Le cancer fait des ravages au Sénégal. Selon la docteure Fatma Guenoune, présidente de la Ligue sénégalaise contre le cancer (LISCA), «l’augmentation du dépistage a mis en lumière le nombre croissant d’environ 12 000 nouveaux cas de cancer diagnostiqués chaque année au Sénégal, entraînant plus de 8 500 décès», a affirmé la spécialiste hier jeudi 24 octobre, en marge d’une table ronde organisée par les travailleurs du ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines.
La présidente de la LISCA ajoute qu’au Sénégal, les cancers gynécologiques (cancer du sein et du col de l’utérus) sont les plus fréquents « avec 2 069 cas de cancer du col de l’utérus et 1 838 cas de cancer du sein, avec un nombre de décès équivalent», a-t-elle ajouté, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
Par ailleurs, Fatma Guenoune a révélé que durant la campagne «Octobre Rose 2024», 186 cas de tumeurs du sein et 76 suspicions de cancer du col de l’utérus ont été répertoriés par la LISCA.
4 Commentaires
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il y a 3 semaines (15:37 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (18:12 PM)Xeme
il y a 3 semaines (15:48 PM)Reply_author
il y a 3 semaines (18:10 PM)Xeme
il y a 3 semaines (15:49 PM)Docteur Mouhamadou Bamba Ndiay
il y a 3 semaines (16:02 PM)Ainsi, en plus de la sensibilisation pour un dépistage précoce, il faudrait aussi promouvoir la spiritualité qui améliore notre hygiène de vie et nous permet de reprendre le contrôle de nos émotions ; oui, la spiritualité nous libère du stress et de l’anxiété et change nos schémas de fonctionnement biologique (entre autres, le renforcement de notre système immunitaire). Et dans cette perspective, il est important de rappeler les propos très encourageants de l’éminent cancérologue français, le professeur David Khayat, qui a déclaré que nous ne devons plus avoir peur du cancer, car "nous sommes notre meilleur anti-cancer’’ (*) ; oui, en gérant efficacement nos émotions négatives, nous prévenons efficacement le cancer ; et une fois installé, son évolution et son pronostic en seront positivement influencés (*). Et très certainement, on pourrait en dire autant pour toutes les maladies psychosomatiques.
Mais malheureusement, dans la formation des médecins, on ne tient pas compte de toutes les dimensions de l'homme - un être plus complexe qu’on l’imagine ! Il est donc temps que les médecins donnent au psychisme la véritable place qui lui revient, afin de percevoir la médecine "autrement" - une médecine holistique (globalisante), prenant donc en compte toutes les dimensions de l'homme. Oui, au-delà de la biologie, tout médecin doit toujours garder à l'esprit qu'il gère un humain qui est à la fois corps et âme ; et c’est redire toute l’importance de la spiritualité qui est indéniablement au cœur de l'humain et qui conditionne donc toute notre existence.
Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar)
(*) https://youtu.be/FBBnX1aLNFM
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il y a 3 semaines (18:17 PM)Participer à la Discussion