« Nos infirmiers, notre futur, le pouvoir économique des soins ». Tel est le thème de la journée internationale de l’infirmier. A cette occasion, l’amicale des infirmiers s’est penché sur le sujet à Kaolack. Par ailleurs, plusieurs préoccupations ont été mises sur la table. Mieux, ces acteurs ont invité l’Etat à investir dans les soins de qualité.
Mouhamadou Nourou Sow, président de l’association des infirmiers de Kaolack, a rappelé le rôle fondamental que jouent les infirmiers dans la société. « Les gens ne prennent pas conscience que l’investissement au niveau des soins infirmiers est rentable car on ne peut pas parler de développement sans une population saine et en bonne santé et des services de santé de qualité. On ne peut pas se focaliser sur retour sur investissement », a argumenté le Président de l’association des infirmiers du Sénégal.
Il a profité de cette occasion pour rappeler leurs difficultés. C’est ainsi qu’il a évoqué la réglementation de la profession. « Quand vous entrez dans les hôpitaux, vous ne pouvez pas reconnaître qui est infirmier et qui ne l’est pas. Donc, il faut que les décideurs de ce pays nous aident à mettre en place l’Ordre national des infirmiers pour une meilleure réglementation de notre profession », dit-il. Par ailleurs, il ressort aussi des échanges le recrutement d’un personnel qualifié, la régularisation des contractuels dont certains ont fait plus de 10 ans de service. Ces derniers attendent leur recrutement dans la fonction publique.
Monsieur Sow a prôné la poursuite de l’organisation des examens de certification afin de rendre les infirmiers beaucoup plus professionnels. Selon lui, si les infirmiers sont bien formés dans les structures de santé, l’accueil aussi sera amélioré.
Mouhamadou Nourou Sow, président de l’association des infirmiers de Kaolack, a rappelé le rôle fondamental que jouent les infirmiers dans la société. « Les gens ne prennent pas conscience que l’investissement au niveau des soins infirmiers est rentable car on ne peut pas parler de développement sans une population saine et en bonne santé et des services de santé de qualité. On ne peut pas se focaliser sur retour sur investissement », a argumenté le Président de l’association des infirmiers du Sénégal.
Il a profité de cette occasion pour rappeler leurs difficultés. C’est ainsi qu’il a évoqué la réglementation de la profession. « Quand vous entrez dans les hôpitaux, vous ne pouvez pas reconnaître qui est infirmier et qui ne l’est pas. Donc, il faut que les décideurs de ce pays nous aident à mettre en place l’Ordre national des infirmiers pour une meilleure réglementation de notre profession », dit-il. Par ailleurs, il ressort aussi des échanges le recrutement d’un personnel qualifié, la régularisation des contractuels dont certains ont fait plus de 10 ans de service. Ces derniers attendent leur recrutement dans la fonction publique.
Monsieur Sow a prôné la poursuite de l’organisation des examens de certification afin de rendre les infirmiers beaucoup plus professionnels. Selon lui, si les infirmiers sont bien formés dans les structures de santé, l’accueil aussi sera amélioré.
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