Un quart des hommes atteint d'un cancer du pénis refusent le traitement lorsque celui-ci implique une amputation partielle ou totale, selon une étude internationale.
Le cancer du pénis fait partie des plus rares. Un homme sur 100 000 en est atteint chaque année dans les pays occidentaux. Cependant, ces dernières années, les chiffres ont augmenté de 20 à 25%. Les hommes âgés ont plus de risques de contracter la maladie.
Parmi les traitements, l'amputation partielle du pénis est recommandée dans 48% des cas, une excision de la tumeur dans 22,8% et pour 13,4% des malades, il est nécessaire de procéder à une amputation totale du sexe.
L'AMPUTATION MULTIPLIE PAR DEUX LES CHANCES DE SURVIE
Une vaste enquête internationale menée par des chercheurs américains, brésiliens, espagnols, italiens et hongrois, a été présentée au 33ème Congrès de l'European Association of Urology à Copenhague. Les scientifiques se sont penchés sur les dossiers de 425 patients traités entre 2010 et 2016.
Résultats, un quart des hommes pour qui l'amputation était nécessaire . Pourtant, ce traitement multiplie par deux les chances de survie. Les raisons sont diverses. La première, le refus du patient. Pour certains, l'amputation est « pire que la maladie ».
Dans l'autre moitié des cas, les médecins ne proposent tout simplement pas la pénectomie, par manque de formation. Pour y remédier, certains pays commencent à se doter de centres spécialisés pour augmenter ainsi les taux de guérison des patients. Selon l'étude britannique, le Royaume-Uni compte désormais 10 établissements.
5 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2018 (22:02 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (22:02 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (22:02 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (22:02 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:18 AM)meme la sodome des femmes
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