
«Aucune notification n’a été faite, depuis le 2 décembre 2020, dans les régions, et tous les cas sont guéris. Il faut aussi noter qu’aucun cas secondaire n’a été observé chez les familles de pêcheurs», a-t-il déclaré lors de la deuxième Conférence du gouvernement devant les journalistes.
A l’en croire, le 30 novembre 2020, des prélèvements ont été envoyés en France, à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) de Nantes. Lesquels sont arrivés à destination le 2 décembre 2020 et, dès le lendemain, les premiers examens ont été effectués.
«Les premiers résultats ont montré la présence d’une espèce d’algues non connue pour produire des toxines. Ainsi, il ne reste au laboratoire qu’à tenter une analyse non-ciblée. Cette dernière n'a pas de garantie de succès et peut prendre beaucoup de temps», a-t-il prévenu d’ailleurs.
Selon Abdoulaye Diouf Sarr, «à ce stade de la recherche, aucune piste ne peut être écartée, même si la cause la plus plausible causant cette dermite irritative de contact reste les toxiques, y compris les toxines sécrétées par certaines algues».
0 Commentaires
Participer à la Discussion