Domicilié aux Hlm-Grand Médine, A. A. Ndiaye avait ciblé un bus stationné au garage "Malien" du parking du stade Léopold Sédar Senghor.
À 15h, rapporte Rewmi Quotidien, il s'introduit dans le véhicule pour scruter les lieux et surprend le vendeur de tickets, Z. Coulibaly en train de collecter les recettes.
Quelques minutes après, le malfaiteur revient sur ses pas, accompagné d'un autre individu. Il dégaine une machette, asperge Coulibaly de bombe asphyxiante et s'empare de sa recette qui s'élevait à 200 000 francs.
Il s'en prend ensuite à quelques passagers, avec le même modus operandi, pour subtiliser portables et tissus de valeur.
Après leur sale besogne qui a eu lieu courant février 2017, les deux malfrats prennent la poudre d'escampette.
Ayant reconnu le principal mis en cause, Coulibaly porte plainte. Deux mois plus tard, Ndiaye tombe dans les filets des enquêteurs.
Poursuivi pour vol en réunion commis avec violence et association de malfaiteurs, l'accusé a été attrait devant la chambre criminelle de Dakar, après quatre années de détention préventive.
D'après ses dires, il conduisait une moto le jour des faits. Arrivé aux alentours du garage, il heurte le plaignant.
Ce dernier monte sur ses grands chevaux et l'attaque. "Je suis menuisier. Je passais tous les jours là-bas à 17h. J'habite chez le chef de quartier. Ce dernier est mon grand-père", a-t-il servi au juge.
De l'avis du substitut du procureur, l'association de malfaiteurs ne peut prospérer. Puisqu'il n'est pas démontré que l'accusé était accompagné.
"Pour ce qui est du vol, il n'y a pas de doute que c'est lui l'auteur. Il a été condamné pour des faits similaires", dit le maître des poursuites qui a requis cinq ans d'emprisonnement ferme.
L'avocate de la défense a plaidé l'acquittement au bénéfice du doute. A sa suite,
le président de la séance a fixé son délibéré au 17 novembre prochain.
À 15h, rapporte Rewmi Quotidien, il s'introduit dans le véhicule pour scruter les lieux et surprend le vendeur de tickets, Z. Coulibaly en train de collecter les recettes.
Quelques minutes après, le malfaiteur revient sur ses pas, accompagné d'un autre individu. Il dégaine une machette, asperge Coulibaly de bombe asphyxiante et s'empare de sa recette qui s'élevait à 200 000 francs.
Il s'en prend ensuite à quelques passagers, avec le même modus operandi, pour subtiliser portables et tissus de valeur.
Après leur sale besogne qui a eu lieu courant février 2017, les deux malfrats prennent la poudre d'escampette.
Ayant reconnu le principal mis en cause, Coulibaly porte plainte. Deux mois plus tard, Ndiaye tombe dans les filets des enquêteurs.
Poursuivi pour vol en réunion commis avec violence et association de malfaiteurs, l'accusé a été attrait devant la chambre criminelle de Dakar, après quatre années de détention préventive.
D'après ses dires, il conduisait une moto le jour des faits. Arrivé aux alentours du garage, il heurte le plaignant.
Ce dernier monte sur ses grands chevaux et l'attaque. "Je suis menuisier. Je passais tous les jours là-bas à 17h. J'habite chez le chef de quartier. Ce dernier est mon grand-père", a-t-il servi au juge.
De l'avis du substitut du procureur, l'association de malfaiteurs ne peut prospérer. Puisqu'il n'est pas démontré que l'accusé était accompagné.
"Pour ce qui est du vol, il n'y a pas de doute que c'est lui l'auteur. Il a été condamné pour des faits similaires", dit le maître des poursuites qui a requis cinq ans d'emprisonnement ferme.
L'avocate de la défense a plaidé l'acquittement au bénéfice du doute. A sa suite,
le président de la séance a fixé son délibéré au 17 novembre prochain.
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