Une équipe de l'institut Pasteur à Paris a réussi à filmer, via un microscope, comment un moustique pique les vaisseaux sanguins d'un humain.
Les avancées scientifiques permettent parfois de résoudre des énigmes que l'on pensait impossible à résoudre. Ainsi, pendant des années, les chercheurs se sont posés la question de savoir à quoi ressemblerait la piqûre d'un moustique sous la peau. Désormais, ils ont la réponse ! Ceci a été rendu possible grâce à une équipe de l'Institut Pasteur à Paris.
Dirigés par Valérie Choumet, ces scientifiques ont en effet réussi à filmer, par le biais d'un microscope, la manière dont les moustiques recherchent le sang sous la peau humaine (dans le cadre de l'étude sur celle d'une souris anesthésiée). Cette expérience a été publiée en ligne sur le site de la revue scientifique PloS One et relayée par Le Figaro. Dans cette vidéo, la trompe de l'insecte est clairement identifiable.
Elle est marron et fait des va-et-vient sous l'épiderme. Le moustique est à la recherche d'un vaisseau sanguin : lorsqu'il l'a trouvé, sa trompe s'immobilise. On constate donc que celle-ci ne ressemble en rien au dard d'une guêpe par exemple. Elle est beaucoup plus souple : elle peut en effet se plier jusqu'à 90 degrés sans rompre.
Cependant, contrairement aux idées reçues, la trompe n'est pas composée d'un seul morceau mais de six. Selon Futura-Sciences, "quatre d’entre elles servent à perforer la peau et à se frayer un chemin. Deux autres sont des tubes parallèles aux fonctions différentes". Ce sont ces deux canaux que l'on aperçoit dans la vidéo. L'un fait descendre la salive sous la peau, afin qu'il n'y ait pas de coagulation. L'autre aspire le sang. Ce qui nous laisse un gros bouton sur la peau.
5 Commentaires
Comptemporain
En Août, 2013 (18:01 PM)Ce n’est pas pour rien que le vocabulaire s’enrichit de plus en plus pour désigner ceux qui jadis portaient le titre et continuent à incarner dignement les valeurs cardinales de ces guides, ces éducateurs, ces soutiens et médiateurs sociaux.
Aujourd’hui pour désigner Serigne au sens mélioratif du mot, les Sénégalais préfèrent utiliser « Oustaz », ou « kilifa diné » ou « sang bi » ou alors « kou ted ki », tellement le sens du mot a été galvaudé par la contre-exemplarité de certains parmi ceux qui le portent.
On se rappelle encore des frasques en plein Ramadan de Serigne Bara Dolima Mbacké. Vous devinez bien pourquoi je lui laisse le titre de Serigne… On sait bien dans quel sens.
Quand Serigne Bethio, lui dit qu’il ne connait pas la Charia et ne s’y intéresse même pas. Toujours dans ses boubous de Serigne, il enseigne sa formule magique de 7 barké seugn saliou pour sceller des mariages, relève le plafond du nombre d’épouse autorisé au même chiffre magique de 7, le titre de "Serigne" qu’il porte est avili a jamais ! Oups, exception ! Couplé à "bethio", le mot "serigne" garde toute sa splendeur. Autrement, l’appellation du guide risque d’être érotiquement solitaire.
Kara ! Ô Karara ! Le carnavalesque Kara aux costumes exotiques et aux prédictions prophétiques malencontreusement jamais observées a fini par incruster dans nos cerveaux un autre sens du mot "Serigne". Oui, je vous le concède, en 2000 il avait bien vu qui sera le président élu. Il avait juste mal interprété ce que le Cheikh lui avait soufflé à l’oreille dans un rêve « Abdou sera élu président » lui comprit alors Abdou Diouf… mais c’était plutôt AbdouLAYE Wade… Mince, il était à 2 doigts.
Beaucoup parmi les porteurs du titre de "Serigne" s’illustrent donc de manière perfide dans la société de nos jours. Le mot renvoie de plus en plus à "arnaqueur", "marchand d’illusion", "parasite", "hors la loi", etc.
Fort heureusement, et en fin de compte, parmi tous les porteurs du titre, on sait au moins à quel Serigne se « dé vouer »!
Dagn Kumpa
En Août, 2013 (18:12 PM)Ana
En Août, 2013 (18:29 PM)Dj Yotox
En Août, 2013 (19:55 PM)Slodia
En Août, 2013 (09:20 AM)Participer à la Discussion