La quatrième greffe rénale au Sénégal a été réalisée samedi dernier à l’Hôpital militaire de Ouakam (HMO). Contrairement aux trois précédentes, réalisées avec le concours de spécialistes turcs, celle-ci a été conduite de bout en bout par une équipe composée exclusivement de Sénégalais.
Vingt-quatre heures après les opérations, le président de la commission technique du Comité de transplantation HMO-Le Dantec, Pr Alain Khassim Ndoye, donne des nouvelles des patients concernés. «Les interventions se sont bien déroulées, autant l’opération du donneur que celle du receveur. Les résultats des examens postopératoires effectués aujourd’hui (hier, dimanche 28 juillet) vers 9-10 heures sont bons», rassure le chef du service Urologie de l’hôpital Le Dantec dans un entretien paru ce lundi dans L’Observateur.
Pr Ndoye s’est empressé de tempérer les enthousiasmes suscités par la réalisation de l’opération. «La transplantation, c’est une intervention qu’il faut surveiller sur plusieurs jours avant de pouvoir affirmer que le résultat est définitif», rappelle-t-il.
Le professeur à l’Ucad révèle que le donneur et le receveur sont mari et femme et que c’est l’épouse qui a donné un rein à son conjoint. «Le couple est hospitalisation dans le service d’urologie et de transplantation de l’HMO. Tout va bien, assure le spécialise. Le greffé est placé à l’isolement parce qu’il reçoit forcément des immunodépresseurs. Ce sont des médicaments qui vont déprimer le système immunitaire pour limiter le phénomène de rejet. On l’a isolé dans un endroit stérile et propre pour restreindre le risque de contamination.»
Vingt-quatre heures après les opérations, le président de la commission technique du Comité de transplantation HMO-Le Dantec, Pr Alain Khassim Ndoye, donne des nouvelles des patients concernés. «Les interventions se sont bien déroulées, autant l’opération du donneur que celle du receveur. Les résultats des examens postopératoires effectués aujourd’hui (hier, dimanche 28 juillet) vers 9-10 heures sont bons», rassure le chef du service Urologie de l’hôpital Le Dantec dans un entretien paru ce lundi dans L’Observateur.
Pr Ndoye s’est empressé de tempérer les enthousiasmes suscités par la réalisation de l’opération. «La transplantation, c’est une intervention qu’il faut surveiller sur plusieurs jours avant de pouvoir affirmer que le résultat est définitif», rappelle-t-il.
Le professeur à l’Ucad révèle que le donneur et le receveur sont mari et femme et que c’est l’épouse qui a donné un rein à son conjoint. «Le couple est hospitalisation dans le service d’urologie et de transplantation de l’HMO. Tout va bien, assure le spécialise. Le greffé est placé à l’isolement parce qu’il reçoit forcément des immunodépresseurs. Ce sont des médicaments qui vont déprimer le système immunitaire pour limiter le phénomène de rejet. On l’a isolé dans un endroit stérile et propre pour restreindre le risque de contamination.»
6 Commentaires
Mass Diop
En Juillet, 2024 (14:56 PM)À l époux , est ce que dinga tak niarél ? Bons rétablissements
Hé!
En Juillet, 2024 (15:46 PM)Bravo à l'équipe médicale exclusivement composée de Sénégalais, même s'il faudra encore attendre quelques jours pour mesurer la fiabilité du résultat.
Que le couple se porte à merveille !
À l époux , est ce que dinga tak niarél ? Bons rétablissements
Supra
En Juillet, 2024 (15:20 PM)Ngouri
En Juillet, 2024 (15:53 PM)Nos hôpitaux sous perfusion avec des directeurs qui appauvrissent les hôpitaux pour s'enrichir. Un exemple la villa cossue d'un ancien directeur d'hôpital qui a un pied dans l'eau aux Almadies et a passé 10 ans comme directeur de l'hôpital de Fann. Qui dit mieux.
Enfin il est urgent que l'état revoit le cout des actes post opératoires et surtout les médicaments pour que cette initiative puisse bénéficier aux plus faibles.
Comme les denrées il faut aller s'approvisionner à la source l'option de l'Inde pourrait réduire les couts de plus de la moitié. En aval il faut un laboratoire de contrôle de qualité.
Asml
En Juillet, 2024 (16:11 PM)Participer à la Discussion