Revenant en détails sur les faits, il fait remarquer que durant la journée du 10 mars, Touba a enregistré, grâce à son système de surveillance, un cas suspect qui venait d’Italie (6 mars).
Le «Modou-Modou» en question a voyagé via Royal Air Maroc et a fait escale au Maroc pour débarquer à l’Aéroport de Diass, durant la nuit du 6 au 7 mars, vers 1 heure du matin.
«Il ne présentait aucun signe à son arrivée au Sénégal. Il a été contrôlé deux fois au coronavirus, au Maroc et au Sénégal. C’est pourquoi il a pu regagner son domicile sans problème», a-t-il précisé lors de son face-à-face avec la presse.
D’après toujours les explications du médecin, l’émigré malade a quitté l’Aibd pour se rendre à Touba à bord d’un «Allo taxi». Toutefois, rassure le médecin-chef, «il était seul dans le véhicule».
Le docteur Dieng d’ajouter que contrairement à ce qui a été dit dans la presse, il est venu bien après le Magal de Prokhane (célébré le 5 mars).
«Il est resté chez lui et c’est le 9 mars, durant la journée, vers 18h, qu’il a ressenti une forte fièvre et a commencé à tousser. Mais, ce n’est que le 10, c’est-à-dire le lendemain, qu’il s’est présenté à une des structures de Touba. Nous nous étions déjà préparés à ces genres de situations», rapportent les autorités médicales de la région.
«Un prélèvement a été effectué sur le patient suspect qui a été confiné dans une cabine. En attendant que les résultats de l’Institut Pasteur ne nous reviennent attestant qu’il était infecté du coronavirus».
Toutefois, à en croire Mamadou Dieng, toutes les mesures nécessaires ont été prises au niveau du domicile de l’émigré, polygame et marié à deux épouses.
«Nous avons établi la liste de tous les membres de sa famille. Ils sont suivis de très près», ajoute le médecin chef de district de Diourbel qui ajoute d’ailleurs qu’une équipe d’investigateurs est descendue le même jour dans le domicile pour évaluer les risques de transmissions.
Le «Modou-Modou» en question a voyagé via Royal Air Maroc et a fait escale au Maroc pour débarquer à l’Aéroport de Diass, durant la nuit du 6 au 7 mars, vers 1 heure du matin.
«Il ne présentait aucun signe à son arrivée au Sénégal. Il a été contrôlé deux fois au coronavirus, au Maroc et au Sénégal. C’est pourquoi il a pu regagner son domicile sans problème», a-t-il précisé lors de son face-à-face avec la presse.
D’après toujours les explications du médecin, l’émigré malade a quitté l’Aibd pour se rendre à Touba à bord d’un «Allo taxi». Toutefois, rassure le médecin-chef, «il était seul dans le véhicule».
Le docteur Dieng d’ajouter que contrairement à ce qui a été dit dans la presse, il est venu bien après le Magal de Prokhane (célébré le 5 mars).
«Il est resté chez lui et c’est le 9 mars, durant la journée, vers 18h, qu’il a ressenti une forte fièvre et a commencé à tousser. Mais, ce n’est que le 10, c’est-à-dire le lendemain, qu’il s’est présenté à une des structures de Touba. Nous nous étions déjà préparés à ces genres de situations», rapportent les autorités médicales de la région.
«Un prélèvement a été effectué sur le patient suspect qui a été confiné dans une cabine. En attendant que les résultats de l’Institut Pasteur ne nous reviennent attestant qu’il était infecté du coronavirus».
Toutefois, à en croire Mamadou Dieng, toutes les mesures nécessaires ont été prises au niveau du domicile de l’émigré, polygame et marié à deux épouses.
«Nous avons établi la liste de tous les membres de sa famille. Ils sont suivis de très près», ajoute le médecin chef de district de Diourbel qui ajoute d’ailleurs qu’une équipe d’investigateurs est descendue le même jour dans le domicile pour évaluer les risques de transmissions.
0 Commentaires
Participer à la Discussion