A Podor, la célébration de la journée nationale de l’arbre dont l’arbre parrain est le caïlcédrat, cette année, remet au goût du jour la rareté de cette espèce dans la ville de Podor.
Si pendant plusieurs décennies le cailcédrat constituait le décor des berges du fleuve Sénégal sur plus de 800 m avec trois rangées, il n’en reste plus que trois arbres fortement agressés par l’usure du temps. « Il y en avait plus d’une centaine tout le long du fleuve à partir de ce qui constitue le débarcadère aujourd’hui et l’ancien bâtiment de l’ONCAD ; c’était un décor magnifique », rappelle un septuagénaire rencontré sur les lieux. Le caïlcédrat faisait le charme de la ville de Podor mais aujourd’hui, à la place, il n’y a rien et c’est regrettable que les équipes municipales qui se sont succédées à la mairie n’ont rien fait pour restaurer le décor de caïlcédrats qui était une grande attraction, embouche un nostalgique du passé.
Pourtant, l’occasion était belle pour les populations de Podor de profiter de la célébration de la journée de l’arbre qui se tient chaque année le premier dimanche du mois d’août pour rattraper de leur négligence selon Oumar Sy : « A part le père Moise Tam, un Camerounais de la mission catholique qui s’est battu pour remettre quelques caïlcédrats, personne n’a rien tenté », regrette-t-on. Une situation fortement décriée qui risque de perdurer car en dehors du constat général, aucun acte concret n’est posé pour restaurer ces arbres.
Si pendant plusieurs décennies le cailcédrat constituait le décor des berges du fleuve Sénégal sur plus de 800 m avec trois rangées, il n’en reste plus que trois arbres fortement agressés par l’usure du temps. « Il y en avait plus d’une centaine tout le long du fleuve à partir de ce qui constitue le débarcadère aujourd’hui et l’ancien bâtiment de l’ONCAD ; c’était un décor magnifique », rappelle un septuagénaire rencontré sur les lieux. Le caïlcédrat faisait le charme de la ville de Podor mais aujourd’hui, à la place, il n’y a rien et c’est regrettable que les équipes municipales qui se sont succédées à la mairie n’ont rien fait pour restaurer le décor de caïlcédrats qui était une grande attraction, embouche un nostalgique du passé.
Pourtant, l’occasion était belle pour les populations de Podor de profiter de la célébration de la journée de l’arbre qui se tient chaque année le premier dimanche du mois d’août pour rattraper de leur négligence selon Oumar Sy : « A part le père Moise Tam, un Camerounais de la mission catholique qui s’est battu pour remettre quelques caïlcédrats, personne n’a rien tenté », regrette-t-on. Une situation fortement décriée qui risque de perdurer car en dehors du constat général, aucun acte concret n’est posé pour restaurer ces arbres.
8 Commentaires
Vérité
En Août, 2022 (12:24 PM)Vous avez sauvé Benno.
Yakaar bi demona ba tass.
Vous avez sauvé le benno de son yaakar.
a Podor et a Touba
Pour l'éviter il suffirait de planter des arbres dans ces villes.
Mais tout le attend l'état ou la mairie pour le faire c'est une responsabilité individuelle 2abres devant la porte de chaque maison et un dans la cour.
ne laisseriez vous donc à vos héritiers que misère et désolations.
beaucoup de vieux sont mort prématurément par l'aggravation de leur maladie à cause de la chaleur parce que quand ils étaient jeunes ils n'avaient pas planté des arbres pour grandir avec et profiter de la fraîcheur : kou agnaner sa ndoono sa dewine niaw.
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En Août, 2022 (16:18 PM)