La pêche occupe une place importante dans les politiques et stratégies économiques. Elle contribue de manière significative, à l’alimentation de la population, à la création de revenus et d’emplois ainsi qu’au renforcement de la compétitivité.
Dans ce sillage, le ministre de la Pêche, Alioune Ndoye en compagnie des acteurs dudit secteur a présidé ce mardi 28 décembre à l’installation officielle du bureau exécutif du réseau national des Conseils locaux de la pêche artisanale (CLPA). Actuellement, le bureau comporte 41 CPLA sur le territoire national dont 63 membres et 3 coordinateurs. " En 2020, à titre illustratif le budget de la recette d’exportation est évalué à 262 milliards, révèle ainsi le ministre de la Pêche".
A l’en croire, « l’attention que porte le chef de l’Etat au domaine de la pêche et de l’aquaculture est due particulièrement au rôle que jouent ces activités, véritables pilier économique et social. Deux activités qui sont actuellement inscrites parmi les moteurs de croissance sectoriels de l’axe 1 du PSE leur assignant un rôle central dans le renforcement de la sécurité alimentaire ainsi que la création de richesses et d’emplois ».
Poursuivant, il affirme qu’en droite ligne avec le PSE, le Sénégal a adopté la loi 2015-18 du 13 juillet 2015 portant code de la pêche maritime qui consacre de nouvelles dispositions comme la lutte contre la pêche illicite non déclarée et non réglementée, la confection des pêcheries, le durcissement des sanctions infligées aux bateaux pirates, le renforcement des plans d’aménagement des pêcheries, le principe de précautions et la démarche participative.
Concernant les mesures de précautions, le ministre annonce que d’importantes mesures sur les ressources halieutiques ont été prises notamment le renforcement de la cogestion de la gouvernance locale de pêche, l’extension et la mise en réseau de pêche des conseillers locaux artisanaux, l’application des mesures du ressort de l’état du Port. Dans le domaine du suivi de contrôle et surveillance de pêche, l’approbation du plan national de pêche d’adaptation aux changements climatiques, la mise en œuvre du plan d’aménagement des pêcheries, l’immatriculation des pirogues et l’installation du permis de pêches artisanales pour ne citer que cela sont aussi prévus.
En rappelant le droit du Conseil local de la pêche artisanale (CLPA), Alioune Ndoye affirme qu’il joue un rôle essentiel dans l’identification et la mise en œuvre des initiatives du ressources halieutiques qui peuvent être par plusieurs CLPA partageant les mêmes réalités locales. Dès lors, le mise en œuvre apparaît comme un moyen efficace pouvant faciliter la communication, la synergie des actions, le partage d’expérience et la vulgarisation des initiatives prometteuses d’un CLPA à un autre, d’une zone à une autre. Actuellement il existe un CLPA dans chaque région et départements ainsi qu’au niveau national. Ces réseaux, dit-il, regroupent les différents CLPA existant aux niveaux indiqués.
Dans ce sillage, le ministre de la Pêche, Alioune Ndoye en compagnie des acteurs dudit secteur a présidé ce mardi 28 décembre à l’installation officielle du bureau exécutif du réseau national des Conseils locaux de la pêche artisanale (CLPA). Actuellement, le bureau comporte 41 CPLA sur le territoire national dont 63 membres et 3 coordinateurs. " En 2020, à titre illustratif le budget de la recette d’exportation est évalué à 262 milliards, révèle ainsi le ministre de la Pêche".
A l’en croire, « l’attention que porte le chef de l’Etat au domaine de la pêche et de l’aquaculture est due particulièrement au rôle que jouent ces activités, véritables pilier économique et social. Deux activités qui sont actuellement inscrites parmi les moteurs de croissance sectoriels de l’axe 1 du PSE leur assignant un rôle central dans le renforcement de la sécurité alimentaire ainsi que la création de richesses et d’emplois ».
Poursuivant, il affirme qu’en droite ligne avec le PSE, le Sénégal a adopté la loi 2015-18 du 13 juillet 2015 portant code de la pêche maritime qui consacre de nouvelles dispositions comme la lutte contre la pêche illicite non déclarée et non réglementée, la confection des pêcheries, le durcissement des sanctions infligées aux bateaux pirates, le renforcement des plans d’aménagement des pêcheries, le principe de précautions et la démarche participative.
Concernant les mesures de précautions, le ministre annonce que d’importantes mesures sur les ressources halieutiques ont été prises notamment le renforcement de la cogestion de la gouvernance locale de pêche, l’extension et la mise en réseau de pêche des conseillers locaux artisanaux, l’application des mesures du ressort de l’état du Port. Dans le domaine du suivi de contrôle et surveillance de pêche, l’approbation du plan national de pêche d’adaptation aux changements climatiques, la mise en œuvre du plan d’aménagement des pêcheries, l’immatriculation des pirogues et l’installation du permis de pêches artisanales pour ne citer que cela sont aussi prévus.
En rappelant le droit du Conseil local de la pêche artisanale (CLPA), Alioune Ndoye affirme qu’il joue un rôle essentiel dans l’identification et la mise en œuvre des initiatives du ressources halieutiques qui peuvent être par plusieurs CLPA partageant les mêmes réalités locales. Dès lors, le mise en œuvre apparaît comme un moyen efficace pouvant faciliter la communication, la synergie des actions, le partage d’expérience et la vulgarisation des initiatives prometteuses d’un CLPA à un autre, d’une zone à une autre. Actuellement il existe un CLPA dans chaque région et départements ainsi qu’au niveau national. Ces réseaux, dit-il, regroupent les différents CLPA existant aux niveaux indiqués.
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