Logé à l’intérieur de l’hôpital Fann, le Centre de prise en charge intégrée des addictions (Cepiad) prend actuellement en charge 4000 patients. Un chiffre dévoilé par son coordonnateur, Dr Idrissa Ba. Repris par Le Soleil, le spécialiste s’exprimait lors de la cérémonie de clôture des journées portes ouvertes organisées du 26 au 28 décembre derniers.
Dr Ba révèle que depuis sa création en 2015, la structure reçoit annuellement 500 nouvelles demandes. Mais il estime que ce niveau d’intégration peut être amélioré à travers des activités de plaidoyer et de sensibilisation surtout au vu du nombre important de personnes souffrant d’addictions. « En matière d’addiction, nul n’est épargné. C’est une pathologie chronique. Toutes les tranches d’âge sont concernées. Il ne s’agit pas d’une question de sexe, de genre ou encore d’âge », a-t-il justifié. Il a toutefois exprimé « son inquiétude » sur la situation des femmes touchées par ce phénomène.
Lors des journées portes ouvertes, les acteurs ont plaidé pour une bonne prise en charge des consommateurs de drogue souvent victimes de stigmatisation et de discrimination dans la société. Le coordinateur du Cepiad a fait part d’un partenariat en ce sens de sa structure avec l’Onusida et le Conseil national de lutte contre le Sida. Dénommé « Programme mégatone » et lancé contre l’utilisation de drogue injectable, celui-ci vise une meilleure prise en charge des personnes dépendantes des opiacés, notamment l’héroïne. Trois cents (300) personnes sont déjà incluses.
Les journées ont été organisées sous le thème : « L’image négative du drogué au Sénégal, de la construction aux effets sociaux ». La représentante du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, Mariama Sané, a indiqué que « ces rencontres demeurent un fort moment de réflexion sur les acquis et les progrès accomplis en vue de relever les défis qui s’érigent en nous et d’accompagner les usagers de drogue à faire face à ce fléau dont l’ampleur devient inquiétant ».
Dr Ba révèle que depuis sa création en 2015, la structure reçoit annuellement 500 nouvelles demandes. Mais il estime que ce niveau d’intégration peut être amélioré à travers des activités de plaidoyer et de sensibilisation surtout au vu du nombre important de personnes souffrant d’addictions. « En matière d’addiction, nul n’est épargné. C’est une pathologie chronique. Toutes les tranches d’âge sont concernées. Il ne s’agit pas d’une question de sexe, de genre ou encore d’âge », a-t-il justifié. Il a toutefois exprimé « son inquiétude » sur la situation des femmes touchées par ce phénomène.
Lors des journées portes ouvertes, les acteurs ont plaidé pour une bonne prise en charge des consommateurs de drogue souvent victimes de stigmatisation et de discrimination dans la société. Le coordinateur du Cepiad a fait part d’un partenariat en ce sens de sa structure avec l’Onusida et le Conseil national de lutte contre le Sida. Dénommé « Programme mégatone » et lancé contre l’utilisation de drogue injectable, celui-ci vise une meilleure prise en charge des personnes dépendantes des opiacés, notamment l’héroïne. Trois cents (300) personnes sont déjà incluses.
Les journées ont été organisées sous le thème : « L’image négative du drogué au Sénégal, de la construction aux effets sociaux ». La représentante du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, Mariama Sané, a indiqué que « ces rencontres demeurent un fort moment de réflexion sur les acquis et les progrès accomplis en vue de relever les défis qui s’érigent en nous et d’accompagner les usagers de drogue à faire face à ce fléau dont l’ampleur devient inquiétant ».
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