![Single Post](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb/9d092a91243bc464bd78eb5d485350bb742686c2.jpg)
L'enquête sur l'accident survenu ce jeudi au croisement de Ndouloumadji, un village situé dans la commune de Nabadji Civol, dans le département de Matam, faisant 6 morts et 14 blessés après une collision entre un minicar et un camion, livre ses premières conclusions. D’après des révélations faites par Source A, trois facteurs ont précipité l’accident :
« En situation de surnombre, le véhicule de transport public de voyageurs de 18 places, provenant de Ndouloumadji, immatriculé MT-0421 de 30 ans d’âge, est entré en collision, en abordant la RN2 sans marquer de stop, avec un camion immatriculé MT-2308 de 35 ans d’âge, roulant dans le sens Thilogne-Ourossogui », pointent les services du ministère des Transports terrestres.
Une situation dont se désole le ministre El Malick Ndiaye : « Cet accident dû au non respect du code de la route et des règles de conduite vient allonger la longue et effroyable liste des accidents mortels au Sénégal, imputable aux facteurs humains. »
Parmi les premières mesures prises, la tutelle, reprise par le journal, a donné des instructions aux équipes constituées de brigades mixtes « d’intensifier les opérations de contrôle sur les grands axes routiers ». Selon le quotidien d’information, le ministre, qui a aussi instruit ses services « d’intensifier les campagnes de prévention et de sensibilisation à la sécurité routière, n’a pas manqué de réprimander les conducteurs, leur rappelant « l’obligation de respecter strictement » les dispositions du code de la route, et exhorter les passagers à « refuser systématiquement » de voyager dans des véhicules en situation de surnombre.
« En situation de surnombre, le véhicule de transport public de voyageurs de 18 places, provenant de Ndouloumadji, immatriculé MT-0421 de 30 ans d’âge, est entré en collision, en abordant la RN2 sans marquer de stop, avec un camion immatriculé MT-2308 de 35 ans d’âge, roulant dans le sens Thilogne-Ourossogui », pointent les services du ministère des Transports terrestres.
Une situation dont se désole le ministre El Malick Ndiaye : « Cet accident dû au non respect du code de la route et des règles de conduite vient allonger la longue et effroyable liste des accidents mortels au Sénégal, imputable aux facteurs humains. »
Parmi les premières mesures prises, la tutelle, reprise par le journal, a donné des instructions aux équipes constituées de brigades mixtes « d’intensifier les opérations de contrôle sur les grands axes routiers ». Selon le quotidien d’information, le ministre, qui a aussi instruit ses services « d’intensifier les campagnes de prévention et de sensibilisation à la sécurité routière, n’a pas manqué de réprimander les conducteurs, leur rappelant « l’obligation de respecter strictement » les dispositions du code de la route, et exhorter les passagers à « refuser systématiquement » de voyager dans des véhicules en situation de surnombre.
3 Commentaires
Pastef Mbour 3
En Juillet, 2024 (10:00 AM)Vos services, notamment un fonds logé au Cetud doit etre normalement l'executantt de l'état dans leur processus de changement a travers une politique conjoncturelle face à l'urgence de ce phénomène qu'on peut qualifier de terrible .
Ce même fonds, depuis sa création n'a pas fait manifestement de résultats dans le secteur des 7 places : entre autres politiques testées dans ce sens , il ya leur remplacement par des voitures de marque Toyota model Hiace a 22.000.000 . D'abord ce model n'est pas adapté au secteur 7 places pour 2 raisons techniques 3 économiques et 1 sociale.
Technique : la différence de 5 places en faveur des toyota Hiace qui font 12 place. cela baisse la fréquence des rotations. Ce pendant, les préjudices dans ce cas concernent plus les passagers que le chauffeur, surtt dans les gares de l'intérieur qui notent parfois un seul départ 7 places vers une destination. Kolda velingara sedhiou kaffrine ourossogui Matam et même sur l'axe de ce drame en question.......
Ça va être trop long. Nous demandons une invitation qu'il vous plaira de bien vouloir nous accorder pour participer au assises du transport. Afin de partager notre vision qui renferme une politique a court terme pour remplacer tous les 7 places au Sénégal avec moins de 8 milliards cfa en agissant sur des dispositions techniques qui sont déjà en place et sur des modifications de dispositifs réglementaires.
Pastef mbour 3
Zahra
Que la terre soit légère aux victimes.
Bonne guérison aux blessés . Alhamndoulila ça pouvait être plus grave les minicars aussi sont des véhicules avec une totale corruption des normes techniques. Qu'ils arrivent à destination est l'exeption. Yalla moniouy souroural rek
Participer à la Discussion