
Aussitôt informée, le médecin-chef de région s’en est ouvert au chef du comité régional de gestion des épidémies, à l’équipe d’investigation, à la brigade d’hygiène. Sur les lieux, ils se sont rapprochés de l’individu et du responsable de l’hôtel pour cerner la situation. C’est ainsi que la cellule d’alerte nationale a été informée, la personne mise en quarantaine dans sa chambre d’hôtel et des prélèvements opérés ont été conditionnés et envoyés à l’institut Pasteur.
Selon Yaya Ba, le médecin-chef de région (Mcr), le concerné ne présente pas tous les signes cliniques. Mais dit-il : « Nous préférons dans de pareilles circonstances pécher par excès que par défaut ».
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