“Le projet de loi portant code du travail relatif à la femme en état de grossesse et complétant certaines dispositions traduit la volonté de notre pays d'harmoniser sa législation nationale avec les normes internationales, destinées à promouvoir la femme et à améliorer ses conditions de vie et de travail”, selon le ministre du Travail, du Dialogue social et des relations avec les institutions. Samba Sy faisait face aux parlementaires lors du vote ladite loi.
Il s'agit selon lui de valoriser davantage les droits de la femme. C'est en effet "des avancées qui profitent également aux hommes, en ce sens qu'ils représentent l'autre entité de la société dont la femme reste une partie intégrante". “En dépit du dispositif juridique garantissant les droits des femmes à la maternité, il y a la nécessité de faire des efforts supplémentaires en ce qui concerne les congés de maternité, ajoute-t-il.
A ce niveau, il a annoncé, outre l'allongement de la durée des congés de maternité de la femme, la possibilité à réfléchir sur la possibilité pour le conjoint de pouvoir prendre un congé de paternité ou d'accompagnement. Ce texte prévoit l'interdiction du licenciement de la femme motivé par son état de grossesse, l'interdiction de toute discrimination à l'embauche dont pourrait être victime la femme enceinte et sanctionne les auteurs d'infractions en matière de licenciement et de discrimination à l'embauche de la femme enceinte.
Toutefois, il lui a été rappelé la nécessité d'allonger la durée des congés de maternité jusqu'à six (6) mois, à l'instar de certains pays. Le ministre a signifié que s'agissant des questions sociales, le Gouvernement ne tranche pas seul, il travaille en étroite collaboration avec les partenaires sociaux.
Dans la même dynamique, il a notifié que le Sénégal, ayant ratifié les différents instruments internationaux relatifs à la protection des droits des femmes, a l'obligation de conformer sa législation nationale aux dispositions desdits instruments et de mettre en place un cadre juridique, pour mieux prendre en charge la protection de la maternité au travail.
Il s'agit selon lui de valoriser davantage les droits de la femme. C'est en effet "des avancées qui profitent également aux hommes, en ce sens qu'ils représentent l'autre entité de la société dont la femme reste une partie intégrante". “En dépit du dispositif juridique garantissant les droits des femmes à la maternité, il y a la nécessité de faire des efforts supplémentaires en ce qui concerne les congés de maternité, ajoute-t-il.
A ce niveau, il a annoncé, outre l'allongement de la durée des congés de maternité de la femme, la possibilité à réfléchir sur la possibilité pour le conjoint de pouvoir prendre un congé de paternité ou d'accompagnement. Ce texte prévoit l'interdiction du licenciement de la femme motivé par son état de grossesse, l'interdiction de toute discrimination à l'embauche dont pourrait être victime la femme enceinte et sanctionne les auteurs d'infractions en matière de licenciement et de discrimination à l'embauche de la femme enceinte.
Toutefois, il lui a été rappelé la nécessité d'allonger la durée des congés de maternité jusqu'à six (6) mois, à l'instar de certains pays. Le ministre a signifié que s'agissant des questions sociales, le Gouvernement ne tranche pas seul, il travaille en étroite collaboration avec les partenaires sociaux.
Dans la même dynamique, il a notifié que le Sénégal, ayant ratifié les différents instruments internationaux relatifs à la protection des droits des femmes, a l'obligation de conformer sa législation nationale aux dispositions desdits instruments et de mettre en place un cadre juridique, pour mieux prendre en charge la protection de la maternité au travail.
5 Commentaires
Diaw
En Avril, 2022 (17:31 PM)Publicité
En Avril, 2022 (17:34 PM)Participer à la Discussion