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D. Guèye, chef d'entreprise, inculpé pour abus de confiance et détournement de prêt bancaire, sera fixé sur son sort le 6 mars prochain, date du délibéré de son procès qui l'oppose à la Coris Bank. Il a organisé sa disparition après avoir bénéficié d'un prêt de 20 millions de francs Cfa, souligne l'accusation.
Selon le mode opérateur révélé par L'Observateur, qui a assisté à l'audience, le mis en cause, «prétendant avoir gagné un marché auprès du Centre des oeuvres universitaires de Thiès, s'est présenté auprès de [ladite] banque [avec les papiers y afférent pour] demander un prêt bancaire» de 20 millions. Sa demande a été ainsi acceptée par l'institution financière.
Sauf qu'une fois le montant encaissé, la banque n'aura plus de nouvelles de lui, d'après la même source. Qui rapporte que l'affaire plaidée à la barre du Tribunal correctionnel de Dakar, ce jeudi 6 février, remonte à 2020, rembobine L'Obs.
Le journal avance que Coris bank a découvert le pot aux roses et porté plainte après avoir saisi le Crous de Thiès : «Au moment du dépôt de la lettre de domiciliation par le prévenu, le marché était déjà exécuté.»
Guèye conteste les faits. «Tout ce qu'on me reproche n'est pas avéré. Je n'ai pas fraudé, ni falsifié de documents pour pouvoir recevoir de l'argent», jure-t-il droit dans ses bottes. L'accusé d'embrayer :
«Je n'ai pas soldé mon prêt parce que le Crous [de Thiès] qui me devait de l'argent ne m'a pas encore payer. Quand j'allais auprès de la banque pour le prêt, j'avais commencé à exécuter le marché, mais je ne l'avais pas encore terminé.»
«Il ne s'agit pas d'un marché actif puisque tous les documents existent», appuie l'avocat de la défense, Me Dialy Kane.
«Le Crous [de Thiès] ne nous doit rien. C'est lui qui nous doit de l'argent», réplique le représentant de Coris Bank, Hamidou Guèye. La partie civile, par le biais de son avocat, Me Amadou Yéri Bâ, réclame 30 millions en guise de réparation, chiffre L'Observateur, signalant que le maître des poursuites a demandé «l'application de la loi pénale» dans son réquisitoire.
Selon le mode opérateur révélé par L'Observateur, qui a assisté à l'audience, le mis en cause, «prétendant avoir gagné un marché auprès du Centre des oeuvres universitaires de Thiès, s'est présenté auprès de [ladite] banque [avec les papiers y afférent pour] demander un prêt bancaire» de 20 millions. Sa demande a été ainsi acceptée par l'institution financière.
Sauf qu'une fois le montant encaissé, la banque n'aura plus de nouvelles de lui, d'après la même source. Qui rapporte que l'affaire plaidée à la barre du Tribunal correctionnel de Dakar, ce jeudi 6 février, remonte à 2020, rembobine L'Obs.
Le journal avance que Coris bank a découvert le pot aux roses et porté plainte après avoir saisi le Crous de Thiès : «Au moment du dépôt de la lettre de domiciliation par le prévenu, le marché était déjà exécuté.»
Guèye conteste les faits. «Tout ce qu'on me reproche n'est pas avéré. Je n'ai pas fraudé, ni falsifié de documents pour pouvoir recevoir de l'argent», jure-t-il droit dans ses bottes. L'accusé d'embrayer :
«Je n'ai pas soldé mon prêt parce que le Crous [de Thiès] qui me devait de l'argent ne m'a pas encore payer. Quand j'allais auprès de la banque pour le prêt, j'avais commencé à exécuter le marché, mais je ne l'avais pas encore terminé.»
«Il ne s'agit pas d'un marché actif puisque tous les documents existent», appuie l'avocat de la défense, Me Dialy Kane.
«Le Crous [de Thiès] ne nous doit rien. C'est lui qui nous doit de l'argent», réplique le représentant de Coris Bank, Hamidou Guèye. La partie civile, par le biais de son avocat, Me Amadou Yéri Bâ, réclame 30 millions en guise de réparation, chiffre L'Observateur, signalant que le maître des poursuites a demandé «l'application de la loi pénale» dans son réquisitoire.
1 Commentaires
Bozon
il y a 4 heures (13:00 PM)Participer à la Discussion