Chaque année, environ 500.000 femmes développent un cancer du col de l’utérus dans le monde. Malheureusement, 85 % des cas surviennent dans les pays en développement. C’est pourquoi l’Oms avait recommandé, en 2009, qu'une vaccination systématique contre le Virus du papillome humain (Vph), responsable du cancer du col de l’utérus, soit incluse dans les programmes nationaux de vaccination. Dans ce cadre, un appel d’offres pour la fourniture de vaccins contre ce virus a été lancé par l’Unicef. Le laboratoire Msd, plus connu sous le nom de Merck aux Etats-Unis et au Canada, a remporté la plus importante partie de l’appel d’offres, renseigne un communiqué parvenu à notre rédaction.
Msd est maintenant chargée d’assurer, dans les pays éligibles au soutien de l’Alliance Gavi, un approvisionnement durable du vaccin contre le Virus du papillome humain dénommé Gardasil. Ainsi, entre 2013 et 2017, 2,4 millions de doses de Gardasil seront distribuées dans les 27 pays soutenus par ladite alliance. « Il est essentiel que toutes les jeunes filles du monde entier aient accès aux vaccins contre le Vph. Cette décision prise par l'Unicef marque une avancée importante », a déclaré Henrik Secher, directeur général de Msd Afrique. D’ailleurs, « au fur et à mesure que la demande de vaccins augmentera, il est prévu que l’Unicef décerne des attributions supplémentaires », indique le communiqué.
« Ce partenariat illustre l'engagement de cette société à travailler étroitement avec Gavi, pour assurer un accès étendu et durable au Gardasil dans les pays les plus pauvres du monde où le fardeau des maladies associées au Virus du papillome humain, telles que le cancer du col de l'utérus, est le plus lourd ».
Le communiqué informe aussi que le Gardasil, qui combine les types 6, 11, 16 et 18 du Vph, est indiqué chez les femmes âgées de 9 à 26 ans, en vue de prévenir les cancers du col de l'utérus, de la vulve et du vagin. Il est également préconisé contre « les lésions précancéreuses ou dysplasiques, les verrues génitales et les infections persistantes causées par le virus du papillome humain ». En effet, « des études d'immunogénicité ont été réalisées pour démontrer l’efficacité du vaccin chez les populations plus jeunes à partir de son efficacité chez les femmes âgées de 16 à 26 ans », renseigne le communiqué. Il fait également savoir que « chez les hommes, le Gardasil est utilisé entre 9 et 15 ans pour prévenir les infections causées par le Virus du papillome humain (Vph) de types 6, 11, 16 et 18 »
Le communiqué informe aussi que le Gardasil, qui combine les types 6, 11, 16 et 18 du Vph, est indiqué chez les femmes âgées de 9 à 26 ans, en vue de prévenir les cancers du col de l'utérus, de la vulve et du vagin. Il est également préconisé contre « les lésions précancéreuses ou dysplasiques, les verrues génitales et les infections persistantes causées par le virus du papillome humain ». En effet, « des études d'immunogénicité ont été réalisées pour démontrer l’efficacité du vaccin chez les populations plus jeunes à partir de son efficacité chez les femmes âgées de 16 à 26 ans », renseigne le communiqué. Il fait également savoir que « chez les hommes, le Gardasil est utilisé entre 9 et 15 ans pour prévenir les infections causées par le Virus du papillome humain (Vph) de types 6, 11, 16 et 18 »
Mais, « comme tout vaccin, le Gardasil peut ne pas assurer la protection de toutes les personnes vaccinées », précise-t-on, tout en signalant que « ce vaccin n'est pas conçu pour le traitement des lésions génitales externes actives ; des cancers du col de l'utérus, de la vulve ou du vagin (…) ».
Le communiqué mentionne aussi que la vaccination avec le Gardasil « ne protège pas contre les maladies qui ne sont pas causées par le Vph. Le vaccin ne dispense pas du dépistage et de l'identification systématiques du cancer du col de l'utérus et de l'ablation des lésions cervicales. Comme pour tout autre vaccin injectable, un traitement médical adéquat devrait toujours se trouver à disposition pour faire face aux rares cas de réaction anaphylactique pouvant survenir après l'administration du vaccin ».
2 Commentaires
N'importe Quoi !
En Mai, 2013 (06:08 AM)Degeu
En Mai, 2013 (10:43 AM)contrôle démographique par la stérilisation des femmes (9 ans 26 ans) la jeunesse quoi.
il nous faut revenir à notre médecine traditionnel modernisé (production) ou avoir un grand centre médical africaine qui va analysé tous les vaccins déversé en Afrique.
faut pas faire confiance au entreprise surtout américain qui dise qu'ils vont aider les africains. ils veulent juste nous refiler une nouvelle maladie très contagieuse.
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