Après leur rupture, au bout de quatre ans d’idylle, le commerçant M. Thioub et N. R. Niang ont soldé leurs comptes devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, ce mercredi 13 novembre. Le premier est poursuivi pour vol par la seconde.
D’après L’Observateur, qui a assisté à l’audience, la plaignante accuse son ex d’avoir cambriolé sa chambre et d’y avoir dérobé des bijoux en or, des cheveux naturels, le papier d’un terrain, notamment. Le mobile ? Le commerçant voulait récupérer tous les cadeaux qu’il lui avait offerts quand cette dulcinée a décidé de le quitter, rapporte le journal.
N. R. Niang a appris le cambriolage alors qu’elle se trouvait chez ses parents à Thiès. C’est sa colocataire qui l’a informée par téléphone. L’Observateur renseigne que la victime a d’abord mis son ex au parfum, ne nourrissant manifestement aucun soupçon contre lui à ce moment-là. Le commerçant l’accompagne lorsqu’elle dépose une plainte et se rend chez un marabout chargé de démasquer le cambrioleur.
Tout s’écroule pour le suspect lorsque N. R. Niang apprend d’un certain Mamadou Sall que M. Thioub cherchait à vendre le terrain objet du document volé lors du cambriolage.
À la barre, rapporte L’Observateur, le commerçant a juré que le terrain lui appartient. Qu’il avait utilisé son ex juste comme prête-nom. Faux, réplique la plaignante, assurant avoir acquis le bien par ses propres ressources.
Convaincu de la culpabilité du prévenu, le parquet a requis deux ans ferme. La partie civile réclame 10 millions de francs Cfa. La défense a plaidé la relaxe. Le juge rend son verdict le 25 novembre.
D’après L’Observateur, qui a assisté à l’audience, la plaignante accuse son ex d’avoir cambriolé sa chambre et d’y avoir dérobé des bijoux en or, des cheveux naturels, le papier d’un terrain, notamment. Le mobile ? Le commerçant voulait récupérer tous les cadeaux qu’il lui avait offerts quand cette dulcinée a décidé de le quitter, rapporte le journal.
N. R. Niang a appris le cambriolage alors qu’elle se trouvait chez ses parents à Thiès. C’est sa colocataire qui l’a informée par téléphone. L’Observateur renseigne que la victime a d’abord mis son ex au parfum, ne nourrissant manifestement aucun soupçon contre lui à ce moment-là. Le commerçant l’accompagne lorsqu’elle dépose une plainte et se rend chez un marabout chargé de démasquer le cambrioleur.
Tout s’écroule pour le suspect lorsque N. R. Niang apprend d’un certain Mamadou Sall que M. Thioub cherchait à vendre le terrain objet du document volé lors du cambriolage.
À la barre, rapporte L’Observateur, le commerçant a juré que le terrain lui appartient. Qu’il avait utilisé son ex juste comme prête-nom. Faux, réplique la plaignante, assurant avoir acquis le bien par ses propres ressources.
Convaincu de la culpabilité du prévenu, le parquet a requis deux ans ferme. La partie civile réclame 10 millions de francs Cfa. La défense a plaidé la relaxe. Le juge rend son verdict le 25 novembre.
4 Commentaires
Saradji
il y a 7 heures (15:36 PM)Reply_author
il y a 6 heures (16:49 PM)Mane Mi
il y a 6 heures (16:25 PM)Participer à la Discussion