Le pire évité de justesse à Mbour, moins d’une semaine après le chavirement d’une pirogue faisant une quarantaine de morts dans la même localité. Libération annonce l’arrestation de deux convoyeurs. « Samedi dernier, après une information faisant état d’un départ programmé de candidats à l’immigration irrégulière, le commissariat central de Mbour a arrêté deux individus pour trafic de migrants, association de malfaiteurs, mise en danger de la vie d’autrui et escroquerie », relate le journal.
La même source indique qu’il s’agit des nommés C. Sow, 35 ans, et M. M. Ndiaye, 22 ans, respectivement pêcheur et chauffeur. Le premier est domicilié au quartier Tefess de Mbour tandis que le second habite Baye Deukeu. Surveillé par les limiers, le duo a été appréhendé au moment où « il s’apprêtait à se diriger vers le lieu de l’embarquement », signale le quotidien d’information.
« La police avait reçu une information selon laquelle C. Sow, en collaboration avec d’autres individus, avait un projet de voyage à l’immigration irrégulière moyennant la somme de 500 000 F CFA par candidat. Une mission de filature a été donnée aux éléments de la Brigade de recherches », détaille celui-ci. C’est ainsi que, poursuit Libération, « des va et vient incessants ont été notés dans un domicile sis au quartier Falokh où une partie des migrants était logée ».
La même source indique qu’il s’agit des nommés C. Sow, 35 ans, et M. M. Ndiaye, 22 ans, respectivement pêcheur et chauffeur. Le premier est domicilié au quartier Tefess de Mbour tandis que le second habite Baye Deukeu. Surveillé par les limiers, le duo a été appréhendé au moment où « il s’apprêtait à se diriger vers le lieu de l’embarquement », signale le quotidien d’information.
« La police avait reçu une information selon laquelle C. Sow, en collaboration avec d’autres individus, avait un projet de voyage à l’immigration irrégulière moyennant la somme de 500 000 F CFA par candidat. Une mission de filature a été donnée aux éléments de la Brigade de recherches », détaille celui-ci. C’est ainsi que, poursuit Libération, « des va et vient incessants ont été notés dans un domicile sis au quartier Falokh où une partie des migrants était logée ».
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La complicité était évidente entre le Britannique Rishi Sunak, un conservateur défendant les expulsions de demandeurs d’asile vers le Rwanda, et Giorgia Meloni, la première ministre italienne et cheffe de file du parti d’extrême droite Fratelli d’Italia. Malgré sa promesse de « changement » aux Britanniques, le travailliste Keir Starmer a multiplié, comme son prédécesseur, les démonstrations d’amitié à l’égard de son homologue italienne lors de sa première visite officielle à Rome, lundi 16 septembre.
Sous un soleil radieux, avec, en toile de fond, la superbe Villa Doria Pamphilj, Keir Starmer a trouvé « fantastique d’être ici » et a loué les « remarquables progrès » de l’Italie pour limiter les arrivées de migrants et lutter contre les gangs de passeurs.
Il faut dire qu’au lendemain d’un nouveau drame dans la Manche – huit personnes ont perdu la vie dans le naufrage de leur fragile bateau, dans la nuit du samedi 14 au dimanche 15 septembre, au large du Pas-de-Calais –, le dirigeant est pressé d’apporter des réponses à l’arrivée continue de demandeurs d’asile sur le sol britannique (801 personnes ont réussi la traversée du Channel le 14 septembre, selon le Home office).
Avec presque 22 000 traversées depuis le 1er janvier 2024, la migration est un sujet de préoccupation important outre-Manche. Les émeutes racistes de début août ont montré que des agitateurs d’extrême droite étaient capables d’exploiter les peurs et les fantasmes suscités par les migrants pour semer la violence. Downing Street s’inquiète aussi de la percée du parti anti migrants, Reform UK, qui a réussi à faire élire cinq députés à la Chambre des communes aux élections générales en juillet.
M. Starmer a donc adopté un discours dur, pas si éloigné de celui des conservateurs, à ceci près qu’il ne promet plus, comme Rishi Sunak, de « stopper » les bateaux traversant la Manche – il s’est empressé, à son arrivée à Downing Street, de mettre fin à l’« accord Rwanda » qui prévoyait d’envoyer des demandeurs d’asile à Kigali. Cet accord – initialement proposé par Boris Johnson – était « un gadget »
Khalat
En Septembre, 2024 (08:13 AM)Pour les candidats migrants?
Pour les parents complices qui attendent d'être nourris par leurs enfants?
...
L'immigration Un Mal Necessair
En Septembre, 2024 (11:01 AM)Participer à la Discussion