
Le journal d’en rajouter une couche : «Déjà mises hors de circuit par le couvre-feu, elles sont fuies comme la peste par la clientèle qui a mieux à faire que de forniquer avec le virus. «Chez Diamil», sur l’axe des Bermudes à Dieuppeul, aux Almadies et dans les lieux de plaisir de la Sicap, c’est le deuil des rencontres furtives, soirées arrosées et/ou conclues sur le matelas par une partie de jambes en l’air. Pour autant, la crainte est flagrante. Surtout pour la race des contaminées qui ne peuvent plus vivre en dehors du maquis nocturne».
Kritik de conclure : «Certaines, qui en faisaient un fonds de commerce pour faire vivre les mômes, ne savent plus à quel virus se donner. Si vous les indexez sur les dérives et activités sataniques qui ont cours et qui peuvent être à l’origine d’une fronde divine, elles vous envoient balader estimant que d’autres personnes par hypocrisie en font beaucoup plus graves mais se cachent sous l’anonymat ou se vendent dans le secret constituant ainsi des bombes ambulantes pour la société. Suivre le regard de ces jalouses…».
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