« Nous pensons beaucoup à notre sécurité parce que les malfrats font du n’importe quoi pour commettre les forfaits. J’ai l’habitude de mémoriser les immatriculations », soutient un pompiste interrogé par iradio.
Échappé belle à la mort, un autre pompiste raconte une scène: « un jour, j’ai subi une attaque et j’étais de garde. Ils ont même tenté d’égorger le vigile qui était avec moi et cela n’a pas abouti ».
Ce jeune, lui, venu exercer son métier dans le Baol invite ses collègues à la prudence. « Il y a des véhicules suspects, il faut toujours prendre des précautions », dit-il.
Pour rappel, en début de semaine, une station service a été attaquée par des personnes non-identifiées. Ces dernières ont asséné un coup de coupe-coupe au pompiste avant d’emporter la recette journalière.
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