Une réunion est convoquée ce mardi à l’Aéroport internationale Blaise Diagne (AIBD) de Diass. Selon Source A, qui donne l’information, la rencontre concerne la Direction et les partenaires sociaux, et porte sur « les travaux de la commission paritaire et la restitution d’une étude sur le passage d’un statut commercial à celui aéronautique ».
La même source croit savoir que les travailleurs ne manqueront pas l’occasion pour interpeller la direction sur les problèmes que traverse la boîte : « En plus des retards de salaires, les cartes de restauration dont jouissaient les travailleurs n’ont pas été chargées durant le mois de juillet et celui d’août. »
Seulement, des sources du quotidien d’information doutent « qu’il y ait une solution miracle » d’autant que soufflent-elles, « les redevances que lui sont versées par LAS ne suffisent pas à supporter les coûts de son fonctionnement ». C’est la raison pour laquelle, glisse Source A, que « l’idée de renégocier le contrat a été le thème central d’un séminaire tenu à l’hôtel Azalaï. Une rencontre à laquelle a assisté le ministre [de tutelle] El Malick Ndiaye ».
Au moins deux audits commandités par le directeur général entrant, Cheikh Bamba Dièye, sont en cours. Déjà en juin dernier, Source A révélait une véritable bamboula dans cette boîte : « De 86 agents au lancement des activités de la plateforme, en 2017, le personnel serait passé à 380 membres sous Doudou Kà puis à 1050 travailleurs avec Abdoulaye Dièye », dont « certains bénéficiant de gros salaires et de nombreux avantages », et, entre autres dépenses budgétivores, « des voitures de 17 à 30 millions de francs CFA, quasiment à la charge de l’entreprise, qui supporterait 70% du prix de chaque véhicule mis à la disposition d’un directeur ».
La même source croit savoir que les travailleurs ne manqueront pas l’occasion pour interpeller la direction sur les problèmes que traverse la boîte : « En plus des retards de salaires, les cartes de restauration dont jouissaient les travailleurs n’ont pas été chargées durant le mois de juillet et celui d’août. »
Seulement, des sources du quotidien d’information doutent « qu’il y ait une solution miracle » d’autant que soufflent-elles, « les redevances que lui sont versées par LAS ne suffisent pas à supporter les coûts de son fonctionnement ». C’est la raison pour laquelle, glisse Source A, que « l’idée de renégocier le contrat a été le thème central d’un séminaire tenu à l’hôtel Azalaï. Une rencontre à laquelle a assisté le ministre [de tutelle] El Malick Ndiaye ».
Au moins deux audits commandités par le directeur général entrant, Cheikh Bamba Dièye, sont en cours. Déjà en juin dernier, Source A révélait une véritable bamboula dans cette boîte : « De 86 agents au lancement des activités de la plateforme, en 2017, le personnel serait passé à 380 membres sous Doudou Kà puis à 1050 travailleurs avec Abdoulaye Dièye », dont « certains bénéficiant de gros salaires et de nombreux avantages », et, entre autres dépenses budgétivores, « des voitures de 17 à 30 millions de francs CFA, quasiment à la charge de l’entreprise, qui supporterait 70% du prix de chaque véhicule mis à la disposition d’un directeur ».
3 Commentaires
Général J B Tine
En Août, 2024 (13:04 PM)Nous avons besoin de votre AIDE car la cité Elisabeth Diouf à hann mariste est devenu un FUMOIR de toutes sortes de drogues à toute heure en plein air. Il y'a URGENT
On vient de partout pour y fumer trankilos
Fallou Sene
En Août, 2024 (18:44 PM)L'on se pose même des questions sur la probité du cabinet de Commissaires aux Comptes Grant Thornton. Étant donné qu'un membre de famille proche de l'un d'eux a été recruté par la structure auditee.
Ces retards sont les conséquences des recrutements sauvages depuis la période du parrainage. Plus de 100 recrues et 60 nominations ont été enregistrées entre fin mars et la prise de fonction de Cheikh Bamba Dieye. D'ailleurs, elles n'ont toujours pas été annulées alors qu'elles sont illégales. Même les décrets, les contrats à coût de milliards de Macky ont été supprimés.
Continuer à supporter ces charges indues est comme cautionner les dérives de l'ancien régime. Il est inconcevable de priver le personnel de ses avantages pour supporter un surplus d'agents pour l'essentiel une clientèle politique non qualifiée. Tous ceux qui sont contre le balayage de santé financière ont bénéficié de ces recrutements pour leurs proches.
En plus, 80% des agents recrutés depuis 2014 sont des militants de l'APR. Mame Mbaye Gueye, Modou Thiam, Abdoulaye Sow, Sidi Mouhamed Mbaye, Thieyacine Diagne beau-frère de Abdoulaye DIEYE sont tous des professeurs de l'enseignement moyen secondaire recrutés comme cadres dans des domaines qui ne sont pas les leurs.
Ce CA et la commission des marchés doivent être renouvelés avec des hommes et femmes intègres. Les maintenir est synonyme de continuité de l'injustice subie par des agents compétents et intègres.
L'harmonisation salariale suite à la fusion ADS AIBD SA risque d'être difficile avec cet effectif plus que pléthorique.
Participer à la Discussion