Elle présente, certes, des états de services irréprochables partout où elle a roulé sa bosse. Mais préfère évoluer dans l’ombre. Loin des médias, des camaréras et autres flashs de photographes. Elle a marqué de ses empreintes plusieurs Organisations non gouvernementales, où son savoir-faire, en termes de manager se passe de commentaires. Elle, c’est Ramata Danfakha, Rama pour les intimes.
Titulaire d’un Master en Management des Etablissements publics de santé, Ramata Danfakha Bâ est la nouvelle Directrice de l’Etablissement public de Santé hospitalier Roi Baudouin de Guédiawaye. Où, en remplacement du Docteur Ousmane Guèye, elle en train d’opérer plusieurs changements. Et ce, sur bien des plans.
En atteste l’amélioration de la qualité de l’accueil, l’aménagement du circuit que doit emprunter le patient qui débarque sur les lieux, afin qu’il puisse très rapidement pris en charge, l’aménagement d’un espace vert… Et ce n’est pas tout. Parce que la Directrice de l'hopital Roi Baudouin a, en plus de vouloir redonner vie à son cadre de vie avec à la clé l’aménagement de cet espace vert, initié des travaux de réfection de la Clinique, pour agrémenter le séjour des patients. Cerise dans le gâteau : le tout dans le respect des procédures administratives.
Ses premières gammes dans le Secteur de la Santé, Madame Ba les a faites au Centre hospitalier de Fann de Dakar. Où la simple évocation de son nom, on te fait un portait craché de cette ex-auditrice interne en charge du partenariat. Plus tard, elle a été promue au poste de Chef de services administratifs et financiers de l’hôpital Albert Royer. Là encore, Ramata laisse des marques indélébiles contre l’oubli. En confirmant tout le bien qu’on disait d’elle.
Estampillée très courtoise, maman poule pour tous ceux qui ont flirté avec elle, dans les différentes structures où elle bossé, la nouvelle maîtresse du “Roi Baudin” est, néanmoins, bordurée d’une rigueur incommensurable. Elle va jusqu’au bout de ses convictions, se bat pour réaliser ses objectifs. Et reste très arrimée à ses capacités managériales, organisationnelles, qui lui ont toujours réussi.
Le tout teinté d’une volonté inébranlable à servir au mieux son pays, sa patrie. D’où, sûrement, la décision de la Ministre de la Santé et de la Prévention, Eva Marie Colle Seck de porter son choix sur Ramata Danfakha Bâ, pour présider aux destinées de l’hôpital Roi Baudoin de Guédiawaye.
Mais ce n’est pas seulement la Ministre qu’elle a séduite. Loin s’en faut ! Le Label dénommé “Géantes invisibles” s’est déjà extasié de bonheur, face aux qualités de Madame Bâ qui constituent un long fleuve tranquille. A cet effet, ledit Label, qui a la certitude, clé en main, que l’Administratrice de Roi Baudoin doit servir d’exemple non seulement pour ses collègues mais aussi pour la jeunesse sénégalaise et africaine, l’a récemment primée.
Pour ce faire, le Label “Géantes invisibles” l’a élevée au rang de première femme au Sénégal à être propulsée au cercle très sélect des femmes battantes qui ne sont pas encore connues du grand public.
Sante
6 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2015 (19:40 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (20:01 PM)Le meilleur conseil que l'on puisse te donner est de travailler à la promotion de la santé, la reduction des inegalités, l'élargissement de l'offre de santé en évitant toute propagande personnelle partant opportuniste. tout est travail d'équipe à l'hopital Roi Baudoin.
Moyetoul press bi.
De fe tell té amoul ndiarigne
Un agent qui t'aime bien
Anonyme
En Octobre, 2015 (20:07 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (20:20 PM)Au Sénégal bou nieup xamè fi nga dieum doo meusseu yegg.
Efficacité et discrétion.
Anonyme
En Octobre, 2015 (20:31 PM)Samba Lo
En Mai, 2016 (13:20 PM)L'accueil, l'organisation et le process sont une vraie merde.
Les patients passent leur temps à circuler dans des procédures incroyables. Dire que ceci existe sous le magistère de macky sall. Les mots d'ordre de Marie colle seck ne sont que de la fumée . C'est une honte pour un hôpital dont le financement et l'origine nétait pas de parquer des patients durant des heures. La directrice de cet établissement a du payer pour cet article qui ne reflète pas la réalité.
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