''Pour l’insuffisance pondérale par rapport à l’âge des enfants, a-t-elle indiqué, tous les districts de la région ont une prévalence inférieure à 5%’’.
Selon Ndèye Rokhaya Seck, pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ''quand on a une prévalence inférieure 10%, la situation est jugée satisfaisante''.
''Concernant la malnutrition aigüe, a-t-elle poursuivi, toutes les collectivités et tous les districts sanitaires sont à des prévalences situées entre 4% et 5%.
Donc, c’est une situation très satisfaisante que nous avons dans la région de Fatick''.
Néanmoins, elle a invité les élus locaux de la région, en dépit des acquis, à ‘’s’approprier’’ davantage les interventions de nutrition et les projets de lutte contre la malnutrition.
''Nous les encourageons à une institutionnalisation de la nutrition, à son inscription dans les documents de planification, mais aussi dans la mise en place d’une ligne budgétaire dédiée aux activités de nutrition’’, a-t-elle ajouté.
Clôturé mardi, l’atelier de revue des projets et programmes de la CLM dans la région de Fatick a été ouvert lundi. Les autorités locales, les agences d’exé
0 Commentaires
Participer à la Discussion