«Si nous continuons de les appeler 'villages de recasement', nous risquons de verser dans la stigmatisation. Il y a beaucoup d’évolution et il faut prendre en compte ces aspects. C’est d’ailleurs pour cette raison que le projet de loi abrogeant la loi n°76–03 du 25 mars 1976, relative au traitement de la lèpre et au reclassement social des lépreux guéris ou mutilés, abrogeant la loi, a été adoptée en Conseil des ministres. Il s’agit d’organiser la réinsertion», selon le ministre de la Santé et de l’Action sociale.
Le Sénégal a connu des performances, du point de vue sanitaire, si on se réfère aux normes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). «Ces villages viennent d’être intégrés dans les collectivités territoriales. Il était temps d’abroger cette loi pour impliquer ces villages dans ce qu’on appelle le commun vouloir de vivre ensemble», explique Abdoulaye Diouf Sarr.
5 Commentaires
Comment publier des images aussi explicites et choquantes, sans même les flouter. La dernière fois aussi c'était des plaies ensanglantées qui agressaient encore les citoyens.
Mais hana il n'y a pas de corps régulation au Sénégal ? Pourtant l'immeuble ericsson qui vous occupez est connu de tous les services régaliens.
Mais bon, incapable d'assainir l'espace urbain, ce n'est pas demain la veille pour l'espace numérique. Quel bled !
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En Avril, 2022 (18:28 PM)Reply_author
En Avril, 2022 (23:22 PM)Zeum
En Avril, 2022 (21:11 PM)Participer à la Discussion