Grâce au soutien de ses partenaires, les autorités sanitaires de la région de Fatick ont ouvert le second centre antirabique du pays après celui de Dakar.
Selon Fatou Ndiaye Badiane chargée du programme au ministère de la Santé, le choix de Fatick s’explique par le fait qu’une étude a montré que la région était la plus exposée du pays. Si le local a été réhabilité et équipé en doses antirabiques grâce au soutien de son partenaire, les soins, dit-elle, restent payants pour l’instant.
1 Commentaires
Boldak
En Juin, 2013 (14:16 PM)Mme Fatou Ndiaye Badiane chargée du programme et citée par seneweb "justifie le choix porté sur la région de Fatick par le fait qu'une étude aurait montré que cette région serait la plus exposée au Senega à la rage"
Quelle est cette etude Madame?
Est ce que la région de Fatick abrite la plus forte population de chiens errants donc non vaccinée contre la rage?
Sur 10 personnes mordues par des chiens inconnus donc suspects , peut etre 1 à2 iront prendre le traitement anti rabique à Dakar...en cas de rage toutes les autres mourront malgré les efforts des charlatans...Pour une prise en charge correcte de cette maladie, les autorités universitaires doivent revoir le quantum horaire affectée à cette maladie endémique au Senegal et qui est souvent transmise à l'homme suite à une morsure de chien
infecté. Le Ministére de la Santé doit avoir des passerelles de communication et de collaboration avec celui de l'Elevage...pour rappel Madagascar compte une vingtaine de centres anti rabiques et certainement Factik doit etre le troisième au Senegal aprés l'Institut Pasteur et Fann...babénène...
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