Babacar Ka est dans de beaux draps. Déféré au parquet de Mbour, ce mercredi, ce berger est poursuivi pour homicide volontaire. Il devra répondre de la mort de son collègue Nadjirou Ka.
D’après L’Observateur, qui relaye cette affaire, les deux hommes habitent à Ndiémane, un village de la commune de Joal. Dimanche dernier, leurs chemins se croisent. Ils revenaient de la brousse, chacun conduisant son troupeau de bœufs et vaches.
Pour se frayer un chemin, Nadjirou Ka frappe une des bêtes de Babacar Kâ. Ce dernier n’apprécie pas le geste et le fait savoir. Le premier lui rétorque que s’il proteste à nouveau, il lui fera subir le même traitement que la vache.
Les esprits s’échauffent. Selon L’Observateur, les deux bergers dégainent leurs coupe-coupe et engagent la bagarre.
Atteint à la main droite, Babacar Kâ se ressaisit et riposte par trois violents coups. Sérieusement touché, son adversaire s’affale au sol et commence à se vider de son sang. «Sans lâcher prise, Babacar Kâ va égorger son adversaire avec son coupe-coupe», relate le journal du Groupe futurs médias.
Des bergers qui passaient dans les environs découvrent l'horreur. Le père de la victime, qui suivait le décompte des voix de la présidentielle, selon la même source, est alerté. Il se présente sur les lieux en même temps que des éléments de la gendarmerie de Joal.
Babacar Kâ est arrêté et conduit dans les locaux de la brigade de Joal. Il reconnaît avoir tué son collègue, mais invoque la légitime défense. Il risque gros.
D’après L’Observateur, qui relaye cette affaire, les deux hommes habitent à Ndiémane, un village de la commune de Joal. Dimanche dernier, leurs chemins se croisent. Ils revenaient de la brousse, chacun conduisant son troupeau de bœufs et vaches.
Pour se frayer un chemin, Nadjirou Ka frappe une des bêtes de Babacar Kâ. Ce dernier n’apprécie pas le geste et le fait savoir. Le premier lui rétorque que s’il proteste à nouveau, il lui fera subir le même traitement que la vache.
Les esprits s’échauffent. Selon L’Observateur, les deux bergers dégainent leurs coupe-coupe et engagent la bagarre.
Atteint à la main droite, Babacar Kâ se ressaisit et riposte par trois violents coups. Sérieusement touché, son adversaire s’affale au sol et commence à se vider de son sang. «Sans lâcher prise, Babacar Kâ va égorger son adversaire avec son coupe-coupe», relate le journal du Groupe futurs médias.
Des bergers qui passaient dans les environs découvrent l'horreur. Le père de la victime, qui suivait le décompte des voix de la présidentielle, selon la même source, est alerté. Il se présente sur les lieux en même temps que des éléments de la gendarmerie de Joal.
Babacar Kâ est arrêté et conduit dans les locaux de la brigade de Joal. Il reconnaît avoir tué son collègue, mais invoque la légitime défense. Il risque gros.
5 Commentaires
Et les familles des victimes ne me démentiront pas
Reply_author
En Mars, 2024 (12:13 PM)Reply_author
En Mars, 2024 (12:46 PM)Mimi
En Mars, 2024 (10:48 AM)Reply_author
En Mars, 2024 (14:46 PM)Si on parle de la démocratie du Sénégal comme model c'est en partie grace à Abdou Diouf (Pluralité des partis, code électoral transparent, ... et la mère de ce dernier est peul.
Dans chaque éthnie, il y'a de bonnes personnes et de mauvaises personnes. Il y'a combien de meurtres ou d'assassinats à Dakar, Thiès et Touba lors des 5 dernières annaes. les autres de ces crimes sont ils des peuls?
Conséquences Gueumeu-dorisme
En Mars, 2024 (11:07 AM)Pas Du Tout ! Aucunement !
En Mars, 2024 (11:19 AM)Reply_author
En Mars, 2024 (13:45 PM)Le sang est chaud.
Foulbés!
En Mars, 2024 (12:55 PM)FOULBÉS!!!
Sira
En Avril, 2024 (13:44 PM)Participer à la Discussion