Les visages étaient décontractés à la salle de conférence du laboratoire au premier niveau, à la station d’épuration de Cambérène. Après une visite de terrain au bord de la mer où l’émissaire marin est sous l’eau sur plus une longueur de 1, 2 Km, les ingénieurs et les financiers font le point. La revue de l’ouvrage emblématique n’a pas soulevé de réserve particulière. La réception provisoire est presque actée séance tenante. « Ce que nous avons vu, nous rassure. Nous allons signer le PV provisoire de réception après la rencontre avec le Directeur Général, Monsieur Mamadou Mamour Diallo », avait rassuré le Directeur administratif et financier, Bamba Fall. Il était avec Pèdre Sy, le Directeur de l’Exploitation entourés de leurs agents ; ingénieurs et techniciens et financiers. Tous émettent sur la même longueur d’onde y compris le bureau de contrôle : la réalisation de l’émissaire marin a respecté les cahiers de charges et les critères en vigueur. « Il n’y a pas d’amendements majeurs. C’est une étape importante vers la réception provisoire », s’était félicité Bamba Fall.
Dans la salle de conférence, l’atmosphère était détendue. Les responsables de l’entreprise peuvent aller à des plaisanteries. « Nous sommes même prêts pour la réception définitive », plaisante l’un d’eux. « Il faut fêter cette réception », glisse un autre. L’esprit convivial des échanges est le bout du tunnel après des moments de pression, de stress, et d’incertitudes pour construire le plus long émissaire marin en Afrique de l’Ouest. « L’émissaire marin place le Sénégal dans le Ranking des pays qui ont des ouvrages d’assainissement les plus importants par leurs dimensions », avait attesté l’ingénieur, Alvaro, lors d’immersion du Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo dans le tunnel enfoui dans la mer.
L’entreprise avait achevé la construction de l’émissaire marin avant les délais contractuels. Elle avait reçu, le satisfecit de la Direction Générale. Sa mise en eau marque une date importante dans l’histoire de l’Assainissement en Afrique de l’Ouest. L’ouvrage est l’une des composantes du Projet d’Extension et de Modernisation de la Station d'Épuration de Cambérène, financé par la Banque Islamique de Développement ( Bid). Il va impacter au moins 1, million 600 personnes à Dakar.
42 milliards F CFA
En amont de l’émissaire marin, se trouve l’émissaire terrestre long de 5 km qui est connecté à la station d’épuration de Cambérène. Sur le site, le bijou est sorti de terre. Les technologies de dernière génération sont sur toute la chaîne, du relèvement, au prétraitement, au traitement, jusqu’à la valorisation. L’air vicié sera traité et l’odeur évacué.
« La capacité de traitement de la station de Cambérène va passer de 19.000 m3/jour à 92.000m3/jour. Ce projet va impacter 1, 600 million de personnes à Dakar », avait informé le Directeur Général de l’Onas, Mamadou Mamour Diallo.
Le coût global du projet est de 42 milliards de francs CFA. Il a été financé par la Banque Islamique de Développement (BID). C’est l’un des projets les plus structurants du Sénégal et cadre avec les orientations du Sénégal déclinées dans le Plan Sénégal Emergent (PSE).
Dans la salle de conférence, l’atmosphère était détendue. Les responsables de l’entreprise peuvent aller à des plaisanteries. « Nous sommes même prêts pour la réception définitive », plaisante l’un d’eux. « Il faut fêter cette réception », glisse un autre. L’esprit convivial des échanges est le bout du tunnel après des moments de pression, de stress, et d’incertitudes pour construire le plus long émissaire marin en Afrique de l’Ouest. « L’émissaire marin place le Sénégal dans le Ranking des pays qui ont des ouvrages d’assainissement les plus importants par leurs dimensions », avait attesté l’ingénieur, Alvaro, lors d’immersion du Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo dans le tunnel enfoui dans la mer.
L’entreprise avait achevé la construction de l’émissaire marin avant les délais contractuels. Elle avait reçu, le satisfecit de la Direction Générale. Sa mise en eau marque une date importante dans l’histoire de l’Assainissement en Afrique de l’Ouest. L’ouvrage est l’une des composantes du Projet d’Extension et de Modernisation de la Station d'Épuration de Cambérène, financé par la Banque Islamique de Développement ( Bid). Il va impacter au moins 1, million 600 personnes à Dakar.
42 milliards F CFA
En amont de l’émissaire marin, se trouve l’émissaire terrestre long de 5 km qui est connecté à la station d’épuration de Cambérène. Sur le site, le bijou est sorti de terre. Les technologies de dernière génération sont sur toute la chaîne, du relèvement, au prétraitement, au traitement, jusqu’à la valorisation. L’air vicié sera traité et l’odeur évacué.
« La capacité de traitement de la station de Cambérène va passer de 19.000 m3/jour à 92.000m3/jour. Ce projet va impacter 1, 600 million de personnes à Dakar », avait informé le Directeur Général de l’Onas, Mamadou Mamour Diallo.
Le coût global du projet est de 42 milliards de francs CFA. Il a été financé par la Banque Islamique de Développement (BID). C’est l’un des projets les plus structurants du Sénégal et cadre avec les orientations du Sénégal déclinées dans le Plan Sénégal Emergent (PSE).
3 Commentaires
Pensionnaire Rebeuss
En Mars, 2024 (12:56 PM)Reply_author
En Mars, 2024 (14:17 PM)Gyu
En Mars, 2024 (13:49 PM)Reply_author
En Mars, 2024 (14:23 PM)Reply_author
En Mars, 2024 (14:25 PM)Dommage
En Mars, 2024 (14:13 PM)Participer à la Discussion