L’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga a dénoncé, hier jeudi, les «mesures conservatoires» prises par la tutelle envers le personnel, dont la responsabilité serait engagée dans l’affaire du décès en couches de la patiente Astou Sokhna, en réclamant que l’enquête aille jusqu’à son terme.
«Nous sommes les premiers à réclamer que la Justice fasse la lumière dans cette tragédie», a martelé Souleymane Loucar, porte-parole du jour de cette intersyndicale (Sames, Sutsas, Syntras, Satsus), lors d’un point de presse.
Des agents de santé, dont la responsabilité serait engagée dans le décès de la patiente en couches au service de la maternité de l’hôpital de Louga, ont déjà fait l’objet d’une suspension temporaire.
«Étant donné que l’enquête est en cours, ainsi que les auditions, nous souhaiterions qu’elle aille à son terme, en l’occurrence jusqu’à l’autopsie. C’est seulement à ce stade que l’opinion sera édifiée(…) sur cette affaire et que toutes les responsabilités seront établies», a-t-il dit à l’Aps reprise par Le Quotidien.
Selon lui, l’intersyndicale dénonce les «mesures conservatoires» prises par la tutelle. Il estime que les agents (un gynécologue et des sages-femmes) dont la responsabilité serait engagée dans cette affaire, doivent bénéficier d’une présomption d’innocence jusqu’à ce que l’enquête prouve leur culpabilité ou leur innocence.
«Ces sanctions précipitées handicapent lourdement le fonctionnement déjà précaire de la maternité, qui ne compte que deux gynécologues contractuels et 15 sages-femmes», a révélé Loucar, exigeant que le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, soit démis de ses fonctions.
D’après lui, ces agents sont d’honnêtes personnels de santé qui ont voué leur vie à soigner, guérir et alléger les souffrances de leurs concitoyens.
«L’erreur consisterait à ériger les personnels de l’hôpital de Louga en responsables des maux dont souffre la population sénégalaise. Cela serait injuste, malhonnête et contreproductif», a-t-il dit, appelant les habitants à la retenue.
En réponse aux «mesures conservatoires», l’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital a décidé, dès hier, de suspendre toutes «les participations aux activités de soins à la maternité qui ne répondent pas aux normes qualitatives requises».
«Nous sommes les premiers à réclamer que la Justice fasse la lumière dans cette tragédie», a martelé Souleymane Loucar, porte-parole du jour de cette intersyndicale (Sames, Sutsas, Syntras, Satsus), lors d’un point de presse.
Des agents de santé, dont la responsabilité serait engagée dans le décès de la patiente en couches au service de la maternité de l’hôpital de Louga, ont déjà fait l’objet d’une suspension temporaire.
«Étant donné que l’enquête est en cours, ainsi que les auditions, nous souhaiterions qu’elle aille à son terme, en l’occurrence jusqu’à l’autopsie. C’est seulement à ce stade que l’opinion sera édifiée(…) sur cette affaire et que toutes les responsabilités seront établies», a-t-il dit à l’Aps reprise par Le Quotidien.
Selon lui, l’intersyndicale dénonce les «mesures conservatoires» prises par la tutelle. Il estime que les agents (un gynécologue et des sages-femmes) dont la responsabilité serait engagée dans cette affaire, doivent bénéficier d’une présomption d’innocence jusqu’à ce que l’enquête prouve leur culpabilité ou leur innocence.
«Ces sanctions précipitées handicapent lourdement le fonctionnement déjà précaire de la maternité, qui ne compte que deux gynécologues contractuels et 15 sages-femmes», a révélé Loucar, exigeant que le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, soit démis de ses fonctions.
D’après lui, ces agents sont d’honnêtes personnels de santé qui ont voué leur vie à soigner, guérir et alléger les souffrances de leurs concitoyens.
«L’erreur consisterait à ériger les personnels de l’hôpital de Louga en responsables des maux dont souffre la population sénégalaise. Cela serait injuste, malhonnête et contreproductif», a-t-il dit, appelant les habitants à la retenue.
En réponse aux «mesures conservatoires», l’intersyndicale des travailleurs de l’hôpital a décidé, dès hier, de suspendre toutes «les participations aux activités de soins à la maternité qui ne répondent pas aux normes qualitatives requises».
7 Commentaires
Gre
En Avril, 2022 (11:33 AM)Maa
En Avril, 2022 (11:36 AM)Macky Korr Marieme Faye
En Avril, 2022 (12:42 PM)Mactar
En Avril, 2022 (13:07 PM)Ataraxie
En Avril, 2022 (17:40 PM)Participer à la Discussion