Le journal Enquête fait, dans son édition du jour, une terrible révélation : 20 000 Sénégalais ont atteint le stade d’insuffisance rénale aigüe, 8000 d’entre eux en phase terminale sont concentrés à Dakar et moins de 1000 sont en hémodialyse à travers le pays.
Très peiné par un tableau aussi sombre, le mouvement des insuffisants rénaux du Sénégal tire la sonnette d’alarme et demande un soutien aux bonnes volontés et organisations non gouvernementales œuvrant pour le bien-être des populations.
Pire, les nouveaux malades sont accueillis sur des listes d’attente ou la mort les cueille au bout de 15 jours. Le mouvement de faire remarquer que la séance de dialyse est taxée dans le privé à 65 000 Fcfa, soit 780 000 par mois et 9 360 000 Fcfa l’an.
Les malades, pour la plupart des démunis ne bénéficiant pas des Bourses de sécurité familiale, sont renvoyés de leur emploi et n’ont aucune possibilité de contracter un prêt ou une assurance. Les hémodialyses accumulent, eux, les ordonnances et les bilans médicaux.
7 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2019 (12:15 PM)Nos gouvernants doivent revoir courageusement les investissements dans des secteurs peu prioritaires, car un peuple malade ne peut développer un pays.
Les prises en charge doivent être orienter vers les AVC, le DIABETE, LE CANCER et les maladies tropicales.
Il faut aussi que toutes ces industries tueuses qui fabriquent les cubes soient d'abord régulées dans la composition de leurs produits ( sel, sucre etc..) et ensuite qu'elles soient fortement taxées pour soutenir le système de santé du Sénégal.
L'ETAT DOIT AGIR FERMEMENT.
Le Mutant
En Avril, 2019 (13:43 PM)Anonyme
En Avril, 2019 (14:16 PM)Participer à la Discussion