« Il n’y a jamais eu d’amnistie fiscale ». La révélation est faite par le patron de la 2Stv, El Hadji Ndiaye, lors de l’entretien spécial du groupe E-Media.
Interrogé sur la crise des entreprises de presse, le PDG de Origines SA, est revenu, rapporte Bes Bi, « sur les 40 milliards de francs CFA représentant la dette fiscale cumulée de la presse dont 5,5 milliards pour la seule RTS. »
Repris par le journal, le patron de presse précise que la procédure d’amnistie lancée par le Président sortant, Macky Sall, n’a pas abouti.
Et pour cause : « C'est moi qui ai pris l'initiative pour une audience avec le Président. Parce que des patrons de presse étaient pressés par le fisc. Le lundi 18 mars, Macky Sall nous a reçus, le mercredi, en Conseil des ministres, la question a été discutée et le vendredi, le courrier est parti au ministère des Finances. Et le dimanche était le jour du scrutin. La vérité, c'est qu'on est allés trop tard voir le Président», explique-t-il.
Après l’avènement du nouveau régime, El Hadji Ndiaye suggère « d'aller voir le Président Diomaye Faye qui est le président de tous les Sénégalais» pour une issue favorable.
Interrogé sur la crise des entreprises de presse, le PDG de Origines SA, est revenu, rapporte Bes Bi, « sur les 40 milliards de francs CFA représentant la dette fiscale cumulée de la presse dont 5,5 milliards pour la seule RTS. »
Repris par le journal, le patron de presse précise que la procédure d’amnistie lancée par le Président sortant, Macky Sall, n’a pas abouti.
Et pour cause : « C'est moi qui ai pris l'initiative pour une audience avec le Président. Parce que des patrons de presse étaient pressés par le fisc. Le lundi 18 mars, Macky Sall nous a reçus, le mercredi, en Conseil des ministres, la question a été discutée et le vendredi, le courrier est parti au ministère des Finances. Et le dimanche était le jour du scrutin. La vérité, c'est qu'on est allés trop tard voir le Président», explique-t-il.
Après l’avènement du nouveau régime, El Hadji Ndiaye suggère « d'aller voir le Président Diomaye Faye qui est le président de tous les Sénégalais» pour une issue favorable.
26 Commentaires
Lolol
En Juin, 2024 (09:40 AM)Reply_author
En Juin, 2024 (09:47 AM)Reply_author
En Juin, 2024 (11:19 AM)Reply_author
En Juin, 2024 (11:31 AM)Reply_author
En Juin, 2024 (11:34 AM)Quand on parle de Macky, vous être prêt à l'insulter au lieu de lire l’article consacré.
Macky n'a jamais promis un effacement de la dette fiscale de la presse.
Lit bien l'article
Vérités Du Doyen
En Juin, 2024 (09:23 AM)Reply_author
En Juin, 2024 (15:15 PM)Fini La Facilité
En Juin, 2024 (09:35 AM)Meukheuri Le Corrupteur
En Juin, 2024 (09:52 AM)Cela dit qu'il voulait que fassiez le sale Boulot de lui aider à voler les élections
Reply_author
En Juin, 2024 (12:44 PM)Qu'attend Sonkolait pour adresser à Youssou Ndour un redressement fiscal?C'était des mensonges du mytho qui a semé la jalousie et la haine,en jetant un honnête citoyen en pâture.Youssou Ndour ne travaille plus pour lui,mais pour sa descendance.Et il n'est pas bête pour jouer avec les impôts
Halte Aux 4x4
En Juin, 2024 (09:51 AM)Avis
En Juin, 2024 (10:11 AM)Ces propos est une honte sortant de la bouche de patron de presse quin s etait comporté en larbin devant Macky. Ce meme Ndiaye a fait du n importe quoi contre Sonko et Diomaye.
Maintenant, il reconnait que Diomaye est le president de tous les Senegals.
Moi qui pensais que Diomaye n est pas son president et que ce Ndiaye va s exiler
En
En Juin, 2024 (10:59 AM)Reply_author
En Juin, 2024 (11:14 AM)tes 2 pitres sont elus........................ arrete de baver...vos mediocres vous ont enfilé profond......
Reply_author
En Juin, 2024 (12:12 PM)Lii
En Juin, 2024 (12:01 PM)S'ils Ne Paient Pas...
En Juin, 2024 (12:04 PM)Fini les avantages indus sur le dos des sénégalais.
S'ils Ne Paient Pas...
En Juin, 2024 (12:04 PM)Fini les avantages indus sur le dos des sénégalais.
Tfm de youssou ndour , walf , dtv , léral et autres sont tous en réglé ?
C est bizarre ça ?
J espére qu il n y a pas de copinage ou de réglement de compte là de dans .
Damaye ladje rék nak .
Alioune Diaye
En Juin, 2024 (12:23 PM)On nous divertit avec une autre loi d'amnistie dont les bénéficiaires sont les véritables instigateurs. Ñom la rek.
L’histoire de l’effacement fiscal des entreprises de presse par Macky Sall est assimilable à un conte de fée "naxe mbaay"
Lui qui avait besoin du soutien de certains poltrons, excusez-moi, patrons d’une presse qu’il connait bien n’avait pas promis aux demandeurs de tenir sa promesse
Les médias sont certes délégataires de service public à travers les concessions dont ils sont signataires mais cela ne doit pas les pousser de maniere illégitime à vouloir passer sous silence la rétention d'impôt et de taxes par des entreprises privées.
L'actuel président avait déjà apprécié l’annonce attribuée à Macky Sall de faire de l'argent du contribuable un cadeau aux entrepreneurs de presse.
Comment la presse peut d’une part publier et diffuser les rapports de la cours des comptes encourager la contribution de la société civile à la bonne gouvernance et d’autre part solliciter des faveurs. L’impôt est un versement obligatoire et sans contrepartie aux administrations publiques.
L’état doit accompagner la presse par des mécanismes qui permettent de maintenir les emplois et créer d'autres, renforcer les formations. Au meme moment, il devrait abolir les procédés nébuleux de transfert d'argent dans des comptes auxquels le patron a tous les droits. Cette fameuse « aide » à la presse dont l’enveloppe avoisine les deux milliards n’est qu’un « tonk-tonk » public dont les règles d'attribution de parts n'ont jamais fait l’objet d’un compte rendu.
Least but not last. Au-delà de l’effacement de la dette fiscale, les diffuseurs ont demandé la réduction à 500.000 Fr CFA par mois des frais de raccordement qui étaient d’un million à payer à TDS par les télévisions.
Comment peut-on effacer pour cette presse une dette de plus de 42 milliards de Francs CFA au moment où elle demande en-core l'annulation des redevances à l’ARTP?
Les positions éditoriales semblent etre assumées. La création d’un média répond à des objectifs clairs dont celui de combattre ou de soutenir une cause.
Au Sénégal la presse soutient des opposants, déstabilise des régimes au vu et au su de tous. Des hommes politiques financent ou disposent de médias qui se perdent entre manipulations et informations au vu et au su du régulateur qui ne bouge qu’avec la volonté du signataire du décret de sa nomination. La publicité n’est pas proportionnelle à la qualité des programmes. Les annonceurs se présentent selon les relations et les lignes éditoriales. Les conflits d’intérêts et les lobbies minent le secteur. Une certaine élite s'agrippe au patronat divisé telle un train à plusieurs locomotives composées d’amis, de stars du petit écran qui se concertent et imposent leurs besoins aux "autres" con-frères
Pour réussir ce projet, les demandeurs devront d'abord croiser le fer avec les experts et législateurs pour convaincre les sceptiques et les acteurs de la lutte contre la corruption
ALIOUNE NDIAYE PDG AFRICA7
Alioune Ndiaye
En Juin, 2024 (12:21 PM)On nous divertit avec une autre loi d'amnistie dont les bénéficiaires sont les véritables instigateurs. Ñom la rek.
L’histoire de l’effacement fiscal des entreprises de presse par Macky Sall est assimilable à un conte de fée "naxe mbaay"
Lui qui avait besoin du soutien de certains poltrons, excusez-moi, patrons d’une presse qu’il connait bien n’avait pas promis aux demandeurs de tenir sa promesse
Les médias sont certes délégataires de service public à travers les concessions dont ils sont signataires mais cela ne doit pas les pousser de maniere illégitime à vouloir passer sous silence la rétention d'impôt et de taxes par des entreprises privées.
L'actuel président avait déjà apprécié l’annonce attribuée à Macky Sall de faire de l'argent du contribuable un cadeau aux entrepreneurs de presse.
Comment la presse peut d’une part publier et diffuser les rapports de la cours des comptes encourager la contribution de la société civile à la bonne gouvernance et d’autre part solliciter des faveurs. L’impôt est un versement obligatoire et sans contrepartie aux administrations publiques.
L’état doit accompagner la presse par des mécanismes qui permettent de maintenir les emplois et créer d'autres, renforcer les formations. Au meme moment, il devrait abolir les procédés nébuleux de transfert d'argent dans des comptes auxquels le patron a tous les droits. Cette fameuse « aide » à la presse dont l’enveloppe avoisine les deux milliards n’est qu’un « tonk-tonk » public dont les règles d'attribution de parts n'ont jamais fait l’objet d’un compte rendu.
Least but not last. Au-delà de l’effacement de la dette fiscale, les diffuseurs ont demandé la réduction à 500.000 Fr CFA par mois des frais de raccordement qui étaient d’un million à payer à TDS par les télévisions.
Comment peut-on effacer pour cette presse une dette de plus de 42 milliards de Francs CFA au moment où elle demande en-core l'annulation des redevances à l’ARTP?
Les positions éditoriales semblent etre assumées. La création d’un média répond à des objectifs clairs dont celui de combattre ou de soutenir une cause.
Au Sénégal la presse soutient des opposants, déstabilise des régimes au vu et au su de tous. Des hommes politiques financent ou disposent de médias qui se perdent entre manipulations et informations au vu et au su du régulateur qui ne bouge qu’avec la volonté du signataire du décret de sa nomination. La publicité n’est pas proportionnelle à la qualité des programmes. Les annonceurs se présentent selon les relations et les lignes éditoriales. Les conflits d’intérêts et les lobbies minent le secteur. Une certaine élite s'agrippe au patronat divisé telle un train à plusieurs locomotives composées d’amis, de stars du petit écran qui se concertent et imposent leurs besoins aux "autres" con-frères
Pour réussir ce projet, les demandeurs devront d'abord croiser le fer avec les experts et législateurs pour convaincre les sceptiques et les acteurs de la lutte contre la corruption
Alioune NDIAYE PDG AFRICA7RADIO TV
Alioune Ndiaye
En Juin, 2024 (12:22 PM)On nous divertit avec une autre loi d'amnistie dont les bénéficiaires sont les véritables instigateurs. Ñom la rek.
L’histoire de l’effacement fiscal des entreprises de presse par Macky Sall est assimilable à un conte de fée "naxe mbaay"
Lui qui avait besoin du soutien de certains poltrons, excusez-moi, patrons d’une presse qu’il connait bien n’avait pas promis aux demandeurs de tenir sa promesse
Les médias sont certes délégataires de service public à travers les concessions dont ils sont signataires mais cela ne doit pas les pousser de maniere illégitime à vouloir passer sous silence la rétention d'impôt et de taxes par des entreprises privées.
L'actuel président avait déjà apprécié l’annonce attribuée à Macky Sall de faire de l'argent du contribuable un cadeau aux entrepreneurs de presse.
Comment la presse peut d’une part publier et diffuser les rapports de la cours des comptes encourager la contribution de la société civile à la bonne gouvernance et d’autre part solliciter des faveurs. L’impôt est un versement obligatoire et sans contrepartie aux administrations publiques.
L’état doit accompagner la presse par des mécanismes qui permettent de maintenir les emplois et créer d'autres, renforcer les formations. Au meme moment, il devrait abolir les procédés nébuleux de transfert d'argent dans des comptes auxquels le patron a tous les droits. Cette fameuse « aide » à la presse dont l’enveloppe avoisine les deux milliards n’est qu’un « tonk-tonk » public dont les règles d'attribution de parts n'ont jamais fait l’objet d’un compte rendu.
Least but not last. Au-delà de l’effacement de la dette fiscale, les diffuseurs ont demandé la réduction à 500.000 Fr CFA par mois des frais de raccordement qui étaient d’un million à payer à TDS par les télévisions.
Comment peut-on effacer pour cette presse une dette de plus de 42 milliards de Francs CFA au moment où elle demande en-core l'annulation des redevances à l’ARTP?
Les positions éditoriales semblent etre assumées. La création d’un média répond à des objectifs clairs dont celui de combattre ou de soutenir une cause.
Au Sénégal la presse soutient des opposants, déstabilise des régimes au vu et au su de tous. Des hommes politiques financent ou disposent de médias qui se perdent entre manipulations et informations au vu et au su du régulateur qui ne bouge qu’avec la volonté du signataire du décret de sa nomination. La publicité n’est pas proportionnelle à la qualité des programmes. Les annonceurs se présentent selon les relations et les lignes éditoriales. Les conflits d’intérêts et les lobbies minent le secteur. Une certaine élite s'agrippe au patronat divisé telle un train à plusieurs locomotives composées d’amis, de stars du petit écran qui se concertent et imposent leurs besoins aux "autres" con-frères
Pour réussir ce projet, les demandeurs devront d'abord croiser le fer avec les experts et législateurs pour convaincre les sceptiques et les acteurs de la lutte contre la corruption
Alioune NDIAYE PDG AFRICA7RADIO TV
Johnstone
En Juin, 2024 (15:04 PM)Su la redevance, je crois qu'il est possible d'ouvrir une discusion soit sur l'étalement ou une réduction symbolique cela après le paiment desimpots dues. Honnêtement je crois que vous devrez aussi accepter que ce secteur soit assainit pour permettre aux vrais entrepreneurs de presse comme vous de prospérer et de vivre des profits générés par leurs investissements. Mon évaluation est qu'il n y a pas plus de 8 entreprises de presse diges de ce nom d'entreprises. Beaucoup sont des structues de chantage avec un financement occulte. L'état doit interdire à partir de maintenant la signature de conventions avec les structures de l'état et entités financées par l'état pour arrêter le chantage auquel elles sont régulièrement soumises.
Après ce nettoyage il sera nécessaire d'étudier comment en partenariat avec les entreprises de presse faire en sorte que l'accès à la publicité soit organisées pour que les entreprises viables puissent continuerde vivre.
Sous chaque article,il prend le temps de donner son point de vue à travers un long texte.
Un vrai répondeur automatique du pouvoir en place.
Espérons qu'il aura assez de souffle pour tenir le même rythme pendant 5 longues années.
Moom
En Juin, 2024 (20:03 PM)Patrie
En Juin, 2024 (09:59 AM)Diaraaf
En Juin, 2024 (22:25 PM)Diaraaf
En Juin, 2024 (22:27 PM)Participer à la Discussion