En colère contre « les contrôles routiers devenus systématiques », les « Jakartamen » préparent une révolte. Selon Source A, ils ont annoncé la couleur depuis lundi, en organisant des manifestations à Rufisque notamment.
L’un d’eux, interrogé par le quotidien d’information, ne mâche pas ses mots. « Nous sentons une volonté inavouée de nous chasser de la capitale alors que tout ce que nous demandons, c’est de nous faciliter le travail dès lors que nous avons choisi le secteur du transport pour être à l’abri du besoin », grogne Alioune Badara Leye, originaire de Louga.
Il poursuit : « C’est difficile ce que les autorités sont en train de nous imposer sur la circulation alors que nous avons grandement contribué dans le Projet sans rien attendre en retour. »
Originaire de Kaolack, Oumar Barry, 27 ans, renchérit : « Je suis déçu par ce nouveau régime. Qu’est ce que je n’ai pas donné pour le Projet ? Il m’arrivait de ranger mon engin pour manifester. Même si on n’est pas en règle, il revient aux autorités de nous faciliter l’obtention de tous les papiers, y compris le permis de conduire et la carte grise à des tarifs abordables. »
Les interlocuteurs du journal, qui préviennent les nouvelles autorités, appellent le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko à assouplir les procédures d’obtention des papiers requis. A en croire Barry, il faut débourser « d’importantes sommes d’argent entre 100 000 à 200 000 F CFA pour se procurer les papiers requis » alors qu’ils « ne gagnent pas assez ».
L’un d’eux, interrogé par le quotidien d’information, ne mâche pas ses mots. « Nous sentons une volonté inavouée de nous chasser de la capitale alors que tout ce que nous demandons, c’est de nous faciliter le travail dès lors que nous avons choisi le secteur du transport pour être à l’abri du besoin », grogne Alioune Badara Leye, originaire de Louga.
Il poursuit : « C’est difficile ce que les autorités sont en train de nous imposer sur la circulation alors que nous avons grandement contribué dans le Projet sans rien attendre en retour. »
Originaire de Kaolack, Oumar Barry, 27 ans, renchérit : « Je suis déçu par ce nouveau régime. Qu’est ce que je n’ai pas donné pour le Projet ? Il m’arrivait de ranger mon engin pour manifester. Même si on n’est pas en règle, il revient aux autorités de nous faciliter l’obtention de tous les papiers, y compris le permis de conduire et la carte grise à des tarifs abordables. »
Les interlocuteurs du journal, qui préviennent les nouvelles autorités, appellent le Président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko à assouplir les procédures d’obtention des papiers requis. A en croire Barry, il faut débourser « d’importantes sommes d’argent entre 100 000 à 200 000 F CFA pour se procurer les papiers requis » alors qu’ils « ne gagnent pas assez ».
14 Commentaires
Bon Débarras
En Juillet, 2024 (08:13 AM)Reply_author
En Juillet, 2024 (08:32 AM)Reply_author
En Juillet, 2024 (10:03 AM)Wakh Deug
En Juillet, 2024 (08:15 AM)Reply_author
En Juillet, 2024 (08:55 AM)Ngor Poquelin
En Juillet, 2024 (08:30 AM)Papo
En Juillet, 2024 (09:03 AM)Moise
En Juillet, 2024 (09:22 AM)C'est justement parce qu'ils sont beaucoup trop nombreux.
C'est comme les ambulants.
Beaucoup trop nombreux.
Le commerce de rue n'enrichit plus.
A part les Guinéens avec leur monnaie nationale faible par rapport au CFA.
Moms
En Juillet, 2024 (10:39 AM)C est archi faux la majorité est silencieuse et ne fait pas beaucoup de bruits
Nous encourageons le nouveau régime à mettre fin a l anarchie qui règne à Dakar avec ces tabliers mecaniciens garages clandos et jakartamen qui ont fini de semer le bordel à Dakar avec ces agressions et ces cambriolages et cet encombrement humain qui est la source de tous les dangers
Vivement que la voie publique soit dégagée de ces envahisseurs et de cette racaille
Nombre d’accidents de manière exponentielle. Les hôpitaux sont pleins de jeunes devenus handicapés à vie. Il
N’y a pas plus indisciplinés que ces soi-disant livreurs ou transporteurs qui ne respectent rien du tout au péril de leur vie et des pauvres passagers. L’état doit sévir pour arrêter le massacre. Ça peut marcher à Kaolack, et dans les petites villes. Mais Dakar n’est pas une ville pour ces deux roues. Il y a le Brt et la Ter, avec les taxis et les yangos ça devrait suffire.
Jololi
En Juillet, 2024 (11:05 AM)D'autres leviers de développement seront prochainement activés pour résorber le chômage des jeunes...mais ce n'est pas avec les jakarta que nous y arriverons; d'autant plus que la majorité de ceux-ci sont pilotés par des étrangers (sans vouloir verser dans la xénophobie! )
Je suis en revanche déçu de la mairie de Liberté qui laisse foisonner un marché à ciel ouvert au rond point Total de Liberté 6 jusqu'à l'intérieur de l'avenue menant au camp Leclerc....Qui se ressemble, s'assemble
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