Depuis quelques semaines, la direction du Centre hospitalier régional (Chr) de Saint-Louis et la mairie de la ville se crêpent le chignon. La première reproche à la seconde de trainer une ardoise de 200 millions de francs Cfa dont le non effacement plonge la structure de santé dans un marasme financier qui plombe son efficacité.
Dans les colonnes de L’Observateur, le chargé de communication du Chr, Zayir Fall, affirme que les précédentes équipes municipales sont concernées par la dette, mais que celle-ci se serait creusée sous Mansour Faye, l’actuel édile.
Dès son arrivée à la tête de la municipalité ce dernier, souligne le journal, a signé une convention avec le Chr pour la prise en charge des cas sociaux. «Chaque fin de mois, nous envoyons les factures, mais les paiements ne suivent pas», regrette Zayir Fall. Conséquence : le service social de l’hôpital a été suspendu pour la deuxième fois, au grand dam des plus démunis, souffle L’Observateur.
Interrogé par le quotidien du Groupe futurs médias, le deuxième adjoint au maire chargé de la santé et de la protection sociale, Lamine Ndiaye, assure que la mairie ne refuse pas de payer, mais réclame le montant précis de la dette et les justificatifs. «Parfois, dit-il, ils parlent de 150 millions de francs Cfa d’autres fois de 180 millions. Ces variations manquent de justification. Nous avons hérité de cette situation et faisons tout pour la régulariser.»
Lamine Ndiaye, qui croit savoir que ce dossier est pollué par des considérations de politique politicienne, de poursuivre : «Nous avons signé un protocole en avril pour honorer les nouvelles factures. Mais pour les dettes antérieures, nous demandons des preuves claires.»
Dans les colonnes de L’Observateur, le chargé de communication du Chr, Zayir Fall, affirme que les précédentes équipes municipales sont concernées par la dette, mais que celle-ci se serait creusée sous Mansour Faye, l’actuel édile.
Dès son arrivée à la tête de la municipalité ce dernier, souligne le journal, a signé une convention avec le Chr pour la prise en charge des cas sociaux. «Chaque fin de mois, nous envoyons les factures, mais les paiements ne suivent pas», regrette Zayir Fall. Conséquence : le service social de l’hôpital a été suspendu pour la deuxième fois, au grand dam des plus démunis, souffle L’Observateur.
Interrogé par le quotidien du Groupe futurs médias, le deuxième adjoint au maire chargé de la santé et de la protection sociale, Lamine Ndiaye, assure que la mairie ne refuse pas de payer, mais réclame le montant précis de la dette et les justificatifs. «Parfois, dit-il, ils parlent de 150 millions de francs Cfa d’autres fois de 180 millions. Ces variations manquent de justification. Nous avons hérité de cette situation et faisons tout pour la régulariser.»
Lamine Ndiaye, qui croit savoir que ce dossier est pollué par des considérations de politique politicienne, de poursuivre : «Nous avons signé un protocole en avril pour honorer les nouvelles factures. Mais pour les dettes antérieures, nous demandons des preuves claires.»
3 Commentaires
Bouba
il y a 1 semaine (12:31 PM)Diagne Lasagne
il y a 1 semaine (12:58 PM)rien foutre...des ânes qui balancent 5,6 phrases pour des moutons.
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