire un autre palais dans la prochaine deuxième capitale de son royaume : Diamniadio. Un monarque républicain, ne peut se suffire d’un Palais construit par de haïssables colonialistes. On peut sans doute être un roi sans couronne, mais pas un monarque sans des Palais-bunkers. On se souvient d’un président qui se fit couronner roi au 21ème siècle.
Si on n’ose plus se promener la tête couronnée, on peut en exposer les signes extérieurs, comme des palais, des constitutions sur-mesure adoptées par des référendums biaisés. Oui, on peut singer les monarques dans une République dévoyée, avec des zones interdites aux manifestations comme les bantoustans sous l’apartheid.
Dans un pays appelé Sénégal, qui jusque-là n’avait qu’une rare et très périssable richesse appelée démocratie, sa capitale est constituée de deux zones séparées par un no man’s land : dans l’une, on peut y marcher, courir, s’asseoir et, même voler ou tuer des enfants, violer des femmes qui ont l’outrecuidance d’avoir des formes naturelles, humaines, mais qui s’habillent avec des tenues « appels au viol » et, il y a une autre zone de cette capitale où règne l’ordre monarchique. Il est interdit d’y respirer les gaz des grenades de sa majesté ; interdit de troubler le calme de la « communauté internationale », « partenaires au développement ».
Ceci n’est pas constitutionnel ! Ceci viole la constitution qui reconnaît le droit de marcher, manifester, hurler sa joie comme sa rage, voire sa haine. Evidemment, il n’y a qu’un monarque pour s’asseoir sur une constitution démocratiquement adoptée par un peuple supposé souverain. Ce qui est ahurissant, c’est le fait qu’il n’y ait personne dans le camp du monarque pour lui rappeler l’égalité des citoyens partout dans le territoire national. Leurs sources de vie ont tragiquement pris le pas sur leurs raisons de vivre. La sécurité du palais et la sérénité de son occupant provisoire, sont plus importantes que les droits et libertés des citoyens.
Ce président est déroutant d’inconstance. Il annonce une année sociale, il maltraite enseignants, médecins, élèves. Bref, toute la République des actifs. Il annonce l’autosuffisance en riz, les populations du nord et du sud-est, sont au bord de la famine. Et le président veut se faire construire un palais ! Un troisième après celui de l’avenue Roume et de Popenguine, alors que plus de vingt mille étudiants sont dans la rue parce que le gouvernement de sa majesté est presque insolvable malgré les chansonnettes sur un taux de croissance de 7,2%. Pays de paradoxes où l’augmentation de la croissance s’accompagne de la croissance de la pauvreté ! Exceptionnel Sénégal !
Dixit Demba Ndiaye Merci Demba ah de l'espoir dans ce pays...
Il tombera quelque soit les sacrifices
Senghor 4 mandats, Diouf 3 mandats, Wade 2 mandats, Macky 2 mandat...4..3..2..1 courbe descendante à caractère devin et vaudouesque...il peut arrêter de donner de l'argent pour faciliter la tâche à son successeur c mieux
Anonyme
En Mars, 2018 (14:59 PM)L’appétit vient en mangeant. À force d’errer dans les couloirs feutrés du palais, le républicain président acquiert des goûts royaux, avec ses ors, ses fastes, ses fantasques réceptions politiques, ses cours laudatrices. Il s’est taillé une stature de monarque, inamovible, appelé à régner …cinquante ans. Comme le rêvait le père qu’il a détrôné.
Et les rois, on le sait, règnent à partir de palais. Qu’ils héritent ou qu’ils se font construire. Le président en voie accélérée de « monarchisation » se découvre des sentiments anticolonialistes : il va, à défaut de casser l’actuel palais pour cause d’origine coloniale, comme les djihadistes au Mali (il ne veut pas se retrouver à la CPI), il va en construire un autre, qui sera sans doute « national, démocratique et patriotique ».
Parce que, on le sait, les monarques qui rêvent d’éternité, ne voient jamais leur règne finir. Leur présent est leur postérité, qu’ils veulent absolument paver de souvenirs grandioses : palais, tours et, modernité oblige, d’autoroutes, de grandes salles de conférences pour les dissertations de sa seigneurie et de ses semblables.
C’est au cours d’une de ses envolées devant des sujets en transes, que le président fit la plus grande annonce d’un septennat usurpé : il va construire un autre palais dans la prochaine deuxième capitale de son royaume : Diamniadio. Un monarque républicain, ne peut se suffire d’un Palais construit par de haïssables colonialistes. On peut sans doute être un roi sans couronne, mais pas un monarque sans des Palais-bunkers. On se souvient d’un président qui se fit couronner roi au 21ème siècle.
Si on n’ose plus se promener la tête couronnée, on peut en exposer les signes extérieurs, comme des palais, des constitutions sur-mesure adoptées par des référendums biaisés. Oui, on peut singer les monarques dans une République dévoyée, avec des zones interdites aux manifestations comme les bantoustans sous l’apartheid.
Dans un pays appelé Sénégal, qui jusque-là n’avait qu’une rare et très périssable richesse appelée démocratie, sa capitale est constituée de deux zones séparées par un no man’s land : dans l’une, on peut y marcher, courir, s’asseoir et, même voler ou tuer des enfants, violer des femmes qui ont l’outrecuidance d’avoir des formes naturelles, humaines, mais qui s’habillent avec des tenues « appels au viol » et, il y a une autre zone de cette capitale où règne l’ordre monarchique. Il est interdit d’y respirer les gaz des grenades de sa majesté ; interdit de troubler le calme de la « communauté internationale », « partenaires au développement ».
Ceci n’est pas constitutionnel ! Ceci viole la constitution qui reconnaît le droit de marcher, manifester, hurler sa joie comme sa rage, voire sa haine. Evidemment, il n’y a qu’un monarque pour s’asseoir sur une constitution démocratiquement adoptée par un peuple supposé souverain. Ce qui est ahurissant, c’est le fait qu’il n’y ait personne dans le camp du monarque pour lui rappeler l’égalité des citoyens partout dans le territoire national. Leurs sources de vie ont tragiquement pris le pas sur leurs raisons de vivre. La sécurité du palais et la sérénité de son occupant provisoire, sont plus importantes que les droits et libertés des citoyens.
Ce président est déroutant d’inconstance. Il annonce une année sociale, il maltraite enseignants, médecins, élèves. Bref, toute la République des actifs. Il annonce l’autosuffisance en riz, les populations du nord et du sud-est, sont au bord de la famine. Et le président veut se faire construire un palais ! Un troisième après celui de l’avenue Roume et de Popenguine, alors que plus de vingt mille étudiants sont dans la rue parce que le gouvernement de sa majesté est presque insolvable malgré les chansonnettes sur un taux de croissance de 7,2%. Pays de paradoxes où l’augmentation de la croissance s’accompagne de la croissance de la pauvreté ! Exceptionnel Sénégal !
Demba Ndiaye
Anonyme
En Mars, 2018 (15:29 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:46 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:50 PM)Diine
En Mars, 2018 (18:43 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (21:05 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (21:09 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (14:47 PM)Participer à la Discussion