M. Sylla, électromécanicien de 21 ans, risque 10 ans de prison. Le jeune homme inculpé pour viol, a été jugé devant la Chambre criminelle de Dakar, trois ans après les faits. Qui remontent à 2022, rapporte Les Échos.
Le journal, qui a assisté à l'audience tenue ce mardi, signale que ses victimes présumées, deux filles mineures, K. Diop et B. Barry, ont expliqué, révélant le mode opératoire de l'accusé, que «[celui-ci leur faisait des promesses d'argent ou des rencontres avec des hommes riches avant de les conduire dans des lieux lointains pour les violer».
Reprise par la source, K. Diop a déclaré que le jour des faits, elle a été «agressée sexuellement sous la menace d'un couteau».
«J'ai été invitée à rencontrer un vieux très riche, le 14 novembre 2022. Sur place, j'ai été frappée par une matraque, violée puis filmée par l'accusé», martèle son ancienne camarade de classe.
Les parties civiles, «qui traîneraient un traumatisme», réclament 30 millions en guise de réparation.
Sylla, niant les accusations de viol, a déclaré qu'il entretenait avec ses accusatrices «des relations intimes consenties». Mais l'accusé a été confondu par les messages compromettants envoyés à K. Diop après les faits dont celui dans lequel il s'excusait auprès de sa victime, souligne Les Échos.
Dans son réquisitoire, reprend le quotidien d'information, «[le maître des poursuites] s'est fondé sur les aveux de l'accusé à l'enquête [préliminaire] et des échanges avec K. Diop pour demander 10 ans de réclusion criminelle contre l'électromécanicien.
Pour se tirer d'affaire, ce dernier affirme qu'il a été «contraint d'écrire ce message» à K. Diop. Dans tous cas, il sera édifié le 4 février prochain, date du délibéré, conclut Les Échos.
Le journal, qui a assisté à l'audience tenue ce mardi, signale que ses victimes présumées, deux filles mineures, K. Diop et B. Barry, ont expliqué, révélant le mode opératoire de l'accusé, que «[celui-ci leur faisait des promesses d'argent ou des rencontres avec des hommes riches avant de les conduire dans des lieux lointains pour les violer».
Reprise par la source, K. Diop a déclaré que le jour des faits, elle a été «agressée sexuellement sous la menace d'un couteau».
«J'ai été invitée à rencontrer un vieux très riche, le 14 novembre 2022. Sur place, j'ai été frappée par une matraque, violée puis filmée par l'accusé», martèle son ancienne camarade de classe.
Les parties civiles, «qui traîneraient un traumatisme», réclament 30 millions en guise de réparation.
Sylla, niant les accusations de viol, a déclaré qu'il entretenait avec ses accusatrices «des relations intimes consenties». Mais l'accusé a été confondu par les messages compromettants envoyés à K. Diop après les faits dont celui dans lequel il s'excusait auprès de sa victime, souligne Les Échos.
Dans son réquisitoire, reprend le quotidien d'information, «[le maître des poursuites] s'est fondé sur les aveux de l'accusé à l'enquête [préliminaire] et des échanges avec K. Diop pour demander 10 ans de réclusion criminelle contre l'électromécanicien.
Pour se tirer d'affaire, ce dernier affirme qu'il a été «contraint d'écrire ce message» à K. Diop. Dans tous cas, il sera édifié le 4 février prochain, date du délibéré, conclut Les Échos.
3 Commentaires
Mami Wata
il y a 2 semaines (09:07 AM)Sénégal YAKUNA !
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