
S’agissant de l’ordonnance d’expulsion, il avoue qu’elle lui a été notifiée. Et, maintenant qu’elle est sortie, il va faire appel dans la procédure d’urgence. Il a tenu à préciser qu’il est toujours chez lui et il n’a pas été expulsé. « C’est une procédure qui est en cours et il faut savoir qu’il y a trois procédures en appel, en annulation et une autre ouverte à la gendarmerie ou nous avons été entendus », confie-t-il. A l’en croire, par rapport à la maison, ils l’ont payée avec 7 chèques de 10 millions. Et, dit-il, c’est quand il a été en prison que Aissatou Seydi a commencé des démarches pour s’approprier la maison. « Elle ne pensait pas que j’allais sortir et dès qu’elle a été informée de ma libération, elle s’est empressée de détruire les chèques. En complicité avec le propriétaire de la maison. Il y a eu un deal sur mon dos », dénonce-t-il. Avant de clarifier : « ISEG a décaissé 110 millions de francs CFA pour la maison dont le prix est fixé à 140 millions. Devant les enquêteurs, Aissatou Seydi a reconnu que la maison a été achetée avec des chèques de l’ISEG. On habite toujours ensemble et elle occupe une chambre dans la maison. Donc, l’ordonnance n’est pas valable car dans le code de la famille, un époux ne peut pas exclure l’autre tant qu’ils sont dans les liens du mariage ».
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