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Un individu nommé M. Diop a été arrêté dimanche soir au Ravin, un club situé à Guédiawaye, alors qu’il faisait la fête. Il a été placé en garde à vue pour usurpation de fonction, faux et usage de faux et escroquerie.
Le suspect a été interpellé à la suite de la plainte contre X de V. Mendy. Ce dernier est mandaté par la famille d’un certain P. M. Diop, qui a été placé en garde à vue le 12 décembre dernier pour escroquerie et trafic de migrants.
D’après le récit de L’Observateur, le mis en cause, ayant eu vent des démêlés de P. M. Diop, contacte sa famille et promet d’obtenir sa libération. Il se présente en «adjudant Diop, en service à la Sûreté urbaine de Dakar» et affirme qu’il est chargé du dossier. Il propose à l’accusé de dédommager sa victime présumée.
Le principe retenu, il réclame 870 000 francs Cfa. Le versement effectué, il empoche l’argent est disparu dans la nature. Via V. Mendy, la famille de P. M. Diop saisit la Sûreté urbaine d’une plainte contre X.
Après l’avoir localisé et arrêté, les policiers conduisent le suspect chez lui, à Almadies 2, pour une perquisition. «Là, coup de théâtre», s’exclame L’Observateur, les enquêteurs tombent sur deux armes à feu : un 9 mm Magnum et un pistolet automatique 7 mm Cari Walther Wafenfabrik.
Sur l’origine des armes, M. Diop aurait servi des explications «cousues de fil blanc», selon le journal du Groupe futurs médias.
Le suspect a été interpellé à la suite de la plainte contre X de V. Mendy. Ce dernier est mandaté par la famille d’un certain P. M. Diop, qui a été placé en garde à vue le 12 décembre dernier pour escroquerie et trafic de migrants.
D’après le récit de L’Observateur, le mis en cause, ayant eu vent des démêlés de P. M. Diop, contacte sa famille et promet d’obtenir sa libération. Il se présente en «adjudant Diop, en service à la Sûreté urbaine de Dakar» et affirme qu’il est chargé du dossier. Il propose à l’accusé de dédommager sa victime présumée.
Le principe retenu, il réclame 870 000 francs Cfa. Le versement effectué, il empoche l’argent est disparu dans la nature. Via V. Mendy, la famille de P. M. Diop saisit la Sûreté urbaine d’une plainte contre X.
Après l’avoir localisé et arrêté, les policiers conduisent le suspect chez lui, à Almadies 2, pour une perquisition. «Là, coup de théâtre», s’exclame L’Observateur, les enquêteurs tombent sur deux armes à feu : un 9 mm Magnum et un pistolet automatique 7 mm Cari Walther Wafenfabrik.
Sur l’origine des armes, M. Diop aurait servi des explications «cousues de fil blanc», selon le journal du Groupe futurs médias.
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