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Dengue : 36 cas entre Louga et Dahra

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Dengue : 36 cas entre Louga et Dahra

Le ministre de la Santé et de l'Action sociale a donné les derniers chiffres sur les cas de personnes affectées par la maladie de la Dengue.

"À la date du 29 octobre 2017, un total de 36 cas positifs a été noté sur 232 patients suspects. Les cas se répartissent entre la commune de Louga (34) et les deux autres dans la commune de Dahra. Aucune complication n’a été notée chez ces malades et tous les patients diagnostiqués positifs se portent bien. Ils ont repris leurs activités courantes", informe un communiqué du ministère de la Santé et de l’Action sociale parvenu à la Rédaction de Seneweb.

Les équipes d’intervention du Centre des opérations d’urgence sanitaire, le Service national de l’hygiène, le Service national de l’éducation et de l’information pour la santé, la région médicale de Louga et la collaboration de l’Institut Pasteur de Dakar sont à pied d’œuvre pour éradiquer cette maladie, rassurent les services de Abdoulaye Diouf Sarr.



11 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2017 (16:57 PM)
    il est ou Assane Diouf
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2017 (17:15 PM)
    Monsieur le Ministre

    Renseignez vous...la maladie est à Dakar aussi...
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2017 (19:57 PM)
    Une brève description de '' la maladie de la Dengue'' et ses symptoms aideraient un lecteur profame comme moi.
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    Auteur

    Anonymetutelle

    En Octobre, 2017 (20:21 PM)
    TAISEZ VOUS DR YOUSSOUPH NDIAYE CE QUE TU A FAIT A ABASS NDAO ENTRE 2009-2012; CES FAITS QUE TU A RECONNU A LA COUR DES COMPTES EN 2017



    VOLEUR-POLTRON*-GRANDE GUEULE-



    Audit du centre hospitalier : Abass Ndao infecté par la magouille



    17 mars 2015







    Une mission de vérification de l’Inspection des affaires administratives et financières (Iaaf) a été dépêchée au Centre hospitalier de Abass Ndao (Chan), au lendemain du départ de son ancien directeur Dr Youssou Ndiaye. Mais, la lecture du rapport officiel produit par l’Iaaf donne des urticaires. Les enquêteurs laissent voir des anomalies de toutes sortes, pour ne pas dire des combines et combinaisons à la limite mafieuses, qui ont profité à un personnel ou une catégorie de personnel, responsable à 90% de la situation précaire dans laquelle le Chan est plongée depuis des années maintenant. Selon le rapport de l’Iaaf, le Chan est transformé en champ de ruines, qui mettra bien des années, avant de redevenir normal.



    Abass Ndao risque de ne jamais se relever de sa gestion, sous l’ère Youssou Ndiaye. Du moins, si l’on se fie au rapport, produit par l’Ins¬pection des affaires administratives et financières (Iaaf). Cette mission est intervenue dans un contexte de transition du fait du changement de directeur effectué le 7 mai 2014. Pour les enquêteurs, ce changement de directeur semble être le corollaire de la situation tendue au sein du Centre hospitalier de Abass Ndao (Chan) entre Dr Youssou Ndiaye et une bonne partie du personnel depuis 2011.



    L’Iaaf fait remarquer que, sur le plan de la gestion, la structure devait, en fin avril 2014, trois mois d’arriérés de salaire à ses agents. Aujourd’hui, ces arriérés sont épongés et les réclamations portent uniquement sur les primes. Le fonctionnement normal des services techniques comme administratifs pose problème du fait de la vétusté des équipements, de la défaillance de la maintenance, de la rupture fréquente de consommables, de la situation déplorable des ressources humaines.



    Ces manquements, selon les en¬quêteurs, empêchent le Chan de fonctionner normalement et obligent le personnel à réorienter des patients dans les cliniques privées ou d’autres hôpitaux plus nantis en équipements et accessoires avec pour conséquence «une baisse significative des recettes propres. Pendant ce temps, la dette de l’hôpital ne fait que s’accroître. L’urgence est un vain mot, l’accueil et l’orientation inexistants. Le taux d’absentéisme est très élevé. Il en est de même des retards.»



    A propos de la masse salariale, elle n’est pas maîtrisée, selon le rapport. «Les tensions de trésorerie sont avérées et récurrentes, la baisse drastique des recettes peut être constatée sur les différents documents financiers, surtout durant la période (2010-2013). Les services tournent au minimum. Au moment de la prise de fonction du nouveau directeur, tous les contrats avec les fournisseurs étaient en voie de résiliation. La dette sociale avoisine 900 millions de francs Cfa, la dette fiscale plus d’un demi milliard et celle aux fournisseurs dépassent le milliard», lit-on dans le document.

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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2017 (20:30 PM)
    TAISEZ VOUS DR YOUSSOUPH NDIAYE CE QUE TU A FAIT A ABASS NDAO ENTRE 2009-2012; CES FAITS QUE TU A RECONNU A LA COUR DES COMPTES EN 2017

    TA PLACE DEVRAIT ETRE LA PRISON . OUI LA SANTE EST MALADE A CAUSE DE PERSONNES COMME TOI.

    VOLEUR-POLTRON*-GRANDE GUEULE-HORS LA LOI



    Des caisses parallèles, entraînant une déperdition de recettes

    Aussi, les répercussions sur la fonctionnalité des services médico-techniques et administratifs sont-elles tangibles. «Les tensions de trésorerie ont comme conséquences entre autres, les ruptures fréquentes de consommables dans tous les services, entraînant l’établissement de Conventions (avec l’Assad), signées en violation de la réglementation et qui bénéficient à quelques personnes au détriment des autres agents et des usagers de la structure. Cette situation de sinécure perdure avec l’instauration de caisses parallèles, entraînant une déperdition de recettes», relèvent les enquêteurs. Qui ajoutent : «Au moment où nous faisions notre vérification, le véhicule affecté au directeur du Chan était toujours détenu par le sortant. Au service radiologie, la développeuse était en panne ainsi que la radio de la grande salle. Au bloc opératoire, il est signalé un manque de respirateur d’oxygène et souvent de l’oxygène. La buanderie ne fonctionne plus. La réparation des deux machines est entamée. Les blanchisseurs, à cause de la dette élevée que leur doit le Chan ne font plus de crédit. Le directeur trouve des alternatives avec les buanderies des autres Eps de temps à autres.»

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    Auteur

    Anonymetutelle

    En Octobre, 2017 (20:40 PM)
    Dépenses de cuisine exorbitantes et injustifiées : La marmite de toutes les combines

    17 mars 2015



    La cuisine du Centre hospitalier Abass Ndao (Chan) sent également des odeurs de malversation. Selon l’Iaaf, la lecture de la facture Egtf n°267 d’un montant de 1 million 338 mille 120 francs Cfa, qui a été comptabilisée pour un total de 5 millions 146 mille 500 francs, donne des frissons.

    D’autant plus que ce montant a fait l’objet de l’ordre de paiement n°762 en date du 3 avril 2012 ; alors que d’après le procès verbal de la commission interne, seul un total de 1 million 338 mille 120 francs a été réceptionné. Ce qui alimente plus les soupçons, c’est que des pièces du dossier ont été subtilisées. «Nous avons eu recours au double du dossier détenu par l’Acp pour le prouver», font remarquer les enquêteurs dans le rapport. Pour eux d’ailleurs, il faut que cette situation soit clarifiée et le plus rapidement possible.

    Aussi, «l’immixtion du comptable» dans les fonctions de l’ordonnateur par le règlement d’une facture de 30 millions de francs Cfa au profit de la Pharmacie nationale d’approvisionnement (Pna) sans un titre de paiement émis par l’ordonnateur, a-t-elle été relevée dans le document.

    Observations de Dr Youssou Ndiaye sur le rapport : La fiabilité de l’enquête remise en cause



    Sur le rapport n°1/2015 portant mention Mission interministérielle de vérification au Centre hospitalier Abass Ndao (Chan), sont annexées les observations de Dr Youssou Ndiaye que Le Quotidien propose in extenso.

    «Il est troublant que pendant toute la durée de votre vérification, que vous n’ayez ni souhaité me rencontrer, ni consulté tous les actes de gestions (notes de services, décisions, courriers ordinaires et confidentiels etc…) pris par moi en ma qualité de directeur du Chan. Vous n’en faites en réalité aucune référence alors que dans votre rapport, il est aisé de voir que vous reprenez mot pour mot des courriers diffamatoires à mon endroit et rédigés par l’Acp.

    Vous parlez aussi de caisses parallèles que j’ai autorisées, en citant textuellement la lettre que l’Acp avait écrite dans le but de me diffamer et de cacher son incompétence dans la gestion de trésorerie. Pourtant une réponse au courrier de l’Acp existe et n’a pas connu de suite, venant contredire et prouver ses affirmations. Aussi, je vous (l’Iaaf) demande de me donner les preuves montrant que j’ai autorisé l’ouverture de caisses parallèles….

    Vous auriez dû à défaut de me rencontrer, aller aux archives de la direction pour y trouver tous les actes administratifs et les courriers de la tutelle de l’Acp, le rappelant à l’ordre et à un comportement adéquat. Ce qui vous aurait certainement évité les erreurs d’appréciation, les conclusions hâtives empreintes d’une subjectivité qui me font douter de leurs intentions réelles...

    Vous dites que le Ca n’est pas consulté sur les décisions prévues par l’article 8 et vous citez les points 1, 3, 4, 6, 8 et 13 de votre rapport. Je vous mets au défi de me démontrer cette assertion. Vous prouvez encore que vous n’avez pas pris la peine de consulter les budgets des exercices 2011, 2012, 2013…

    Tous les points que vous évoquez ont été débattus et adoptés au moment de l’examen et de l’adoption des budgets. Par ailleurs, tous nos budgets ont été approuvés par la tutelle…

    Pour ce qui est du licenciement de l’employé X et de la radiation des effectifs de Y (nous taisons volontairement leur nom), il est évident que vous n’avez pas lu leurs dossiers encore moins les actes qui ont prononcé ces sanctions. Sachez que ces actes respectent le Code du travail et toutes les procédures qui y sont rattachées.

    Pour ce qui est du Professeur El Hadji Niang, titulaire de Chaire d’imagerie médicale, sa présence se justifie dans tous les hôpitaux qui ont signé une Convention hospitalo-universitaire (Chu). Je vous rappelle que le Chan est le premier Eps au Sénégal, à avoir signé une convention avec l’université. Et donc, le Professeur de même que ses assistants bénéficient de prime comme tous les universitaires. Il n’y a donc rien d’illégal…

    Pour ce qui est de la cuisine, c’est l’Acp qui a doublement payé Emaf (le prestataire) en rapport avec le chef du service administratif et financier, son ami de la Fac dont la loyauté et le manque d’engagement sont de notoriété et qui m’a été affecté par une procédure que j’ai toujours dénoncée. Les recettes issues des activités de la cuisine et encaissées par l’Acp ont eu une destination que personne ne connaît. Vos investigations sur la cuisine devraient vous le révéler...

    Etant donné que vous avez délibérément ignoré le principe sacro-saint de l’équilibre dans la recherche des informations, vous ne pouviez pas réussir de façon objective le diagnostic de la situation du Chan. Autrement, vous comprendriez que l’indiscipline, le sabotage, les comportements clandestins, la défense d’acquis contraires aux intérêts du service public sont la règle au Chan. Ceci dans toutes les catégories socioprofessionnelles et que le management que j’avais instauré et qui a fait des résultats que vous avez volontairement ignorés, sont à l’origine de la conspiration qui s’est manifestée deux ans plus tard…»

    Le rapport transmis à la Présidence

    Après le travail effectué par la Mission interministérielle de vérification au Centre hospitalier Abass Ndao, le rapport définitif a été transmis à la présidence de la République via l’Inspection générale d’Etat (Ige). Selon des sources dignes de foi, le ministre de la Santé et de l’Action sociale elle-même, a tenu à ce que la lumière soit faite dans cette affaire. «Le Pr Awa Marie Coll Seck a transmis le rapport à qui de droit, tout en espérant que toute la lumière soit faite», nous confie un de nos interlocuteurs.

    Trois ordres de paiement de 16 millions à son «bénéfice» : L’IAAF demande à Youssou Ndiaye de rembourser



    Au cours de ses investigations dans le budget, les finances et la comptabilité de l’hôpital, l’Iaaf dit avoir découvert trois ordres de paiement à Youssou Ndiaye, d’un montant total de 16 millions de francs Cfa, soit 5,6 millions deux fois et 4,8 millions de francs.

    Comme justification, il est fait état d’un délibéré du Conseil d’administration en date du 11 juillet 2011. Les enquêteurs écrivent ceci : «Cependant, si ce délibéré admet le principe d’une rallonge proposée par un agent, il n’en précise pas le montant et ne parle pas de rétroactivité. Par ailleurs, même si cela se justifiait, le décompte recèle des erreurs. A partir de la date de prise de service dont le Pv fait état le 26 juillet 2010 jusqu’au délibéré du Ca, en date du 8 juillet 2011, les rappels portant sur les Ordres de paiement n°3529 en date du 22 mai 2014 et n°569 en date du 1er mars 2012, soit 11 millions pourraient se justifier, dans la mesure où cette rallonge dont le montant n’est nulle part mentionnée a été incorporée dans le salaire de l’intéressé à partir du mois d’août 2011 jusqu’à la fin de sa mission au Chan. Partant l’Ordre de paiement n°756 en date du 29 mars 2012, soit 5,6 millions de francs Cfa ne se justifie pas.» Par voie de conséquence, l’Iaaf demande à Youssou Ndiaye de justifier la base de perception de ces émoluments, à défaut, de rembourser les sommes perçues.

    Dans cette même vaine, les enquêteurs ont déniché des caisses parallèles instaurées dans les services sans l’autorisation de l’Acp et échappant à son contrôle ainsi que l’existence de plusieurs comptes bancaires. Raison pour laquelle, ils demandent le respect des dispositions du décret n°2011-1880 du 24 novembre portant Règlement général sur la Comptabilité publique, en ses articles 121 et 122, selon lesquels «les fonds détenus par les comptables publics sont gérés selon le principe de l’unité de caisse. Ce principe s’applique à toutes les disponibilités des comptables qu’elle qu’en soit la nature.»

    «C’est une cabale contre moi…»

    L’ancien directeur de l’hôpital Abass Ndao est dans tous ses états, après que Le Quotidien l’a appelé par téléphone, pour lui faire part de l’existence de ce rapport et des charges qui pèsent sur lui. Dr Youssou Ndiaye est affirmatif : «C’est une cabale». «Je peux même dire que c’est une conspiration, organisée depuis le ministère de la Santé, car comment comprendre qu’on envoie l’Inspection des affaires administratives et financières (Iaaf) au Chan, après juste mon départ ? Je n’ai jamais vu une telle situation dans l’histoire de ce pays !»

    Passé la colère et l’indignation, Dr Youssou Ndiaye fait valoir ses arguments : «Concernant les ordres de paiement d’un montant de 16 millions de francs, il s’agit de deux ordres de paiement (Op) qui figurent dans le document de passation de service que l’Iaaf a elle-même validé le 29 mai 2014. Alors, en prenant service le 26 juillet 2010 à la suite d’une sélection par appel à candidatures, je n’ai pas demandé immédiatement la nature des avantages qui seraient liés au poste, par décence et aussi en tant que citoyen engagé mû uniquement par la volonté de relever les défis de cet hôpital. J’ai donc trouvé que mon prédécesseur qui n’était qu’intérimaire touchait 200 mille comme prime de responsabilité, 200 mille comme prime de logement, 200 mille comme prime de chef. J’ai décidé en son temps de ne prendre que les deux premiers. Je n’ai donc pas perçu de prime de chef. Ainsi la Ca en sa séance du 11 juillet 2011, au vu des résultats positifs qui m’ont valu ses félicitations, décida souverainement de me mettre au même niveau de rémunération que mes collègues des Eps. Le Ca décida à l’unanimité et à huis clos de m’octroyer 600 mille comme prime de responsabilité et 600 mille comme prime de logement avec naturellement effet rétroactif étant entendu que cela aurait dû être fait, dès que ma sélection qui fut matérialisée par décret, avait été faite. Par conséquent, un reliquat de 800 mille francs m’est dû. C’est cela qui représente l’objet des deux Op qui figurent dans le document de passation et qui ne m’ont pas encore été payés.»

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    Auteur

    Mac10

    En Octobre, 2017 (22:15 PM)
    La dengue anciennement appelée « grippe tropicale », « fièvre rouge » ou « petit palu », est une infection virale, endémique dans les pays tropicaux. La dengue est une arbovirose , transmise à l'être humain par l'intermédiaire d'un moustique diurne du genre Aedes, lui-même infecté par un virus de la dengue de la famille des Flaviviridae.



    Cette infection virale entraîne classiquement fièvre, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires, fatigue, nausées, vomissements et éruptions cutanées. Biologiquement, on retrouve habituellement une baisse des plaquettes. La guérison survient généralement en une semaine.



    Il existe des formes hémorragiques ou avec syndrome de choc, rares et sévères, pouvant entraîner la mort.



    Il n'existe qu'un seul vaccin en cours de mise sur le marché en 2015, mais pas de traitement spécifique antiviral, d'autres vaccins sont en cours de développement.



    La prise en charge repose sur un traitement symptomatique à base de médicaments contre la fièvre et la douleur. Cependant, la dengue pouvant en de rares cas évoluer vers une forme hémorragique, la prise d'antiagrégants plaquettaires comme l'aspirine est à proscrire. La prévention collective repose sur la lutte contre les moustiques vecteurs (extermination, chasse aux eaux stagnantes…) et sur les mesures de protection préventives individuelles contre les piqûres de moustiques (moustiquaire, répulsif…).
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    Auteur

    36 Cas

    En Octobre, 2017 (01:30 AM)
    36 cas... C'est dingue ça!!!   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2017 (10:28 AM)
    Merci MAC 10. Je doute que M. le Ministre en sache autant que vous?????

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    Auteur

    Abdallah

    En Novembre, 2017 (00:35 AM)
    premier logiciel africain de biologie moléculaire

    les langages informatiques ont enfin permis la réorganisation indispensable du code génétique



    EMMANUEL CONDOMAT ZOUMABO

    Dakar, Sénégal



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    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2017 (00:57 AM)
    A l’instar des jeux vidéo, nous avons voulu mettre la puissance des langages informatiques au service de la recherche médicale en développant des applications pouvant étudier les mécanismes de mutation des protéines hypervariables des micro-organismes tel que VIH dont l’extrême variabilité empêche la mise au point d'un vaccin efficace.

    premier logiciel africain de biologie moléculaire

    les langages informatiques ont enfin permis la réorganisation indispensable du code génétique



    EMMANUEL CONDOMAT ZOUMABO

    Dakar, Sénégal

    À propos
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